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François Rosolato
Catalogue : 2006Son pays est une prison | Documentaire | dv | couleur | 77:0 | France | 2004
François Rosolato
Son pays est une prison
Documentaire | dv | couleur | 77:0 | France | 2004
Comment font les Birmans pour vivre sous une dictature qui, depuis deux générations a séquestré toute forme d?espoir ? Le long du fleuve Iraouaddy apparaissent les traces de la résistance d`un peuple privé de son guide, Aung San Suu Kyi, Prix Nobel de la Paix, sauvagement attaquée et mise au secret.
François Rosolato, né à Paris en 1963, est auteur, réalisateur, comédien et chef opérateur. Formé à l`École Nationale Louis Lumière, il commence à travailler à la caméra, dans le domaine de la fiction puis du documentaire. Attiré par le cinéma du réel, il aborde parallèlement le domaine de la réalisation dans une optique très personnelle, en parvenant à trouver des financements en marge de l'univers formaté des chaînes françaises.
Douglas Ross
Catalogue : 2007UN | Installation vidéo | dv | couleur | 7:7 | USA | 2004
Douglas Ross
UN
Installation vidéo | dv | couleur | 7:7 | USA | 2004
L'immeuble des Nations Unies à New York, la nuit. Douglas Ross filme une architecture vide, seulement encore animée par des lumières, intermittentes, vacillantes.
Douglas ROSS est né en 1969. Il vit et travaille à New York. Son travail a été exposé au musée d'art contemporain de Miami, au festival du film de Rotterdam, à Turin, au KW institut d'art contemporain à Berlin, PS1 Contemporary Art Center / MoMA, The Walker Art Center. Il a également effectué des résidences d'artistes et participé à des programmes d'échanges au Japon
Catherine Ross
Catalogue : 2008Trilling | Art vidéo | dv | couleur | 3:52 | USA | 2006
Catherine Ross
Trilling
Art vidéo | dv | couleur | 3:52 | USA | 2006
"Trilling" reprend des séquences de la série des années 80 "Three's Company" et crée un enchaînement de boucles gestuelles progressives. Le trompétiste Taylor Haskins a collaboré à la bande son, apportant une réponse improvisée unique à chaque clip.
Catherine Ross travaille la vidéo et la photographie, mettant en scène des gestes qui passent souvent inapperçus dans leur contexte original. Isolant les mouvements des humains et/ou des objets, ses vidéos créent de nouvelles séquences musicales qui révèlent une relation fondamentale entre mouvement et son. Elle découvre que le mouvement révèle une maladresse inhérente, une humeur qui fait écho à notre propre vulnérabilité. Son travail a été presenté dans des expositions et des festivals à travers le monde: au Brésil, en Finlande, en Irlande, en Angleterre, au Canada et aux Etats-Unis. Ross a suivi des cours à la Skowhegan School of Painting and Sculpture en 2002, l'Itlantic Center for the Arts en 2003 et a reçu pour 2005-6 une résidence de la Marie Walsh Sharpe Foundation. Récemment, Catherine Ross a été gratifiée du "Best International Short Award" au Darklight Festival de Dublin, en Irlande. Elle vit et travaille à Brooklyn, New York.
David Ross
Catalogue : 2017Théodolitique | Doc. expérimental | 35mm | couleur | 15:10 | Canada | 2015
David Ross
Théodolitique
Doc. expérimental | 35mm | couleur | 15:10 | Canada | 2015
Théodolitique (2015) est un projet cinématique qui réunit le géodésique et le filmique, unissant la très longue histoire de l’arpentage et celle, comparativement nouvelle, des technologies cinématographiques. Reliant ces deux méthodes d’observation visuelle et d’enregistrement, Théodolitique documente des étudiants arpenteurs de l’École des Métiers du Sud-Ouest de Montréal au cours d’une seule journée, lors d’un examen extérieur. Théodolitique utilise un large éventail de techniques filmiques et acoustiques — y compris un microphone parabolique pour capter les sons distants, ainsi qu’une « théodocam » construite sur mesure pour recréer le point de vue d’un arpenteur — afin de refléter et mimer la manière dont les étudiants bougent, réfléchissent et apprennent leur métier. Tourné sur un terrain dédié à la pratique adjacent à l’École des Métiers, Théodolitique est un film à la fois chorographique et chorégraphique.
The works of David K. Ross are concerned with the processes and activities which enable infrastructural monuments, cultural institutions, and architectural structures to exist. Using photography, film and installation to carry out these inquiries, he examines the performative capacities of un-scripted activities, along with the relationships that exist between the recorded event and its re-presentation in physical space. These inquires have been applied to various projects including a study of the enigmatic activities of student land surveyors, the uncanny and oneiric qualities of a series of rooms at the Art Institute of Chicago, the nuanced and poetic movements of dancers about to perform, the mythic and sublime qualities of an urban lighting fixture in Montréal, the quietude of artists’ storage spaces, and a close examination of colour coded art shipping crates.
Maxime Rossi
Catalogue : 2017Real Estate Astrology | Vidéo | hdv | couleur | 21:0 | France | 2015
Maxime Rossi
Real Estate Astrology
Vidéo | hdv | couleur | 21:0 | France | 2015
Appréhendées comme un voyage mental, visuel et sonore proche de l’esprit surréaliste, les images se succèdent au rythme de l’énonciation mystique du thàme astral de Ersnt dressé par un astrologue de Sedona, également saxophoniste, qu’il a lui-même dressé après avoir constaté une erreur dans l’heure de naissance de celui commandé par Breton en 1930. Sa voix off accompagne le spectateur. à la fois atmosphère sonore et piste narrative, elle parait guider cette chasse au fantôme - probablement celui de l’esprit de Max Ernst qui, partout, imprègne les lieux. Tandis que la mélodie rappelle les bandes sonores de méditation disponibles dans les boutiques de souvenirs de la ville, la désynchronisation répétée des rushes dans le temps évoque, tel ce chat dont le corps se dédouble, le “voyage astral” cher aux surréalistes, l’expèrience de hors corps, la sensation de flottement. Dans son film Real Estate Astrology (2015), Maxime Rossi développe une réflexion à facettes pour portraiturer un lieu. Il confronte deux états de narration entre lesquels le spectateur peut osciller, du diagnostic des traces objectives d’une quète, real estate, au pronostic à valeur prédictive d’une vie dressé d’après l’interprètation stellaire, astrology.
Le travail de Maxime Rossi contourne les limites de genre prédéfini comme de style pour puiser ses formes et son inspiration dans de multiples sources : l’histoire de l’art, l’ethnographie ou la littérature. L’impressionnant éventail des registres provoque une étrange narration, que l’artiste utilise pour dévoiler des vérités en portant un nouveau regard sur des sujets que nous pensions connaître avec certitude. À travers le prisme kaléidoscopique d’une pratique complexe et hétéroclite mêlant la sculpture, l’installation, la performance, la scénographie et la vidéo, Maxime Rossi ignore l’idée même de catégories et propose une discipline singulière qui convoque la « beauté convulsive » chère aux surréalistes. Maxime Rossi est né en 1980, il vit et travaille à Paris, France. Son travail a fait l’objet de projections au Centre Pompidou, Paris et au MUMOK, Vienne (Autriche). Il a notamment été montré dans le cadre d’expositions personnelles et collectives au Palais de Tokyo, Paris, à l’Emba / Galerie Édouard-Manet, Gennevilliers, à la Fondation François Schneider, Wattwiller, à La Halle des bouchers, Vienne, à la 19e Biennale de Sydney, au S.M.A.K. de Gent ou au Musée d’Ethnographie de Genève, Suisse.
Catalogue : 2017Sister Ship | Vidéo | 16mm | couleur | 52:0 | France | 2015
Maxime Rossi
Sister Ship
Vidéo | 16mm | couleur | 52:0 | France | 2015
Avec « Sister Ship » [le navire de la Soeur], Maxime Rossi propose une nouvelle étape de son projet d’envergure inspiré par Soeur Corita Kent (1918-1986), religieuse américaine ayant quitté les ordres en 1968 et connue pour avoir contribué à la culture pop. À partir des années 1960, cette soeur a effectivement développé une pratique artistique en produisant des affiches sérigraphiées qui entremêlent slogans publicitaires, paroles de chansons et versets religieux. S’inspirant de ce personnage hors-normes, Maxime Rossi propose une installation dynamique de cinéma élargi qui regroupe une vidéo spatialisée dans La Halle des bouchers et des éléments de décor scénique colorés. Cette comédie musicale décalée combine les séquences du film documentaire Pygmée Blues (2013) tourné le long du fleuve Congo, avec une bande son constituée de la transcription d’un livre sur Soeur Corita, chantée par Emma Daumas accompagnée de musiciens africains.
