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Myriam Bornand, caméra Charles Castella,son Vincent Pipponnier avec Charlotte Rampling
Future is back:les Déchirures
Vidéo | | noir et blanc | 1:53 | France | 2007
LES DECHIRURES Dans cette video la thématique de la DIVISION se retrouve sur trois plans : La déchirure(le geste)- l? ACTION. Les coupures(les mots)- le SON. et La séparation entre l?action qui se déroule et son(off) Charlotte Rampling est assise de dos on la voit déchirer, couper où arracher quelque chose d?imprécis. On entend en même temps sa voix mais on ne comprend pas ce qu?elle dit et s?il s?agit d?une langue étrangère où de mots inventés .Sa voix est enregistrée en off.Les mots que l?on entend sont un extrait de la chanson du jardinier dans Sylvie et Bruno de Lewis Carroll. Ce texte est dit en français et en anglais d?une façon découpée ,déstructurée, saccadée par une ponctuation d?arrêts et de reprises ,cette déconstruction du langage suffit ,en nous faisant perdre nos repères ,à nous égarer dans notre comprehension alors qu?aucun mot ne manque. Pendant ce temps Charlotte Rampling continue sans cesse de déchirer ce qu?elle tient sur ses genoux La séquence se termine quand on entend un bruit de ciseaux qui tombent au sol ,Charlotte se baisse légérement,l?image reste arrêtée sur son dos. Future is back.
MYRIAM BORNAND. Artiste plasticienne Franco-Suisse . Vit et travaille actuellement à Marseille France après Genéve Suisse La démarche artistique générale explore depuis le début des thématiques récurrentes l?un et la division le centre les opposés les strates la manipulation par l?image les automatismes de pensée Pour traiter ces diverses problématiques différentes techniques sont employées telles que : collages, peinture, vidéos, écritures, installations, sérigraphie, assemblages, photos. Le développement des concepts est absolument imbriqué dans la façon d?en restituer la problématique visuellement. Ils sont explorés généralement sous forme de série ou bien d?ensemble, ce qui est le cas de « Future is Back » qui est un travail qui se compose de trois volets : les Insultes,les Ciseaux et les Déchirures. ci dessous quelques unes des expositions présentées : Personnelles : LA PASSERELLE . 2001 . Marseille.FRANCE LES DANAÏDES. 2002 . Marseille.FRANCE LOFT 131.Installation. 2009 .Brooklyn .USA PULLMAN PALM BEACH. 2010. Marseille.FRANCE GALERIE PORTE AVION. 2010. Marseille.FRANCE GALERIE DU TABLEAU Mai 2011 Marseille. France De groupe GALERIE CHAVE .1993 . Vence FRANCE MUSÉE INGRES .1994 . « Les Récréations de la Création » Montauban.FRANCE ARTHOTHÉQUE du département de la Réunion « Aboli pas aboli » 1998.LA RÉUNION V.A.C en Février 2003 .« Hommage aux Anti-Barbares ». Ventabren .FRANCE CONCEJALIA de Educacion y Cultura : « COSLART 03 » . 2003.Coslada ESPANA . G.BLEUS 2005. « S.L.K » .Limburg. BELGIUM. MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DE PARIS . 2008 « Assises »Paris.FRANCE M.A.C.A. « Assises Opéra in sedute » 2009 Acri ITALIA

Myriam Bornand, Caméra Charles Castella,son Vincent Pipponnier avec Charlotte Rampling
Future is back:les Insultes
Vidéo | | noir et blanc | 1:52 | France | 0
Charlotte Rampling est debout et porte une robe noire, elle semble assister à une soirée formelle,seul son visage et son buste sont légèrement mobiles. Son expression souriante évoque les formules de courtoisie habituelles ou quelques commentaires anodins à un interlocuteur qui ne serait pas dans le champ de la caméra,alors que le langage qu?elle emploie est violent et ordurier. Cette vidéo pointe le principe de la dualité,de la division en utilisant des contraires. Le calme et le raffinement que dégage la personnalité de Charlotte Rampling sont en complet décalage avec les propos violents et orduriers qu`elle emploie. Le mode choisi pour le « chapelet d?insultes est aussi décalé, il est rythmé selon la récitation des « Mantras »tibétains (syllabes-priéres) répétés comme des psalmodies hachées . On retrouve ici encore un autre décalage, c`est l?utilisation d?une pratique à d?autres fins que celles qui en découlent habituellement, puisqu?il s?agit en employant le mode des Mantras (paroles sacrées) d?énoncer des paroles profanes, dans un esprit tout à fait inverse à la prière.
MYRIAM BORNAND. Artiste plasticienne Franco-Suisse . Vit et travaille actuellement à Marseille France après Genéve Suisse La démarche artistique générale explore depuis le début des thématiques récurrentes l?un et la division le centre les opposés les strates la manipulation par l?image les automatismes de pensée Pour traiter ces diverses problématiques différentes techniques sont employées telles que : collages, peinture, vidéos, écritures, installations, sérigraphie, assemblages, photos. Le développement des concepts est absolument imbriqué dans la façon d?en restituer la problématique visuellement. Ils sont explorés généralement sous forme de série ou bien d?ensemble, ce qui est le cas de « Future is Back » qui est un travail qui se compose de trois volets : les Insultes,les Ciseaux et les Déchirures. ci dessous quelques unes des expositions présentées : Personnelles : LA PASSERELLE . 2001 . Marseille.FRANCE LES DANAÏDES. 2002 . Marseille.FRANCE LOFT 131.Installation. 2009 .Brooklyn .USA PULLMAN PALM BEACH. 2010. Marseille.FRANCE GALERIE PORTE AVION. 2010. Marseille.FRANCE GALERIE DU TABLEAU Mai 2011 Marseille. France De groupe GALERIE CHAVE .1993 . Vence FRANCE MUSÉE INGRES .1994 . « Les Récréations de la Création » Montauban.FRANCE ARTHOTHÉQUE du département de la Réunion « Aboli pas aboli » 1998.LA RÉUNION V.A.C en Février 2003 .« Hommage aux Anti-Barbares ». Ventabren .FRANCE CONCEJALIA de Educacion y Cultura : « COSLART 03 » . 2003.Coslada ESPANA . G.BLEUS 2005. « S.L.K » .Limburg. BELGIUM. MINISTERE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DE PARIS . 2008 « Assises »Paris.FRANCE M.A.C.A. « Assises Opéra in sedute » 2009 Acri ITALIA


Ellen Bornkessel
Länger bleiben
Art vidéo | dv | couleur | 6:0 | Allemagne | 2005
Un homme est debout à côté d'une table. Il fume et boit. Dans quatre prises de vue statiques nous voyons des hommes dans des situations similaires. Pas grand chose se passe, à part le narrateur, qui décrit le déroulement de la fête. Dans les images fixes il y a à la fois un mélange de statique et de mouvement, de lumière et d'obscurité, d'ennui, de fête battant son plein et d'une ambiance triste n'échappant pas à une teinte d'humour. Le film tourne autour d'un moment d'immobilité au milieu de la vie citadine animée. Les images sont pleines de contrastes. Le vide intérieur se reflète aussi dans les pièces. L''immobilité des personnes se miroitant dans les prises de vue fixes. Les possibilités pour échapper de ces situations sont comprises dans l'image ou dans le texte, mais ne peuvent être perçues uniquement par le spectateur, ce qui confère au fil une teinte tragi-comique.
Ellen Bornkessel née le 12.02.1969 à Hammelburg 1995-1997 Études de communication visuelle à l'école supérieure spécialisée de Bielefeld 1997- 2001 Études de photographie et d'art des médias à l'École Supérieure d'Arts Graphiques et d'Arts du Livre. Vit et travaille à Cologne, en Allemagne.


Mirelle Borra
Safe Space
Doc. expérimental | mov | couleur | 10:0 | Pays-Bas, Allemagne | 2021
The visual component of the video ‘Safe Space’ is pieced together from countless YouTube clips of ballroom events from the early nineties—at a time the AIDS epidemic was surging in New York City. Originally a community created by trans and queer people of color in response to a society that marginalizes their existence. The ballroom scene provides a safe space for performers to act out various ways of gender expressions. For decades, the ballroom community has influenced pop culture, and it’s vocabulary has seeped into common parlance. ‘Safe Space’ is narrated by AI generated voices that recite contemporary experiences and statements of LGBTQ+ refugees that have been sourced from the internet. The confluence of image and sound seek to depict both the harsh plight of a minority within a minority and the creative resilience and sense of community that emerges from these experiences.
Mirelle Borra’s interest in urgent global subjects merges with her keen sense of aesthetic to create thought-provoking work. Using moving image, she engages with social and political topics to re-frame these matters in new ways. Mirelle seeks to examine structures of representation through a transnational perspective while staying in constant dialog with the context from which the work is derived. The main focus of her practice is where the personal and the political intersect. In 2017, she founded the online platform 6x6 project which is dedicated to the dissemination of artists’ moving image works, and to create an ever-growing network among peers. Her work has shown internationally in film festivals and exhibitions, including the 20th Millennium Docs Against Gravity (PL), 20th London Short Film Festival (UK), 29th Sheffield DocFest (UK), 19th Vienna Shorts Film Festival (AT), 67th International Short Film Festival Oberhausen (DE), 17th Athens Digital Arts Festival (GR), 3rd FRACTO Experimental Film Encounter, Berlin (DE), 39th Ars Electronica Festival, Linz (AT), and the 3rd Screen City Biennial, Stavanger (NO) among others. Mirelle was born in the Netherlands, and after living in New York City for many years, she is currently based in Berlin.