Le travail de Maxime Rossi contourne les limites de genre prédéfini comme de style pour puiser ses formes et son inspiration dans de multiples sources : l’histoire de l’art, l’ethnographie ou la littérature. L’impressionnant éventail des registres provoque une étrange narration, que l’artiste utilise pour dévoiler des vérités en portant un nouveau regard sur des sujets que nous pensions connaître avec certitude. À travers le prisme kaléidoscopique d’une pratique complexe et hétéroclite mêlant la sculpture, l’installation, la performance, la scénographie et la vidéo, Maxime Rossi ignore l’idée même de catégories et propose une discipline singulière qui convoque la « beauté convulsive » chère aux surréalistes. Maxime Rossi est né en 1980, il vit et travaille à Paris, France. Son travail a fait l’objet de projections au Centre Pompidou, Paris et au MUMOK, Vienne (Autriche). Il a notamment été montré dans le cadre d’expositions personnelles et collectives au Palais de Tokyo, Paris, à l’Emba / Galerie Édouard-Manet, Gennevilliers, à la Fondation François Schneider, Wattwiller, à La Halle des bouchers, Vienne, à la 19e Biennale de Sydney, au S.M.A.K. de Gent ou au Musée d’Ethnographie de Genève, Suisse.
Nicolas Rossi
Catalogue : 2017Made in Algeria | Vidéo | hdv | couleur | 10:13 | France, Allemagne | 2016
Nicolas Rossi
Made in Algeria
Vidéo | hdv | couleur | 10:13 | France, Allemagne | 2016
Nicolas Rossi, geboren 1978 in Thonon-les-Bains (F), studierte, nach einem Gaststudium bei Gerd Roscher in Experimenteller Filmkunst an der HFBK Hamburg, an der Bauhaus Universität Weimar, bevor er 2012 die Hochschule für Grafik und Buchkunst in Leipzig als Meisterschüler absolvierte. Aktuell forscht er im Rahmen eines wissenschaftlich-künstlerischen Projekts namens „Essayismus als Tool der Kritik im Zeitalter der hybriden Bewegtbildformate“ an der Filmuniversität Babelsberg Konrad Wolf.
Sergei Rostropovich
Catalogue : 2025Archipelago | Vidéo | digital | noir et blanc | 10:26 | Allemagne | 2023
Sergei Rostropovich
Archipelago
Vidéo | digital | noir et blanc | 10:26 | Allemagne | 2023
ARCHIPELAGO was filmed in the ruins of a former Soviet gulag, where prisoners were forced into hard labor to quarry limestone. After the collapse of the USSR, the infrastructure that prevented flooding fell into disrepair, submerging the prison beneath the waters of Lake Rummu in Estonia. In recent years, Estonian authorities have transformed the area into a recreational park, inviting tourists and families to explore this once-hidden place—a layered testament to collective memory and history. Through a blend of static and weightless filming styles, Archipelago contemplates the passage of time and nature’s quiet reclamation, offering a reflective perspective on impermanence and transformation
Sergei Rostropovich (b. 1986) is a New York-born filmmaker and photographer based in Paris. After graduating from the International Film School of Paris, he began his career as an assistant director on Faust by Alexander Sokurov, which won the Golden Lion at the 2011 Venice Film Festival. He went on to direct a range of short films, including Ophelia, which premiered at the New York Film Festival in 2014, marking his shift toward non-narrative video work. Rostropovich’s art explores the fleeting nature of human experience, balancing moments of celebration and ritual against darker themes of violence and inevitable decay. Through his video and photographic work, he contemplates life’s fragile beauty and the quiet, constant force of entropy, capturing a world where joy and impermanence are inextricably linked.
Martine Rousset
Catalogue : 2018Rue pouchkine | Doc. expérimental | hdv | couleur | 33:0 | France | 2017
Martine Rousset
Rue pouchkine
Doc. expérimental | hdv | couleur | 33:0 | France | 2017
de Martine ROUSSET 2012-2017 / Betacam Numérique / couleur / sonore / 1E / 33` 00 Yerevan, Arménie, dans l`illisible secret prisonnier des ombres dans les nuits de sous la terre trains pour nulle part la splendeur sereine des montagnes chants mutiques paradoxe mystique les voix des prisons éphémère voyageur léger dormeur
Nait le 29 mai 1951 à Montpellier, réside à Sète jusqu’en 1975 étudie la philosophie et le cinéma à l’Université Paul Valery de Montpellier. cinéaste de la lumière et de l`écrit ,travaille le film depuis 1977 oeuvre au département audiovisuel du Musée d’Art Moderne de la ville de Paris ,auprès de Suzanne Pagé depuis 1978.
Philippe Rouy
Catalogue : 2023KAISERLING III | Vidéo | mov | couleur | 23:30 | France | 2022
Philippe Rouy
KAISERLING III
Vidéo | mov | couleur | 23:30 | France | 2022
Un homme filme le vivant. Il l’archive dans des préparations humides paradoxales . Des images en fluide qui pourraient lui survivre. En 2100, sa fille aura 86 ans. Il en aura 129.
Philippe Rouy est réalisateur. Sa trilogie consacrée à la catastrophe nucléaire de Fukushima, 4 bâtiments, face à la mer, Machine to Machine et Fovea centralis, a été présentée, entre autres, au FIDMarseille, Cinéma du Réel, Mumbai Film Festival, Torino Film Festival.
Catalogue : 2015MACHINE TO MACHINE | Doc. expérimental | web | couleur | 32:0 | France, Japon | 2013
Philippe Rouy
MACHINE TO MACHINE
Doc. expérimental | web | couleur | 32:0 | France, Japon | 2013
À Fukushima daiichi, le ventre de la centrale nucléaire effondrée maintient pour encore très longtemps les humains à distance. Seules d’autres machines peuvent s’en approcher. Elles filment pour les hommes ce qu’ils ne peuvent plus voir. Entre mouvements pendulaires lancinants et pénétrations gyroscopiques, ces images annoncées par l’exploitant comme des explorations scientifiques rigoureuses s’avèrent être des plongées chaotiques et hallucinées au cœur d’un magma radioactif irréductible.
Philippe Rouy vit et travaille à Paris. Ses films sont montrés dans des festivals et des lieux de diffusions tels que FIDMarseille, Torino Film Festival, Rotterdam IFF, Jihlava IFF, UnionDocs New York, Cinéma Spoutnik de Genève, Cinema Nova de Bruxelles, etc...
Catalogue : 20134 bâtiments, face à la mer | Documentaire | dv | couleur | 47:0 | France | 2012
Philippe Rouy
4 bâtiments, face à la mer
Documentaire | dv | couleur | 47:0 | France | 2012
En juin 2011, l?exploitant de la centrale nucléaire de Fukushima a installé une livecam sur le site. Outil d?une transparence factice, cette caméra de propagande diffuse les images uniques d?une catastrophe sans fin. En un seul plan fixe ininterrompu, un paysage létal distille son invisible toxicité et le paradoxe de son étrange beauté. Tremblements de terre, brumes enveloppantes, fumées des réacteurs, vols de corbeaux, pluies radioactives, etc., les images d?un espace géographique rayé de la carte se succèdent hors du temps des hommes. Par un geste de défiance à l?adresse de cette machine oculaire, un liquidateur anonyme, ramène pourtant jusqu?à nous cet outre-monde interdit.
Philippe Rouy vit et travaille à Paris (France).