Ana Borralho, João GALANTE, Nishijima ATSHSHI
No body never mind, 003
Performance | dv | | 40:0 | Portugal, Japon | 2006
"nobody never mind, 003" constitue une partie du projet NBNM, composé de trois opus traitant les thèmes corps/esprit, extérieur/intérieur, emotion/sentiment, moi/les autres. Après "no body never mind, 001" (2004) et "no body never mind, 002" (2005), "no body never mind, 003" continue à explorer des thèmes qui ont été abordés dans les précédents volets. Dans "no body never mind, 001", les corps des créateurs/acteurs sont tatoués, afin d'établir une frontière implacable entre le biologique et le social, en habillant la peau d'une immuable opacité, autrement dit, en la tranformant en une seconde peau. Dans "no body never mind, 002", il s'agit de montrer le méchanisme de la transformation du corps en object, en brouillant la différence entre le scatologique et le sublime..." Dans "no body never mind, 003", les artistes se proposent d'explorer, à travers le son, la relation entre l'aspect social et biologique du corps dans la société actuelle. L'accent est mis sur la relation/frontière entre le spectateur et le travail artistique, en intégrant le public dans le champ espace/temps du performer. L'intention des artistes est d'identifier et de définir les limites du contrôle qu'une personne peut avoir sur son propre corps, la nature de la relation entre le performer et le public et la tension entre l'art et les codes sociaux.
Ana Borralho et João Galante se sont rencontrés au cours de leurs études d'arts visuels à l'AR.CO. Travaillant ensemble depuis 2002, ils ont crée et joué les pièces suivantes : "Mistermissmissmister" (2002), "Glin Gló" (2002), "I Love You" (2003), "Girl Play Boy" (2004), "no body never mind, 001" (2004), "no body never mind, 002" (2005), and "no body never mind, 003" (2006). Il travaillent en ce moment à la création d'une perfomance intitulée "sexyMF". Depuis 2004, leurs travaux ont été programmés lors de différents festivals internationaux : La Batie - Genève (Suisse), 100 Dessus Dessous - Paris (France), Escena Contemporânea - Madrid (Espagne), Panorama de Dança - Rio de Janeiro (Brésil), Alkantara - Lisbon (Portugal).


Mit Borrás
Hanaba
Fiction expérimentale | 4k | couleur | 10:0 | Espagne | 2022
Hanaba belongs to a speculative future and lives isolated in a new cave with a heavenly aspect, an aseptic laboratory surrounded on the outside by an uninhabited natural environment where time seems to stand still. The protagonist of Hanaba, a term whose meaning comes from the scientific concept of "new mutant flower whose DNA has been isolated", transits between their human nature and their dream of transcending and merging with nature through technology. This idea takes shape during Hanaba's meditations where their recurrently dream of being a drone that crosses a forest like a ghost. We can see how Hanaba develope scientific studies devoted to biotechnology, geology and the meaning of conservation of human body. Progress becomes a new cult, mediated by nature through the ceremonial use of flowers, chants and the ingestion of psychoactive plants as a way to travel to a transhumanist transcendence and total adaptation to nature. A film created by Mit Borrás, with the art direction of Rachel Lamot, with script by Mit Borrás and Rachel Lamot, music by Daniel Vacas Peralta the fashion designs of Kim Rosario and Path by Janine Grosche, the special participation of Weixin Quek Chong as Hanaba and the production team.
Mit Borrás is a visual artist based in Madrid and Berlin. His work examines the relationship between human, nature and technology, their purpose of evolution and the idea of death and eternal life with a transhumanist perspective. He has developed a work complex that encompasses visions of a post-human state of consciousness. Its center of focus is based on the interconnectivity between biodiversity and technological progress. His work has been exhibited at Pompidou, Paris (2022), Art Dubai, UAE (2022), Hara Museum, Tokyo (2010), Exgirlfriend Gallery, Berlin (2016-21), Tick Tack Gallery, Antwerp (2021), The Wrong Bienale, Paris (2021), Harddiskmuseum, Paris (2020), Arebyte Gallery, London (2019), Dimora Artica, Milan (2018), Frontviews, Vienna (2019) Berlin (2018), Aleph Projects, Tel Aviv (2017), Biennial of Media Arts of Chile, (2017), Palacio Fernandini, Lima (2016), Museo de Bellas Artes de Chile (2017), Loop Barcelona (2010,15-19) and Transmediale, Berlin (2011) among others. He has directed the production of digital art festivals as independent curator, co-directed Fünf Galerie in Berlin (2010-14) and worked as coordinator of cultural projects at Instituto Cervantes in Berlin (2014). His work is represented in by House of Chappaz gallery and is member of the art collective Frontviews in Berlin.