Vincent Roven
Catalogue : 2006Logologo | Fiction | 16mm | couleur | 7:30 | France, Brésil | 2005
Vincent Roven
Logologo
Fiction | 16mm | couleur | 7:30 | France, Brésil | 2005
"Après le pont, commence le pays des fantômes" (Dracula - Bram Stocker)
Vincent Roven est né en Mai 1968. Il a étudié aux Beaux Arts de Marseille - Luminy. Il a obtenu son diplôme d´études supérieures en Arts Plastiques en 1994. Depuis 1995, il vit et travaille à São Paulo, Brésil, et a participé à la réalisation de plusieurs travaux audiovisuels/ cinéma, parmi lesquels: - "Kyrie ou le début du Chaos" (fiction, 35mm, 15 min., 1998): réalisateur assistant/ directeur artistique: - "Jusqu´à 120 ans" (documentaire, digital, 70 min., 2002): co-direction - ULALAPA (fiction/doc - digital, 12 min., 2003): co-direction, montage, son - LOGOLOGO (fiction - digital, 7 min., 2005): réalisation, montage, son et Photographie Il développe également des activités liées aux arts plastiques et a réalisé plusieurs expositions collectives et individuelles parmi lesquelles: 2001 - "Medodanóia" - exposition individuelle réalisée au "Centro Cultural São Paulo" - São Paulo - Brésil 2000 - "SUNSET" - exposition individuelle réalisée à la "FUNARTE" (Fondation Ntionale des Arts) - São Paulo - Brésil
Jeffrey Rovinelli
Catalogue : 2017Empathy | Documentaire | 16mm | couleur | 82:45 | USA | 2016
Jeffrey Rovinelli
Empathy
Documentaire | 16mm | couleur | 82:45 | USA | 2016
A New York, l’aube vibre et s’étend sur un corps en éveil. A moitié recouvert par les draps, c’est un corps qui ne se dévoilera jamais totalement, même quand saisi dans l’acte sexuel : Em est une escort girl, qui plus est héroïnomane, c’est-à-dire précisément les éléments que le premier film de Jeffrey Dunn Rovinelli énonce au plus vite pour mieux les éjecter. De New York à Los Angeles en passant par Pittsburgh, le quotidien de Em se dévoile avant tout comme une antithèse des idées préconçues sur elle, interrogeant le spectateur sur son désir par rapport au film documentaire. Faut-il regarder Em comme elle regarde les passants dans la rue, par la fenêtre de son hôtel ? La drogue est invisible, si ce n’est dans les mots, et le sexe n’est plus qu’une performance pop-shakespearienne filmée en HD. Autour du travail, des étapes pour y entrer et en sortir : déplacement, maquillage, attente… De ce quotidien à priori composé de temps morts surgit la véritable vie de Em et un certain portrait des États-Unis. Dans ses confessions se révèlent rêves d’indépendance et présence du lointain, attirance et dégoût envers les autres. Si à la fin le 16mm semble accueillir une libération secrète du personnage, le spectateur se doutera bien que c’est parce que c’est Em qui s’est emparé du film et désormais le façonne. (V.P., FID Marseille catalogue)
Jeffrey Dunn Rovinelli was born in 1988 in Boston, USA. Following a degree in Film Studies from Wesleyan University. They currently reside in New York City, where they also work as a critic, editor, and colorist. Empathy is their first feature, following two short films.
Steven Rowell
Catalogue : 2025Lost Prairie Valley | Doc. expérimental | 4k | couleur | 25:0 | USA | 2023
Steven Rowell
Lost Prairie Valley
Doc. expérimental | 4k | couleur | 25:0 | USA | 2023
This is a film about plants. It was made by plants. They transmitted their instructions to the human director through artificially intelligent means. “Every day the urge grows stronger to get hold of an object at very close range by way of its likeness, its reproduction.”- Walter Benjamin, "The Work of Art in the Age of Mechanical Reproduction," (1935) in Illuminations, ed. Hannah Arendt, trans. Harry Zohn, (New York: Shocken, 1969) Prior to the nineteenth century, western philosophers thought of eyes as broadcast centers, producing images of the world. As this perceived center of the universe shifted away from humans, and the Earth, it became more difficult to see the natural world exactly at the moment that industrial society’s exploitation began driving entire species towards extinction. Since that time, increasingly complex machines and algorithms do the work of seeing and recording the effects of the global climate emergency. Lost Prairie Valley investigates this moment at ecological research stations in the American state of Minnesota, with a little object recognition help from artificial intelligence.
Steve Rowell is a human, artist, and educator who works with photography, moving image, sound, maps, and spatial relations. His research-based practice investigates terrains of perception, nonhuman intelligence, extinction, and technology, exploring the landscape as a site of political imagination. Steve contextualizes the morphology of the built environment with the surrounding medium of Nature, appropriating the methods and tools of the geographer and archaeologist.
Catalogue : 2017Parallelograms | Doc. expérimental | hdv | couleur | 30:0 | USA | 2015
Steven Rowell
Parallelograms
Doc. expérimental | hdv | couleur | 30:0 | USA | 2015
Parallelograms is an experimental documentary film and mapping project aimed at representing corruption and dark money in American politics. Political Action Committees, think tanks, trade associations, lobbying agencies, and advocacy groups are institutions where experts gather to discuss, map, and strategize, creating political and economic environments that help secure their visions of the future. This project is concerned with the multiverse of these near futures -- some more probable than others -- as well as with the present. Parallelograms is about where vectors of geography, landscape, politics, finance, and temporality intersect and how they are manifested. It also serves as a linear “cognitive mapping” experiment in which the viewer experiences a compressed, systematic tour of a dense and complex political terrain. Abstraction coexists with the real as a reflection of the current state of political discourse in America today. Corrupted power and distorted influence affects us all by exacerbating economic disparity, resource depletion, environmental degradation, and civil rights abuses. The intent of Parallelograms is not simply to present documentation from an exhaustive list, or to dictate any particular activist agenda, but rather, to extrapolate from the political landscape in a way that compels discussion about dark money.
Steve Rowell is a research-based artist who works with still and moving images, sound, installation, maps, and spatial concepts. Currently based in Los Angeles, he has lived in Berlin, Chicago, and Washington DC, over the past 20 years. His transdisciplinary practice focuses on overlapping aspects of technology, perception, and culture as related to ontology and landscape. Rowell contextualizes the built environment with the surrounding medium of nature; appropriating the methods and tools of the geographer and archaeologist. In addition to being Program Manager at The Center for Land Use Interpretation (Los Angeles) since 2001, he has collaborated with SIMPARCH (Chicago) and The Office of Experiments (London).
Paul Rowley, Phillips/Rowley
Catalogue : 2019L'Albero Rosso | Doc. expérimental | mov | couleur | 21:0 | Irlande, USA | 2018
Paul Rowley
L'Albero Rosso
Doc. expérimental | mov | couleur | 21:0 | Irlande, USA | 2018
THE RED TREE / L`ALBERO ROSSO is short documentary that tells the little known history of Italian gay men being arrested and exiled to a remote island during Mussolini`s Fascist regime. In the film, an elderly man returns to the island of San Domino where 60 years before during the Fascist era he was imprisoned with hundreds of other men for being homosexual. As he walks the island alone, memories come back - of all-male dances in his home town in Sicily in the 1930s, of his beating and arrest, the difficulty of prison life on the island, the suffering of gay men under fascism, and their public humiliation after their return. And of this unique island where all the prisoners were gay, and the seeds of a community were first sown.
A visual artist and filmmaker, Paul began making films in 1995. Since then he has completed over forty shorts, documentaries, video installations, and experimental films, which have shown internationally from the Berlin Film Festival to San Francisco International to the Centre Pompidou.
Catalogue : 2014DMC-13 | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:22 | Irlande | 2013
Paul Rowley
DMC-13
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:22 | Irlande | 2013
DMC-13 is a short video produced on analog video synthesisers at the Experimental Television Center in New York. The film uses images from a documentary on John DeLorean - the ill fated automobile manufacturer - who opened his luxury sports car factory in Belfast at the height of the troubles in the north of Ireland. As the US car industry collapsed, and DeLorean was arrested for alleged cocaine smuggling, his dream of `affordable luxury`, which had spent over £100 million of taxpayers money, also perished.
Paul Rowley is a visual artist and filmmaker. He first began making films in 1995. Since then he has completed over 30 shorts, feature films, video installations, and documentaries. The works are shown both in galleries and film festivals. Previous screenings include - Centre Pompidou Paris, Hammer Museum Los Angeles, Forum Expanded at the Berlin Film Festival, Photographers` Gallery, London, Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid, Museum of Modern Art Dublin. He recently completed a 60 screen permanent installation at Los Angeles International Airport.