Mark Boswell
The St. Petersburg Paradox
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 8:22 | USA | 2006
Le paradoxe de Saint-Pétersbourg a été inventé par le mathématicien suisse Nicolas Bernoulli en 1713. Le PSP décrit un jeu de casino particulier (dans un casino hypothétique à Saint Pétersbourg en Russie) qui se caractérise par une variable aléatoire avec une valeur espérée infinie. Le jeu implique le lancer d'une pièce de monnaie. Deux cas sont possibles: a) la pièce tombe du côté pile et le jeu est fini, le joueur reçoit une petite somme d'argent; ou b) la pièce tombe du côté face et la somme est doublée, le jeu continue alors jusqu'à ce que la pièce tombe du côté pile. Cependant, pour participer à ce jeu,le joueur doit verser une somme d'argent astronomique au Casino. Le PSP présente la situation classique dans laquelle un joueur arrive à une théorie naïve, ne prenant en compte que la possibilité de gagner. Aucune personne rationnelle ne prendrait une telle décision. Le film utilise des images de "Night and the Living Dead", de "Un plus un" de Godard et de "Casino" de Martin Scorsese, et à travers un montage hallucinatoire, dessine un portrait sarcastique de l'Etranger avec un final dadaïste coup de poing.
Mark Boswell a étudié l'histoire de l'art, le cinéma et la production à l'American Center of Paris, en France, de 1986 à 1989 et au Phillips College of Melbourne, en Floride de 1990 à 1992. Il a montré ses films expérimentaux dans 25 pays à travers le monde, dans des musées, des biennales, et des festivals de films, parmi lesquels The Transmediale Berlin (2003, 2004, 2007,) The 10th Biennial of The Moving Image, Genève, Suisse, The Avanto Media Arts Festival of Helsinki, Finlande (2003, 2004, 2006), The National Center of Contemporary Art, Saint-Pétersbourg, Russie, The Los Angeles Freewaves Video Biennial (Hammer Museum), Los Angeles, Californie, et the New York Video Festival au Lincoln Center, New York, New York. En 2004, il a été récompensé de l'International Media Art Award par le musée ZKM de Karlsruhe, en Allemagne.

Louise Botkay
Estou aqui
Film expérimental | super8 | couleur | 7:0 | Brésil, Haiti | 2015
I`ve spent my childhood in Cap-Haitien, a city at the north of a half island of the Caribbean called Haiti. My life will always be inhabited by the memory and experience of this mysterious and warm(ardent???) place. I`m under the impression that everything i am comes from this light, this wind, this land, this growing up creole. "I`m here" is an ode to childhood time that accompagnies us forever
Louise Botkay is a photographer and film maker, utilizing super 8,16 and 35mm film, video, cell phone that are developed artisanally by the artist herself. She worked in several countries like Haiti, Congo, Niger, Chad, Holland, France and Brazil. Her films were selected and recipients of awards in Movie Festivals (Oberhausen, Fid de Marseille, Vidéobraisl, São Paulo Movie Festival, Brive Festival, Anger 1er Plan Festival, Fespaço, Recife International Window Movie festival, among others). Her film “Mammah” was exhibited in the Christopher Grimes Gallery (Santa Monica, Ca.), at theYerba Buena Center for the Arts (San Francisco, Ca.), Centre George Pompidou (Paris, France) and MAM – Museum of Modern Art (Rio de Janeiro, Brazil). She received the prize scholarship “Villa Hors les Murs” from the Institut Français, to develop her more recent work, at Acre with the nation Hunikui. She lives today in Rio de Janeiro and works between Brazil and France.

Louise Botkay
Vertières I,II,III
Film expérimental | super8 | couleur | 9:36 | Brésil, Haiti | 2014
Vertières est le nom d'un quartier de la ville du Cap-Haïtien où, en 1803, a eu lieu la grande bataille qui a fini par expulser l'armée de Napoléon de l`île, Haïti à ce moment devient le premier pays au monde a conquérir son indépendance face aux puissances colonialistes.
Formation: La FEMIS, école nationale du cinéma-France, (diplômée juin 2006) Faculté de Design à Rio (diplômée en 2000) Bourse Aprofundamento-Parque Lage RJ (2014) Louise Botkay réalise des films utilisant autant le télephonne portable, que la vidéo, les pellicules super-8, 16 et 35 millimètres qui souvent sont développées "artisanalement". Travail nomade,elle réalise des films en Haïti, au Congo, Niger, Tchad, Hollande, Françe et Brésil.. Ses films on été sélectionnés et primés en festivals comme le Festival 1er Plan d`Anger, le festival de Brive, le festival Janela international de Recife, le festival de curtas de São Paulo, entre autres. Son film "Mammah" a été exhibé à la Galerie Christopher Grimes (Santa Monica), au Yerba Buena Center for the Arts (São Francisco) et au MAM-Rio de Janeiro en 2013, dans l'expo collective SP8. Elle a reçu la bourse "Villa Hors les murs", de l'Institut Français, pour produire son plus récent travail réalisé en Acre, Amazonie Brésilienne avec le peuple Hunikui. Elle vit à Rio de Janeiro et travaille entre le Brésil et la France.