Catalogue : 2011The Rooms | Vidéo expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 62:0 | Irlande | 2010
Paul Rowley, Tim Blue
The Rooms
Vidéo expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 62:0 | Irlande | 2010
The Rooms looks back at the remnants of the 20th century through the eyes of the 21st. Watching the film is like wandering through a ghosted world. You find yourself in unfamiliar places as if arriving in a dream, suddenly and without direction, yet with apparent logical precision. A theatre operates by and for itself; a museum archives its own contents; a city attempts to replicate language; an unfinished embassy recalls political turmoil; an abandoned spy station collects fragments of historical data and re-programmes itself. These Rooms operate as quantum architectures, forming and collapsing by themselves, defying categorisation. With rich sound design and diverse formats, the film is a visually complex study of a world abandoned that somehow continues to operate. People exist only as echoes in the empty spaces. Filmed in Italy, Germany, Spain, the United States and Korea, the numerous locations become the interconnected sites of a post-human environment. Disparate fragments come together to form a whole through the film`s unique reading of time. The wages of human endeavour are leveled and treated as data. The perspectives of the past ? modernist, machine, space-age ? are scrutinized by a future that escaped prediction. The Rooms is a collaborative project by Paul Rowley and Tim Blue made with the support of a Projects Grant from the Irish Arts Council
BIO: Paul Rowley Paul Rowley is a filmmaker and visual artist. He began making experimental short films in 1995, and has presented his work internationally since. His films have received numerous awards over the years from the Irish Arts Council, New York State Council for the Arts, Irish Film Board, Culture Ireland, the Glen Dimplex Artists? Award (Irish Museum of Modern Art?s contemporary art prize), the Irish American Arts Awards, and a Golden Spire at the San Francisco International Film Festival. His recent documentary, Seaview premiered at the Berlin Film Festival, was nominated for an Irish Film and Television Award and received a Special Jury Mention at the DMZ Documentary Festival in Korea. Recently completed projects include a feature length experimental film, The Rooms, and a perma- nent public video art installation for LAX airport Los Angeles. He is currently in production on a new feature documentary commissioned by the Dublin Film Festival. BIO: Tim Blue Tim Blue is a film maker who also works in other diverse media. His videos have screened at many international festivals including the Berlin Film Festival, Oberhausen, Art Basel, Mix, Rencontres Internationales, and Darklight, among others. Based in Berlin, he also composes music for theatre and film, has conducted video workshops for youth, and has performed throughout Europe with his group, CHEAP. Tim?s recorded audio work is prolific, and includes several solo as well as collaborative works. The Rooms is his first feature film.
Catalogue : 2009The Rooms | Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 6:50 | Irlande | 2008
Paul Rowley, Tim Blue
The Rooms
Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 6:50 | Irlande | 2008
« The Rooms » est une collaboration entre amis. Tim (Blue) a filmé sa ville natale lors d'une visite, après de nombreuses années d?absence. Le film a été envoyé à Paul (Rowley), qui l?a retravaillé, en combinant les séquences non traitées avec des abstractions animées à partir du film. Les images pleines se fracturent. Une séquence basée sur la grammaire a été construite. Dans chaque section, les chambres ont été imaginées en tant que fragments d'une architecture quantique - discrète, finie, infime.
Paul Rowley et Tim Bleu se sont connus à San Francisco (USA) en 1997. Ils ont ensuite collaboré sur de nombreux projets, notamment sur le long-métrage expérimental « As Lathair » (2002) et sur cette nouvelle ?uvre « The Rooms ». Tim Bleu est basé à Berlin, où il fait des films expérimentaux et de la musique. Il est membre de la performance collective « Cheap ». Paul Rowley est basé à Dublin et à Brooklyn (USA) et travaille comme artiste d?installation et réalisateur de films. Son documentaire-reportage « Seaview » a été projeté en première au Festival du Film de Berlin en 2008.
Catalogue : 2008Commonwealth | Art vidéo | dv | couleur | 4:30 | Irlande | 2007
Paul Rowley, Phillips/Rowley
Commonwealth
Art vidéo | dv | couleur | 4:30 | Irlande | 2007
"Commonwealth" examine les idées du progrès social en revisitant le programme spatial russe des années soixante, en particulier, l'orbite de la terre de Youri Gargarin en 1961. La présentation des évènements publics formants la perception de ce qui est bon pour la communauté et relevant l'esprit d'une communauté est examinée en relation avec le rôle d'une figure de proue individuelle, sélectionné dans la masse pour représenter une société internationalement. Inspiré d'une part par les écrits de Hobbes sur les politiques du corps, et les écrits sur l'histoire de la science, l'?uvre examine les idées de gouvernance et de communauté et l'usage de la division des modèles sociaux pour créer l'ordre. Une riche collection de références visuelles est rassemblée pour construire l'?uvre; par exemple, les Allégories d'un Bon Gouvernement: Les effet d'un bon gouvernement sur les villes et les campagnes d'Ambrogio Lorenzetti, des mosaïques murales soviétiques, l'iconographie de la course spatiale, le langage visuelle du progrès et les architectures utopiques et le design des expositions universelles de la fin des années soixante au début des années soixante-dix.
Paul Rowley est né à Dublin. David Phillips est né à Memphis. Ils travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et le son. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers` Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, à la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d`Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d`Art de Bonn, et "Bambi" à l`ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro. Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. Ils viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonates and Interludes" de John Cage. Ils ont été sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l`aéroport Lax de Los Angeles.
Catalogue : 2007Gravity Loop | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Irlande, USA | 2006
Paul Rowley, David PHILLIPS
Gravity Loop
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Irlande, USA | 2006
"Gravity Loop" est une série de photographies et de vidéos qui reconfigure une image unique dans le but de présenter différentes manières d'appréhender le temps. Prenant son point de départ dans la relativité, la série conduit à réfléchir sur les récentes découvertes en physique théorique et en String Theory, qui interrogent les possibilités du temps en tant que dimension non-continue, soit le fait, au niveau quantique, qu'il puisse y avoir des trous dans le temps. Bien que le modèle de l'atome comme sphère solide de matière ait été remplacé au début du XXe siècle par un modèle qui décrit l'atome comme espace presque vide, la vidéo recourt à de semblables idées pour illustrer d'éventuels modèles de capture du temps dans un temps non-continu. Une manière d'imaginer ce concept visuellement est de considérer l'utilisation des horloges pour indiquer l'heure. A la place d'une horloge unique qui montre le passage du temps de manière continue, au lieu de devoir imaginer un nombre infini d'horloges identiques, chacune d'entre elle parvient à l'existence pour une infime fraction de seconde, montre l'heure, et puis disparaît. Dans les intervalles des apparitions de ces horloges, il n'y a rien, un trou dans le temps où aucune manière et aucun movement ne peuvent exister.
Paul Rowley (né à Dublin) et David Phillips (né à Memphis) travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et des sons. Ils présentent leurs oeuvres sur les écrans des galeries, des musées et des festivals. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers? Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d'Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d'Art de Bonn, et "Bambi" à l'ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, "Prog:ME". Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. En 2000, ils ont été récompensés par le Glen Dimplex Artists? Award, le prix annuel d'art contemporain du Musée irlandais d'Art Moderne, qui est une sorte de Turner Prize irlandais. Cette vidéo brève intitulée "Suspension" a reçu le Golden Spire du Festival International de Cinéma de San Francisco et ces artistes ont remporté le prix du New Langton Arts Award. Paul a récemment remporté les prix du Irish American Arts, à la fois celui de la catégories des films hors 35mm et le prix général. Paul a été en résidence d'artiste à l'Atlantic Center for the Arts de Floride avec Gillian Wearing et il a reçu pour le travail qu'il poursuit depuis 1997, de nombreux prix de l'Irish Arts Council. Il a été membre de Macdowell Artist Colony à New Hampshire, et récemment, il s'est rendu en Italie pour travailler sur une nouvelle série de vidéos à la Bogliasco Fondation. Il a bénéficié d'une résidence à l' Experimental television Center de New York en 2005, qui lui a permis d'obtenir récemment une bourse du NYCSA, le New York State Council for the Arts. Paul et David viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonatas and Interludes" de John Cage, dont la première a eu lieu au mois de juillet dernier, au Stone de New York, en collaboration avec le pianiste Emily Manzo. Paul est en train d'achever un documentaire long métrage tourné dans le camp de vacances ouvert par Billy Butlin à Mosney, et qui est aujourd'hui utilisé comme centre d'accueil pour les demandeurs d'asile. Ils ont aussi été récemment sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l'aéroport Lax de Los Angeles, annoncée pour 2007.
Catalogue : 2007Latent Heat | Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 3:30 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Latent Heat
Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 3:30 | Irlande | 2004
En physique classique, l'énergie d'un système dans lequel la matière passe d'un état à un autre semble atteindre un plateau quand on approche du niveau de température critique. Issu d'observations basiques en physique, la vidéo examine comment un changement structurel et les états intermédiaires qui lui sont associés peuvent être appliqués à des lectures sociologiques. Analysant les sociétés en temps de crise, et appréhendant les moments de situation explosive comme des catalyseurs d'un changement social accéléré, la vidéo relie entre eux esthétiquement le champ social et les sciences physiques afin de voir ce à quoi une société peut ressembler à un moment d'extrême agitation.
Paul Rowley (né à Dublin) et David Phillips (né à Memphis) travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et des sons. Ils présentent leurs oeuvres sur les écrans des galeries, des musées et des festivals. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers? Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d'Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d'Art de Bonn, et "Bambi" à l'ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, "Prog:ME". Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. En 2000, ils ont été récompensés par le Glen Dimplex Artists? Award, le prix annuel d'art contemporain du Musée irlandais d'Art Moderne, qui est une sorte de Turner Prize irlandais. Cette vidéo brève intitulée "Suspension" a reçu le Golden Spire du Festival International de Cinéma de San Francisco et ces artistes ont remporté le prix du New Langton Arts Award. Paul a récemment remporté les prix du Irish American Arts, à la fois celui de la catégories des films hors 35mm et le prix général. Paul a été en résidence d'artiste à l'Atlantic Center for the Arts de Floride avec Gillian Wearing et il a reçu pour le travail qu'il poursuit depuis 1997, de nombreux prix de l'Irish Arts Council. Il a été membre de Macdowell Artist Colony à New Hampshire, et récemment, il s'est rendu en Italie pour travailler sur une nouvelle série de vidéos à la Bogliasco Fondation. Il a bénéficié d'une résidence à l' Experimental television Center de New York en 2005, qui lui a permis d'obtenir récemment une bourse du NYCSA, le New York State Council for the Arts. Paul et David viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonatas and Interludes" de John Cage, dont la première a eu lieu au mois de juillet dernier, au Stone de New York, en collaboration avec le pianiste Emily Manzo. Paul est en train d'achever un documentaire long métrage tourné dans le camp de vacances ouvert par Billy Butlin à Mosney, et qui est aujourd'hui utilisé comme centre d'accueil pour les demandeurs d'asile. Ils ont aussi été récemment sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l'aéroport Lax de Los Angeles, annoncée pour 2007.
Catalogue : 2006Microfiche:diamond trade | Art vidéo | dv | couleur | 5:0 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Microfiche:diamond trade
Art vidéo | dv | couleur | 5:0 | Irlande | 2004
La nuit du 27 avril 1974, des membres d?une branche armée de l?IRA volent 19 peintures à la Russborough House pour une valeur de 8 millions de livres. Parmi ces toiles, des Vermeer, Gainsborough, Velásquez. Les voleurs demandent le retour de prisonniers républicains irlandais détenus en Angleterre et une rançon de 500 000 livres. Les autorités répondent en offrant 100 000 livres de récompenses pour toute information sur l?affaire. Dix jours après le vol, la police irlandaise récupère les peintures dans le comté de York. Rose Dugdale, anglaise fortunée, est inculpée et condamnée. Elle est également condamnée pour son implication dans une opération précédente de l?IRA, l?attaque d?un poste de la Royal Ulster Constanbulary (forces de police d?Irlande du nord), au moyen d?un hélicoptère détourné. Rose Dugdale eut une peine de 18 ans de prison et en effectua 9. Dans cette vidéo, le déroulement des événements est retracé par l?utilisation d?images archivées sur microfiche, disponibles en bibliothèque, système actuellement obsolète. Ces images diffusées par les informations de l?époque sont rephotographiées sur internet, et montées dans une séquence qui les apparie. Ce qui permet une reconstitution de l?événement. L?intérêt de cet exercice pour celui qui regarde la vidéo est la série d?échanges qui y est présentée. La fortune de la famille Beit, initialement utilisée pour l?acquisition de ces peintures, a été accumulée par Alfred Beit, partenaire avec Cecil Rhodes des Mines de Beers en Afrique du Sud, qui, en 1891, détenait 90% de la production mondiale de diamant. Ces profits ont donc été utilisés pour l?achat des peintures, qui ont été volées quatre fois à la Russborough House depuis ces trente dernières années. La séquence des échanges est ici ce qui est intéressant, où des diamants d?Afrique deviennent des chefs d?oeuvres de l?art occidental, des valeurs d?échange pour des prisonniers politiques, et enfin, des objets de marchandage utilisés par des bandes criminelles organisées pour négocier avec l?Etat irlandais.
David Phillips est né en 1970 à Memphis, il a étudié les arts à Washington et à Rome. Paul Rowley est né à Dublin en 1971. Il a étudié au Trinity College de Dublin et à San Francisco. Ils collaborent ensemble depuis 1998, et vivent actuellement à New York. Ils réalisent des films, des installations vidéos, des photographies et des travaux sonores. Depuis les débuts de leur collaboration, ils ont reçu de nombreux prix. En 2000, ils ont obtenu le Glen Dimplex Artists? Award, prix annuel d?art contemporain de l?Irish Museum of Modern Art, considéré comme l?équivalent irlandais du Tate?s Turner Prize. Leur vidéo SUSPENSION a reçu le Golden Spire en 1999 au San Francisco International Film Festival. La même année, ils ont reçu le New Langton Arts Bay Area Award for Video. Ils ont récemment exposé à la Photographer?s Gallery de Londres, et ont eu une exposition personnelle au Carillo Gil Museum of Contemporary Art de Mexico City. Leur travail a également été projeté à la Videonale au Kunst Museum de Bonnn ; au ICA de Philadelphie ; au festival Impakt; à Séville ; au Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, à Impakt, au nouveau musée d?art contemporain de Bucarest
Catalogue : 2006Security Fugue | Art vidéo | super8 | couleur | 4:0 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Security Fugue
Art vidéo | super8 | couleur | 4:0 | Irlande | 2004
Contrasting the promise of rescue with threats of captivity and injury, ?Security Fugue? examines personal responses to crisis in the current arena of ubiquitous security. Images of a rescue helicopter move across the screen in exaggerated slow motion, while on a second screen, the camera tracks over aeriel views of a hospital and rescue crew on the ground below. In the audio track, stuttering confessions and dislocated murmurs echo in unison with the constant rhythm of chopping helicopter blades which fills the space. Sources for the piece are varied; a small excerpt of a 35mm Hollywood trailer from the early 1970`s, a 16mm educational film about psychological responses to disasters, taped recordings of phone calls made by Patty Hearst from captivity in 1974, interviews with Hearst from 2003 describing her revisited experiences of captivity, and original sound compositions by the artists. The memory lapse of the amnesiac is taken as a starting point from which to investigate the process of forgetting, remembering and rewriting of recent memories. These editorial patterns of amnesia are juxtaposed visually with images of physical constraint that parallel the collective mental state of a society in a state of siege. Musically, the imitative polyphonic compositional structure of the fugue in which a theme is stated successively in several voices is used both to determine the editing structure of the work and for its references to pursuit and flight. In psychiatry, the fugue is described as a condition of pathological amnesia during which one is apparently conscious of one`s actions, but has no recollection of them after returning to a normal state. This condition, usually resulting from severe mental stress, is of interest in describing a trauma that is experienced both individually and collectively. In installation, the piece is presented as two side-by-side large-scale projections with a surround sound audio mix. A single channel version is also available for cinema and festival screenings.