Eliane Esther Bots
In Flow of Words
Documentaire | dcp | couleur | 22:15 | Pays-Bas | 2021
In Flow of Words follows the narratives of three interpreters of the International Criminal Tribunal for the former Yugoslavia. They interpreted shocking testimonies from witnesses, victims and perpetrators, without ever allowing their own emotions, feelings and personal histories to be present. Contrary to their position at the tribunal, this film places their voices and experiences center stage.
Eliane Esther Bots (1986, The Netherlands) graduated cum laude from the Master of Film at the Netherlands Film Academy in Amsterdam. Her films have been screened at ‘IDFA’ (NL) ‘Berlinale’, Berlin (DE), ‘Cinema du Reel’, Paris (FR), ‘New York Film Festival’ (USA), ‘International short film festival Oberhausen’ (DE), ‘Go Short’, Nijmegen (NL), Kassel Dokfest (DE). She works as a lecturer ‘Moving image’ at the University of the Arts in Utrecht (NL).

Bottomley Bottomley, Johnny Hourigan
Everybody Says It's All In Your Head
Film expérimental | hdv | couleur | 18:4 | Royaume-Uni | 2015
Everybody says is all in your head is a collaboration between Clare Bottomley and Johnny Hourrigan unfolding as a video diary over one year. Encouraged by Clare to make a portrayal of himself, Johnny gets familiarised into the process of filmmaking and participate fully in all the aspects that define such a production from the choice of the camera to the practice of editing. While he acquires the technical knowledge, Johnny gets full agency in testing and controlling the medium of representation. With a camera that mediates his contact with the outside world, Johnny immerses himself into a journey of self-discovery gaining the confidence to address the unaddressed his condition of mild-autism and the challenges he faces. Through a non-hierarchical and non-didactic approach, Clare Bottomley reveals the potential of learning to create an authentic space of participation and empowerment for subjects whose voices have been marginalised.
Clare Bottomley lives and works in London. With a practice that incorporates video and photography, her work investigates self-portrait and performance of the self. She studied for an MA in Photography at the Royal College of Art, London, 2011-2013 and has been working as an art educator for six years. Johnny Hourigan is now a young man studying Media Production at college in south London and developing his independent projects. Johnny sees process of creating the personal view point for the film as ‘...with all the memories remained in the camera, what the camera does not capture are memories in ourselves.’


Gaëlle Boucand
Arles
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 1:28 | France | 2004
Une série de quatre portraits de jeunes garçons est filmée en gros plan. La caméra, flottante, passe de visage en visage, suscitant ainsi, de l'un à l'autre, une sensation de proximité, presque d'intimité partagée. Puis le plan s'élargit en une vue d'ensemble finale. Le groupe apparaît alors dans sa globalité, assis sur le parvis d'une église. L'image ne forme plus qu'un unique portrait commun.
Gaëlle Boucand est née en 1980 à Paris où elle vit et travaille actuellement. Elle est diplômée de l'École Nationale Supérieure des Beaux-arts de Paris en 2005. La même année, elle participe notamment aux expositions collectives « Attentifs ensemble » organisée par Christian Bernard à l'espace d'art contemporain Attitudes, à Genève (Suisse), à « Première vue », sur une invitation de Michel Nuridsany au Passage de Retz à Paris, ainsi qu`à « Nomad`s land » à La Poudrière de Bayonne. En 2004, elle reçoit la Bourse Colin-Lefranc pour une résidence de six mois à la Cooper Union School à New York (USA). Elle y participe à l`exposition « Tracks » à la Hewitt Gallery. En 2003, elle collabore à l'exposition « Stade de France » organisée par Jean-Marc Bustamante à la Fondation Italo-suédoise de Venise (Italie), en résonance avec la Biennale. Plusieurs de ses films ont également été programmés dans le cadre de festivals vidéos tels que « Signes de nuit », au cinéma le Balzac à Paris, « Bandits-mages », à Bourges et « Kasseler Dokumentarfilm und Videofest » à Kassel (Allemagne).


Gaëlle Boucand
Berliner Bildstörung / Zoologischer Garten
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:12 | France, Allemagne | 2006
Berliner Bildstörung / Zoologischer Garten est une vidéo construite à partir d`images d`un zoo déserté par ses animaux. Ces images mettent en avant les paysages artificiels du zoo et ses décors spécifiques. Elles surgissent du noir telles des interférences scandées par des réminiscences de sons d`animaux.
Gaëlle Boucand est née en 1980 à Paris. Elle bénéficie actuellement d`un atelier-résidence du BBK à Berlin et participe également au Pavillon, laboratoire de création du Palais de Tokyo à Paris. Son travail a récemment été exposé entre autres au Palais de Tokyo, au Luggage Store de San Francisco, ainsi qu`à Berlin (Air Garten, Kolonie Wedding), à Genève (Attitudes), à Montreuil (Les Instants Chavirés) et à Paris (Kadist Art Foundation, Bétonsalon, La Générale, Première vue, Jeune création). Plusieurs de ses films ont également été programmés dans le cadre de festivals vidéos tels que Les rencontres Internationales Paris-Berlin-Madrid (cinéma l`Entrepôt, Paris), Signes de nuit (cinéma le Balzac, Paris), Bandits-mages (Bourges) et le Kasseler Dokumentarfilm und Videofest (Kassel).