Artists David Phillips (Memphis, Tennessee 1970) and Paul Rowley (Dublin, Ireland 1971) have been working together collaboratively since 1998, primarily with film, video installation and sound. In 2000, they won the Glen Dimplex Artists? Award, the Irish Museum of Modern Art?s annual contemporary art prize, and seen as the Irish equivalent of the Tate?s Turner prize. Their short video Suspension was awarded a Golden Spire at the 1999 San Francisco International Film Festival. In the same year they were the recipients of the New Langton Arts Bay Area Award for video. Recent exhibitions include Re:mote at the Photographers? Gallery, London, Videonale at the Bonn Kunst Museum, and Bambi at the ICA in Philadelphia. Their work was recently selected by New Museum?s senior curator Dan Cameron to participate in the annual ev+a exhibition in Limerick, Ireland. Recent fesitval screeings include the Impakt festival in Holland, special mention at the Zemos:98 festival in Sevilla, and retrospectives at the Darklight Digital Festival in Dublin and Prog:ME, the Rio de Janeiro festival of Media Arts. Paul has been artist in residence at the Atlantic Center for the Arts, Florida, with Gillian Wearing, and a fellow at the Macdowell Artist Colony in New Hampshire. He has received numerous awards and bursaries from the Irish Arts Council for his work.
Paul Rowley
Catalogue : 2019L'Albero Rosso | Doc. expérimental | mov | couleur | 21:0 | Irlande, USA | 2018
Paul Rowley
L'Albero Rosso
Doc. expérimental | mov | couleur | 21:0 | Irlande, USA | 2018
THE RED TREE / L`ALBERO ROSSO is short documentary that tells the little known history of Italian gay men being arrested and exiled to a remote island during Mussolini`s Fascist regime. In the film, an elderly man returns to the island of San Domino where 60 years before during the Fascist era he was imprisoned with hundreds of other men for being homosexual. As he walks the island alone, memories come back - of all-male dances in his home town in Sicily in the 1930s, of his beating and arrest, the difficulty of prison life on the island, the suffering of gay men under fascism, and their public humiliation after their return. And of this unique island where all the prisoners were gay, and the seeds of a community were first sown.
A visual artist and filmmaker, Paul began making films in 1995. Since then he has completed over forty shorts, documentaries, video installations, and experimental films, which have shown internationally from the Berlin Film Festival to San Francisco International to the Centre Pompidou.
Catalogue : 2014DMC-13 | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:22 | Irlande | 2013
Paul Rowley
DMC-13
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:22 | Irlande | 2013
DMC-13 is a short video produced on analog video synthesisers at the Experimental Television Center in New York. The film uses images from a documentary on John DeLorean - the ill fated automobile manufacturer - who opened his luxury sports car factory in Belfast at the height of the troubles in the north of Ireland. As the US car industry collapsed, and DeLorean was arrested for alleged cocaine smuggling, his dream of `affordable luxury`, which had spent over £100 million of taxpayers money, also perished.
Paul Rowley is a visual artist and filmmaker. He first began making films in 1995. Since then he has completed over 30 shorts, feature films, video installations, and documentaries. The works are shown both in galleries and film festivals. Previous screenings include - Centre Pompidou Paris, Hammer Museum Los Angeles, Forum Expanded at the Berlin Film Festival, Photographers` Gallery, London, Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid, Museum of Modern Art Dublin. He recently completed a 60 screen permanent installation at Los Angeles International Airport.
Catalogue : 2011The Rooms | Vidéo expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 62:0 | Irlande | 2010
Paul Rowley, Tim Blue
The Rooms
Vidéo expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 62:0 | Irlande | 2010
The Rooms looks back at the remnants of the 20th century through the eyes of the 21st. Watching the film is like wandering through a ghosted world. You find yourself in unfamiliar places as if arriving in a dream, suddenly and without direction, yet with apparent logical precision. A theatre operates by and for itself; a museum archives its own contents; a city attempts to replicate language; an unfinished embassy recalls political turmoil; an abandoned spy station collects fragments of historical data and re-programmes itself. These Rooms operate as quantum architectures, forming and collapsing by themselves, defying categorisation. With rich sound design and diverse formats, the film is a visually complex study of a world abandoned that somehow continues to operate. People exist only as echoes in the empty spaces. Filmed in Italy, Germany, Spain, the United States and Korea, the numerous locations become the interconnected sites of a post-human environment. Disparate fragments come together to form a whole through the film`s unique reading of time. The wages of human endeavour are leveled and treated as data. The perspectives of the past ? modernist, machine, space-age ? are scrutinized by a future that escaped prediction. The Rooms is a collaborative project by Paul Rowley and Tim Blue made with the support of a Projects Grant from the Irish Arts Council
BIO: Paul Rowley Paul Rowley is a filmmaker and visual artist. He began making experimental short films in 1995, and has presented his work internationally since. His films have received numerous awards over the years from the Irish Arts Council, New York State Council for the Arts, Irish Film Board, Culture Ireland, the Glen Dimplex Artists? Award (Irish Museum of Modern Art?s contemporary art prize), the Irish American Arts Awards, and a Golden Spire at the San Francisco International Film Festival. His recent documentary, Seaview premiered at the Berlin Film Festival, was nominated for an Irish Film and Television Award and received a Special Jury Mention at the DMZ Documentary Festival in Korea. Recently completed projects include a feature length experimental film, The Rooms, and a perma- nent public video art installation for LAX airport Los Angeles. He is currently in production on a new feature documentary commissioned by the Dublin Film Festival. BIO: Tim Blue Tim Blue is a film maker who also works in other diverse media. His videos have screened at many international festivals including the Berlin Film Festival, Oberhausen, Art Basel, Mix, Rencontres Internationales, and Darklight, among others. Based in Berlin, he also composes music for theatre and film, has conducted video workshops for youth, and has performed throughout Europe with his group, CHEAP. Tim?s recorded audio work is prolific, and includes several solo as well as collaborative works. The Rooms is his first feature film.
Catalogue : 2009The Rooms | Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 6:50 | Irlande | 2008
Paul Rowley, Tim Blue
The Rooms
Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 6:50 | Irlande | 2008
« The Rooms » est une collaboration entre amis. Tim (Blue) a filmé sa ville natale lors d'une visite, après de nombreuses années d?absence. Le film a été envoyé à Paul (Rowley), qui l?a retravaillé, en combinant les séquences non traitées avec des abstractions animées à partir du film. Les images pleines se fracturent. Une séquence basée sur la grammaire a été construite. Dans chaque section, les chambres ont été imaginées en tant que fragments d'une architecture quantique - discrète, finie, infime.
Paul Rowley et Tim Bleu se sont connus à San Francisco (USA) en 1997. Ils ont ensuite collaboré sur de nombreux projets, notamment sur le long-métrage expérimental « As Lathair » (2002) et sur cette nouvelle ?uvre « The Rooms ». Tim Bleu est basé à Berlin, où il fait des films expérimentaux et de la musique. Il est membre de la performance collective « Cheap ». Paul Rowley est basé à Dublin et à Brooklyn (USA) et travaille comme artiste d?installation et réalisateur de films. Son documentaire-reportage « Seaview » a été projeté en première au Festival du Film de Berlin en 2008.
Catalogue : 2008Commonwealth | Art vidéo | dv | couleur | 4:30 | Irlande | 2007
Paul Rowley, Phillips/Rowley
Commonwealth
Art vidéo | dv | couleur | 4:30 | Irlande | 2007
"Commonwealth" examine les idées du progrès social en revisitant le programme spatial russe des années soixante, en particulier, l'orbite de la terre de Youri Gargarin en 1961. La présentation des évènements publics formants la perception de ce qui est bon pour la communauté et relevant l'esprit d'une communauté est examinée en relation avec le rôle d'une figure de proue individuelle, sélectionné dans la masse pour représenter une société internationalement. Inspiré d'une part par les écrits de Hobbes sur les politiques du corps, et les écrits sur l'histoire de la science, l'?uvre examine les idées de gouvernance et de communauté et l'usage de la division des modèles sociaux pour créer l'ordre. Une riche collection de références visuelles est rassemblée pour construire l'?uvre; par exemple, les Allégories d'un Bon Gouvernement: Les effet d'un bon gouvernement sur les villes et les campagnes d'Ambrogio Lorenzetti, des mosaïques murales soviétiques, l'iconographie de la course spatiale, le langage visuelle du progrès et les architectures utopiques et le design des expositions universelles de la fin des années soixante au début des années soixante-dix.
Paul Rowley est né à Dublin. David Phillips est né à Memphis. Ils travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et le son. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers` Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, à la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d`Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d`Art de Bonn, et "Bambi" à l`ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro. Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. Ils viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonates and Interludes" de John Cage. Ils ont été sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l`aéroport Lax de Los Angeles.
Catalogue : 2007Gravity Loop | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Irlande, USA | 2006
Paul Rowley, David PHILLIPS
Gravity Loop
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Irlande, USA | 2006
"Gravity Loop" est une série de photographies et de vidéos qui reconfigure une image unique dans le but de présenter différentes manières d'appréhender le temps. Prenant son point de départ dans la relativité, la série conduit à réfléchir sur les récentes découvertes en physique théorique et en String Theory, qui interrogent les possibilités du temps en tant que dimension non-continue, soit le fait, au niveau quantique, qu'il puisse y avoir des trous dans le temps. Bien que le modèle de l'atome comme sphère solide de matière ait été remplacé au début du XXe siècle par un modèle qui décrit l'atome comme espace presque vide, la vidéo recourt à de semblables idées pour illustrer d'éventuels modèles de capture du temps dans un temps non-continu. Une manière d'imaginer ce concept visuellement est de considérer l'utilisation des horloges pour indiquer l'heure. A la place d'une horloge unique qui montre le passage du temps de manière continue, au lieu de devoir imaginer un nombre infini d'horloges identiques, chacune d'entre elle parvient à l'existence pour une infime fraction de seconde, montre l'heure, et puis disparaît. Dans les intervalles des apparitions de ces horloges, il n'y a rien, un trou dans le temps où aucune manière et aucun movement ne peuvent exister.
Paul Rowley (né à Dublin) et David Phillips (né à Memphis) travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et des sons. Ils présentent leurs oeuvres sur les écrans des galeries, des musées et des festivals. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers? Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d'Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d'Art de Bonn, et "Bambi" à l'ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, "Prog:ME". Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. En 2000, ils ont été récompensés par le Glen Dimplex Artists? Award, le prix annuel d'art contemporain du Musée irlandais d'Art Moderne, qui est une sorte de Turner Prize irlandais. Cette vidéo brève intitulée "Suspension" a reçu le Golden Spire du Festival International de Cinéma de San Francisco et ces artistes ont remporté le prix du New Langton Arts Award. Paul a récemment remporté les prix du Irish American Arts, à la fois celui de la catégories des films hors 35mm et le prix général. Paul a été en résidence d'artiste à l'Atlantic Center for the Arts de Floride avec Gillian Wearing et il a reçu pour le travail qu'il poursuit depuis 1997, de nombreux prix de l'Irish Arts Council. Il a été membre de Macdowell Artist Colony à New Hampshire, et récemment, il s'est rendu en Italie pour travailler sur une nouvelle série de vidéos à la Bogliasco Fondation. Il a bénéficié d'une résidence à l' Experimental television Center de New York en 2005, qui lui a permis d'obtenir récemment une bourse du NYCSA, le New York State Council for the Arts. Paul et David viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonatas and Interludes" de John Cage, dont la première a eu lieu au mois de juillet dernier, au Stone de New York, en collaboration avec le pianiste Emily Manzo. Paul est en train d'achever un documentaire long métrage tourné dans le camp de vacances ouvert par Billy Butlin à Mosney, et qui est aujourd'hui utilisé comme centre d'accueil pour les demandeurs d'asile. Ils ont aussi été récemment sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l'aéroport Lax de Los Angeles, annoncée pour 2007.
Catalogue : 2007Latent Heat | Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 3:30 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Latent Heat
Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 3:30 | Irlande | 2004
En physique classique, l'énergie d'un système dans lequel la matière passe d'un état à un autre semble atteindre un plateau quand on approche du niveau de température critique. Issu d'observations basiques en physique, la vidéo examine comment un changement structurel et les états intermédiaires qui lui sont associés peuvent être appliqués à des lectures sociologiques. Analysant les sociétés en temps de crise, et appréhendant les moments de situation explosive comme des catalyseurs d'un changement social accéléré, la vidéo relie entre eux esthétiquement le champ social et les sciences physiques afin de voir ce à quoi une société peut ressembler à un moment d'extrême agitation.
Paul Rowley (né à Dublin) et David Phillips (né à Memphis) travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et des sons. Ils présentent leurs oeuvres sur les écrans des galeries, des musées et des festivals. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers? Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d'Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d'Art de Bonn, et "Bambi" à l'ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, "Prog:ME". Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. En 2000, ils ont été récompensés par le Glen Dimplex Artists? Award, le prix annuel d'art contemporain du Musée irlandais d'Art Moderne, qui est une sorte de Turner Prize irlandais. Cette vidéo brève intitulée "Suspension" a reçu le Golden Spire du Festival International de Cinéma de San Francisco et ces artistes ont remporté le prix du New Langton Arts Award. Paul a récemment remporté les prix du Irish American Arts, à la fois celui de la catégories des films hors 35mm et le prix général. Paul a été en résidence d'artiste à l'Atlantic Center for the Arts de Floride avec Gillian Wearing et il a reçu pour le travail qu'il poursuit depuis 1997, de nombreux prix de l'Irish Arts Council. Il a été membre de Macdowell Artist Colony à New Hampshire, et récemment, il s'est rendu en Italie pour travailler sur une nouvelle série de vidéos à la Bogliasco Fondation. Il a bénéficié d'une résidence à l' Experimental television Center de New York en 2005, qui lui a permis d'obtenir récemment une bourse du NYCSA, le New York State Council for the Arts. Paul et David viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonatas and Interludes" de John Cage, dont la première a eu lieu au mois de juillet dernier, au Stone de New York, en collaboration avec le pianiste Emily Manzo. Paul est en train d'achever un documentaire long métrage tourné dans le camp de vacances ouvert par Billy Butlin à Mosney, et qui est aujourd'hui utilisé comme centre d'accueil pour les demandeurs d'asile. Ils ont aussi été récemment sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l'aéroport Lax de Los Angeles, annoncée pour 2007.
Catalogue : 2006Microfiche:diamond trade | Art vidéo | dv | couleur | 5:0 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Microfiche:diamond trade
Art vidéo | dv | couleur | 5:0 | Irlande | 2004
La nuit du 27 avril 1974, des membres d?une branche armée de l?IRA volent 19 peintures à la Russborough House pour une valeur de 8 millions de livres. Parmi ces toiles, des Vermeer, Gainsborough, Velásquez. Les voleurs demandent le retour de prisonniers républicains irlandais détenus en Angleterre et une rançon de 500 000 livres. Les autorités répondent en offrant 100 000 livres de récompenses pour toute information sur l?affaire. Dix jours après le vol, la police irlandaise récupère les peintures dans le comté de York. Rose Dugdale, anglaise fortunée, est inculpée et condamnée. Elle est également condamnée pour son implication dans une opération précédente de l?IRA, l?attaque d?un poste de la Royal Ulster Constanbulary (forces de police d?Irlande du nord), au moyen d?un hélicoptère détourné. Rose Dugdale eut une peine de 18 ans de prison et en effectua 9. Dans cette vidéo, le déroulement des événements est retracé par l?utilisation d?images archivées sur microfiche, disponibles en bibliothèque, système actuellement obsolète. Ces images diffusées par les informations de l?époque sont rephotographiées sur internet, et montées dans une séquence qui les apparie. Ce qui permet une reconstitution de l?événement. L?intérêt de cet exercice pour celui qui regarde la vidéo est la série d?échanges qui y est présentée. La fortune de la famille Beit, initialement utilisée pour l?acquisition de ces peintures, a été accumulée par Alfred Beit, partenaire avec Cecil Rhodes des Mines de Beers en Afrique du Sud, qui, en 1891, détenait 90% de la production mondiale de diamant. Ces profits ont donc été utilisés pour l?achat des peintures, qui ont été volées quatre fois à la Russborough House depuis ces trente dernières années. La séquence des échanges est ici ce qui est intéressant, où des diamants d?Afrique deviennent des chefs d?oeuvres de l?art occidental, des valeurs d?échange pour des prisonniers politiques, et enfin, des objets de marchandage utilisés par des bandes criminelles organisées pour négocier avec l?Etat irlandais.