Gaelle Boucand
Voin
Documentaire | mov | | 30:0 | France, Bulgarie | 0
Voin a grandi dans la Bulgarie communiste. Après vingt ans passés en Europe de l’Ouest, il retourne à Sofia sur les lieux de son enfance et de son adolescence. Son portrait se compose de lieu en lieu, de souvenir en anecdote. Du cou coupé du coq qui voulait l’énucléer aux rites d’initiation sexuelle dans la maison interdite, Voin campe les saynètes d’un roman d’apprentissage bataillien, cru et souverain. En racontant ses travestissements, il revendique aussi l’exercice d’une liberté, d’une agilité à se mouvoir dans le cours de l’Histoire. Voin l’imite, en hérite, et c’est l’Histoire qui transparaît dans une tonalité rafraîchie, une vitalité excentrique et mineure, loin des lieux communs du récit majoritaire. Et quand, penché sur le vide au 19e étage de la tour Tolstoï, le trentenaire contemple les barres d’immeubles du quartier Espoir de son enfance, son vertige est contagieux, et la sensation (dé)grisante. (Cyril Neyrat)
Gaelle Boucand est artiste et cinéaste. Sa pratique se concentre depuis dix ans sur la réalisation de documentaires au sein desquels les questions du portrait et du dispositif filmique tiennent une place centrale. En 2010, son premier film, "Partis pour Croatan", sur une communauté de raveur, est exposé, notamment au Musée d'Art Moderne de la ville de Paris (France). Son deuxième film, "JJA" — premier volet d'une trilogie — dresse le portrait d'un exilé fiscal en Suisse. Il reçoit la mention du Grand Prix de la compétition française au FIDMarseille (France) en 2012, ainsi que le Grand Prix expérimental au festival Coté Court de Pantin (France), et est également diffusé au sein de multiples institutions artistiques internationales (Kunsthalle Mannheim (Allemagne); MAST – Manifattura di Arti, Sperimentazione e Tecnologia Bologna, Bologne (Italie); Kunstwerk Carlshütte, Büdelsdorf (Allemagne). Depuis 2014, elle enseigne régulièrement à l'isdaT – Institut supérieur des arts de Toulouse (France) et réalise des films avec différentes écoles. En 2015, elle termine "Changement de décor", deuxième volet de la trilogie initiée avec "JJA", présenté notamment aux États généraux du film documentaire de Lussas (France), et cofonde la société Elinka Films. En 2020, "J.A" — qui vient clore la trilogie — est en compétition à Cinéma du Réel, Paris (France), et son dernier film, "Voin", portrait d'un homme à travers son retour en Bulgarie, reçoit le prix Alice Guy au FIDMarseille (France).


Emma Boudon
RAGE THEY DESERVE
Vidéo expérimentale | 4k | couleur | 6:6 | France | 2022
Ce film se situe à mi-chemin entre pièce de danse contemporaine et film expérimental. Lors de cette deuxième collaboration avec la danseuse Hava Hudry, je souhaitais questionner la place du corps féminin dans l’espace public, et dans ce cas précis celui de la nuit et de la fête qui peut être très ambivalent (à la fois brave space et lieu dangereux, particulièrement pour les femmes ou personnes perçues comme femmes). La relation qu’entretient la danseuse avec le sol est primordiale ; elle choit, se redresse, se cambre, casse ses mouvements, rampe. C’est à la fois une transe libératrice et une expression primaire de la violence intériorisée qui finit par exploser. L’interprétation d’Hava renvoie le / la spectateur.ice la relation qu'iel entretient avec son propre corps, et au jugement qu’iel a pu émettre sur celui d’autrui, notamment celui de personnes sexisées (femmes ou perçues comme femmes). La projection est accompagnée d’un parfum dont les notes salines et métalliques rappellent des odeurs corporelles aussi attractives que répulsives. Ce mélange multisensoriel permet d'occuper la totalité de l’espace et emmener le spectateur à prendre part à la fête.
Après une licence de Lettres à Paris-Sorbonne et un Bachelor en Photographie et Vidéo à l'Ecole des Gobelins, Emma Boudon étudie à l’École des Beaux-Arts de Paris où elle articule sa pratique artistique entre vidéo, installations et photographie. Elle développe son travail autour de la question de la présence des femmes, ou perçues comme femmes, dans l’espace public. Dans son dernier film/installation RAGE THEY DESERVE, elle témoigne des violences qui se manifestent dans différents espaces collectifs, en particulier celui du monde de la nuit. Elle le caractérise comme un « brave space » transgressif où se confrontent violence et liberté. Cette ambiguïté est retranscrite à la fois dans une chorégraphie qui combine transe libératrice et colère explosive, mais aussi par l'environnement lui-même, espace de défoulement, qui peut rapidement basculer de la joie à l’insécurité, de la lumière à l'obscurité. Cette obsession pour la fête l'a mené, présentement, à réaliser un film autour de la scène underground séoulite.

Halida Boughriet
Des intégrations
Vidéo | hdv | couleur et n&b | 16:7 | France | 2015
Dans le film « Des intégrations» , La mémoire collective officielle et la mémoire politique se figent, à la limite de l’amnésie voire de la négation. C’est par le biais d’un univers poétique mais désenchanté que le film se propose de soulever des enjeux touchant à la jeunesse contemporaine. Les personnages jouent sur une série de correspondances qui érigent le film au rang de transfert visuel.
Artiste française et Algérienne . Anciennement diplômée de L’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris et du programme d’échange de la SVA section cinéma à New York jusqu’en 2005. Halida Boughriet explore un large éventail de médias à travers ses oeuvres . Elle accorde une place centrale à la performance, dont les structures de son langage artistique lui donne une variété de formes. Au carrefour d’une préoccupation esthétique, sociale et politique, ses pièces s’efforcent de saisir les tensions dans les relations humaines mis en évidence par la société . Le corps est omniprésent , comme un instrument de geste poétique.

Halida Boughriet
pandore
Vidéo | hdv | couleur | 8:44 | France | 2014
La vidéo Pandore se concentre sur un groupe social, enfants en marge du reste de la société française. Portant un regard sombre et inquiétant sur la réalité des rapports humains et aussi du système médiatique à la violence qui en découle. Les protagonistes sont invités à se dévoiler, témoignant de leurs histoires qui renvoient à l’image d’un passé et d’un présent "Mythe ou Réalité". Ils se mettent en scène dans des positions et postures artificielles, filmées par des séquences au ralenti extrêmement fluides. Enfin, La lumière travaille à inviter le spectateur à une curieuse contemplation dans l’intimité d’un espace clos et artificiel, dégageant une atmosphère irréelle et anormale.
Halida Boughriet est une artiste française d’origine algérienne. Anciennement diplômée de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris et du programme d’échange de la SVA section cinéma à New York jusqu’en 2005. Halida Boughriet explore un large éventail de média à travers ses œuvres. Elle accorde une place centrale à la performance, dont les structures de son langage artistique lui donne une variété de formes. Au carrefour d’une préoccupation esthétique, sociale et politique, ses pièces s’efforcent de saisir les tensions dans les relations humaines mises en évidence par la société. Le corps est omniprésent, comme un instrument de geste poétique expérimental. Ses œuvres font partie de la collection «Nouveaux Médias» du Centre Pompidou (Paris) et du musée MAC / VAL (Vitry -sur-Seine). Ses travaux ont été présentés dans de nombreuses expositions dont Elles@centrepompidou (2011, Paris), y compris au FIAC d’Alger (2011, Algérie), à l’Institut du Monde Arabe, (2012, Paris) pour l’exposition «Le corps découvert». En 2013, au Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) pour «Chapelle vidéo # 4». Plus récemment, elle participe à «Vidéo et après» au Centre Pompidou et à la Biennale internationale de Dak’Art 2014 (Dakar, Sénégal).


Ghyzlène Boukaila
#31# (Unknown call)
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 16:16 | Algérie, France | 2021
Au large d’un monde en reconstruction, une voix dont on ignore la source surplombe la ville et sonne comme une injonction. En résistance à cette diction autoritaire, une nouvelle voix émerge. Cheikh Morad Djadja se fraye un chemin au sein de cet univers, il doit se rendre au Taxiphone et y lais- ser son propre message crypté. "Appel masqué" est une chanson composée par Cheb Abdou en 1993, durant la période de la décennie noire en Algérie. Comme plusieurs de ses morceaux, Cheb Abdou les a écrit et interprété sous menaces constantes. À travers ses musiques, il y a ouvert un champ d’expression identitaire etde dictions autour l’extistence d’un autre genres. L’ étymologie du mot RAÏ prend tout son sens. En retournant sur les traces de la naissance du raï, Oran, j’y ai rencontré Cheikh Morad Djadja une personnalité de ce milieu et successeur de Cheb Abdou, c’était une réelle immersion au sein de la communauté de chanteurs(se) et musiciens(ne) raï. Le film s’est construit autour du taxi-phone représentant ce non-lieu de télécommunication anonyme et de l’impossibilité de faire subsister un message, une opinion, un avis au sein d’une société contempo- raine. En écho aux paroles de la chanson "Appel masqué" de Cheb Abdou, #31# (appel masqué) est une ap- proche a mis chemin entre le documentaire, la fiction et la performance, où Cheikh Morad Djadja nous mène vers une quête existentielle, dans un monde en perpétuelle reconstruc- tion, où ce non-lieu lui permet d’y laisser un message vocale masqué sur sa trans-identité.
Ghyzlène Boukaïla est une artiste et réalisatrice multimédia née en 1993 à Alger. Elle vit et travaille entre Alger et Lille. Sa démarche artistique et sa sensibilité se cristallisent dans les seins d'une famille de révolutionnaires algériens. Explorant certaines problématiques liées au post-colonialisme, sa démarche explore de nouveaux récits liés aux (ré)évolutions socio-politiques et numériques en situant sa pratique à l'interface du documentaire/performance et des récits numériques post-humains.


Angus Boulton, Boulton
'08/26'
Documentaire | dv | couleur | 31:0 | Royaume-Uni, Allemagne | 2007
Le sujet central de « 08/26 » est le conflit aérien dans toute l?Europe au temps de la Guerre Froide. Dans un premier temps, le film montre de nombreuses structures à l?arrêt au milieu d?un emplacement soviétique, imprégné d?une ambiance sonore et de souvenirs d'une époque révolue. Par contraste, le film montre alors du personnel militaire engagé dans des exercices de routine, qui représentent le présent, s?entraînant à combattre contre un ennemi moins identifiable. Séparées par près de deux décennies, ces pratiques et procédures sont cependant similaires, l?aviation de la Guerre Froide et les man?uvres de routine restent à peu près les mêmes. Des séquences se chevauchent, en représentant différents lieux et époques et en explorant les similitudes et les différences entre l'occupation et le vide.
Born York, England, 1964.

Mohamed Bourouissa
J.M Mondésir
Doc. expérimental | hdv | couleur | 24:0 | France | 2012
Une cité aux airs d`amphithéâtre qui s`apprête à accueillir un sacrifice. En 2002, Georges Mondésir, meurt suite à une intervention de police. Il est fou, ou simple d`esprit, face au policier, Mondésir c`est l`Autre. Et ce qui intéresse Alice Colomer c`est ce qui se rejoue d`une lutte ancestrale dans ce duo. Ce n`est jamais un documentaire sur cette mort. C`est le ballet, dont seule la caméra a la liberté de s`échapper. Des ralentis qui défient tout réalisme, de ces points de vues entremêlés, il naît de ce film une impression juste qu`il s`est passé quelque chose.
Alice Colomer est née en 1985 en région parisienne, elle vie et travail à Paris. Elle a été diplômée de l?Ecole Nationale supérieure des beaux arts de Paris en novembre 2011 et a étudié à la centrale academie of fine arts de Pékin (Chine). 2012 Exposition collective à la Saline Royale d?Arc-et-Senans, Tranches de carré sur Tranches de cerles (ENSBA-ENS), présentation de l?installation lekh lekha . 2011 Paris projection de One World One Dream One People, festival « les nuits photographiques ». 2007 CNAM de Paris les visites dessinées.


Mohamed Bourouissa
Temps mort
Fiction expérimentale | dv | couleur | 18:0 | France | 2009
Il s`agit d`une correspondance entre deux individus, l'un est enfermé et l`autre est en prison. Tout le film se construit sur cet échange de texte (sms), d`images et de paroles. Le film commence par la mise en place du processus filmique (d`une certaine manière, le début film raconte la réalisation de l`objet filmique) pour devenir petit à petit un film qui questionne les notions de liberté et d`enfermement.
Mohamed Bourouissa est né en 1978 à Blida en Algérie. Il vit et travaille à Paris. Il suit actuellement la formation du Studio National des Arts ? Le Fresnoy. Il est diplômé de l?Ecole nationale supérieure des arts décoratifs de Paris en photographie et a suivi un cursus en Art plastiques à la Sorbonne Paris 1 où il a soutenu un DEA. Des expositions personnelles se sont tenues notamment au Centre culturel de Correios, à Rio de Janeiro au Brésil, à la Galerie des filles du Calvaire, à Breda Photo 2008, Pays-Bas, à la Site Gallery, Sheffield en Angleterre, à la Pauza Galerie, à Cracovie en Pologne. Son travail a fait partie de nombreuses expositions dans le monde, notamment récemment de la Biennale Photographie et Architecture à La Cambre, Bruxelles, Belgique, à la biennale d?art contemporain d?Alger, Algérie, au New Museum of contemporary art, New York, et aux Deutsches Historisches Museum, Berlin, Allemagne. Son travail fait parties de plusieurs collections publiques : la Cité nationale de l?Histoire de l?immigration, Paris, le Fonds national d?art contemporain, France, la Galerie du Château d?Eau, Toulouse, France, le Finnish Museum of Photography, Helsinki, Finlande.