David Phillips est né en 1970 à Memphis, il a étudié les arts à Washington et à Rome. Paul Rowley est né à Dublin en 1971. Il a étudié au Trinity College de Dublin et à San Francisco. Ils collaborent ensemble depuis 1998, et vivent actuellement à New York. Ils réalisent des films, des installations vidéos, des photographies et des travaux sonores. Depuis les débuts de leur collaboration, ils ont reçu de nombreux prix. En 2000, ils ont obtenu le Glen Dimplex Artists? Award, prix annuel d?art contemporain de l?Irish Museum of Modern Art, considéré comme l?équivalent irlandais du Tate?s Turner Prize. Leur vidéo SUSPENSION a reçu le Golden Spire en 1999 au San Francisco International Film Festival. La même année, ils ont reçu le New Langton Arts Bay Area Award for Video. Ils ont récemment exposé à la Photographer?s Gallery de Londres, et ont eu une exposition personnelle au Carillo Gil Museum of Contemporary Art de Mexico City. Leur travail a également été projeté à la Videonale au Kunst Museum de Bonnn ; au ICA de Philadelphie ; au festival Impakt; à Séville ; au Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, à Impakt, au nouveau musée d?art contemporain de Bucarest
Catalogue : 2006Security Fugue | Art vidéo | super8 | couleur | 4:0 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Security Fugue
Art vidéo | super8 | couleur | 4:0 | Irlande | 2004
Contrasting the promise of rescue with threats of captivity and injury, ?Security Fugue? examines personal responses to crisis in the current arena of ubiquitous security. Images of a rescue helicopter move across the screen in exaggerated slow motion, while on a second screen, the camera tracks over aeriel views of a hospital and rescue crew on the ground below. In the audio track, stuttering confessions and dislocated murmurs echo in unison with the constant rhythm of chopping helicopter blades which fills the space. Sources for the piece are varied; a small excerpt of a 35mm Hollywood trailer from the early 1970`s, a 16mm educational film about psychological responses to disasters, taped recordings of phone calls made by Patty Hearst from captivity in 1974, interviews with Hearst from 2003 describing her revisited experiences of captivity, and original sound compositions by the artists. The memory lapse of the amnesiac is taken as a starting point from which to investigate the process of forgetting, remembering and rewriting of recent memories. These editorial patterns of amnesia are juxtaposed visually with images of physical constraint that parallel the collective mental state of a society in a state of siege. Musically, the imitative polyphonic compositional structure of the fugue in which a theme is stated successively in several voices is used both to determine the editing structure of the work and for its references to pursuit and flight. In psychiatry, the fugue is described as a condition of pathological amnesia during which one is apparently conscious of one`s actions, but has no recollection of them after returning to a normal state. This condition, usually resulting from severe mental stress, is of interest in describing a trauma that is experienced both individually and collectively. In installation, the piece is presented as two side-by-side large-scale projections with a surround sound audio mix. A single channel version is also available for cinema and festival screenings.
Artists David Phillips (Memphis, Tennessee 1970) and Paul Rowley (Dublin, Ireland 1971) have been working together collaboratively since 1998, primarily with film, video installation and sound. In 2000, they won the Glen Dimplex Artists? Award, the Irish Museum of Modern Art?s annual contemporary art prize, and seen as the Irish equivalent of the Tate?s Turner prize. Their short video Suspension was awarded a Golden Spire at the 1999 San Francisco International Film Festival. In the same year they were the recipients of the New Langton Arts Bay Area Award for video. Recent exhibitions include Re:mote at the Photographers? Gallery, London, Videonale at the Bonn Kunst Museum, and Bambi at the ICA in Philadelphia. Their work was recently selected by New Museum?s senior curator Dan Cameron to participate in the annual ev+a exhibition in Limerick, Ireland. Recent fesitval screeings include the Impakt festival in Holland, special mention at the Zemos:98 festival in Sevilla, and retrospectives at the Darklight Digital Festival in Dublin and Prog:ME, the Rio de Janeiro festival of Media Arts. Paul has been artist in residence at the Atlantic Center for the Arts, Florida, with Gillian Wearing, and a fellow at the Macdowell Artist Colony in New Hampshire. He has received numerous awards and bursaries from the Irish Arts Council for his work.
Paul Rowley, David PHILLIPS
Catalogue : 2019L'Albero Rosso | Doc. expérimental | mov | couleur | 21:0 | Irlande, USA | 2018
Paul Rowley
L'Albero Rosso
Doc. expérimental | mov | couleur | 21:0 | Irlande, USA | 2018
THE RED TREE / L`ALBERO ROSSO is short documentary that tells the little known history of Italian gay men being arrested and exiled to a remote island during Mussolini`s Fascist regime. In the film, an elderly man returns to the island of San Domino where 60 years before during the Fascist era he was imprisoned with hundreds of other men for being homosexual. As he walks the island alone, memories come back - of all-male dances in his home town in Sicily in the 1930s, of his beating and arrest, the difficulty of prison life on the island, the suffering of gay men under fascism, and their public humiliation after their return. And of this unique island where all the prisoners were gay, and the seeds of a community were first sown.
A visual artist and filmmaker, Paul began making films in 1995. Since then he has completed over forty shorts, documentaries, video installations, and experimental films, which have shown internationally from the Berlin Film Festival to San Francisco International to the Centre Pompidou.
Catalogue : 2014DMC-13 | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:22 | Irlande | 2013
Paul Rowley
DMC-13
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:22 | Irlande | 2013
DMC-13 is a short video produced on analog video synthesisers at the Experimental Television Center in New York. The film uses images from a documentary on John DeLorean - the ill fated automobile manufacturer - who opened his luxury sports car factory in Belfast at the height of the troubles in the north of Ireland. As the US car industry collapsed, and DeLorean was arrested for alleged cocaine smuggling, his dream of `affordable luxury`, which had spent over £100 million of taxpayers money, also perished.
Paul Rowley is a visual artist and filmmaker. He first began making films in 1995. Since then he has completed over 30 shorts, feature films, video installations, and documentaries. The works are shown both in galleries and film festivals. Previous screenings include - Centre Pompidou Paris, Hammer Museum Los Angeles, Forum Expanded at the Berlin Film Festival, Photographers` Gallery, London, Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid, Museum of Modern Art Dublin. He recently completed a 60 screen permanent installation at Los Angeles International Airport.
Catalogue : 2011The Rooms | Vidéo expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 62:0 | Irlande | 2010
Paul Rowley, Tim Blue
The Rooms
Vidéo expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 62:0 | Irlande | 2010
The Rooms looks back at the remnants of the 20th century through the eyes of the 21st. Watching the film is like wandering through a ghosted world. You find yourself in unfamiliar places as if arriving in a dream, suddenly and without direction, yet with apparent logical precision. A theatre operates by and for itself; a museum archives its own contents; a city attempts to replicate language; an unfinished embassy recalls political turmoil; an abandoned spy station collects fragments of historical data and re-programmes itself. These Rooms operate as quantum architectures, forming and collapsing by themselves, defying categorisation. With rich sound design and diverse formats, the film is a visually complex study of a world abandoned that somehow continues to operate. People exist only as echoes in the empty spaces. Filmed in Italy, Germany, Spain, the United States and Korea, the numerous locations become the interconnected sites of a post-human environment. Disparate fragments come together to form a whole through the film`s unique reading of time. The wages of human endeavour are leveled and treated as data. The perspectives of the past ? modernist, machine, space-age ? are scrutinized by a future that escaped prediction. The Rooms is a collaborative project by Paul Rowley and Tim Blue made with the support of a Projects Grant from the Irish Arts Council
BIO: Paul Rowley Paul Rowley is a filmmaker and visual artist. He began making experimental short films in 1995, and has presented his work internationally since. His films have received numerous awards over the years from the Irish Arts Council, New York State Council for the Arts, Irish Film Board, Culture Ireland, the Glen Dimplex Artists? Award (Irish Museum of Modern Art?s contemporary art prize), the Irish American Arts Awards, and a Golden Spire at the San Francisco International Film Festival. His recent documentary, Seaview premiered at the Berlin Film Festival, was nominated for an Irish Film and Television Award and received a Special Jury Mention at the DMZ Documentary Festival in Korea. Recently completed projects include a feature length experimental film, The Rooms, and a perma- nent public video art installation for LAX airport Los Angeles. He is currently in production on a new feature documentary commissioned by the Dublin Film Festival. BIO: Tim Blue Tim Blue is a film maker who also works in other diverse media. His videos have screened at many international festivals including the Berlin Film Festival, Oberhausen, Art Basel, Mix, Rencontres Internationales, and Darklight, among others. Based in Berlin, he also composes music for theatre and film, has conducted video workshops for youth, and has performed throughout Europe with his group, CHEAP. Tim?s recorded audio work is prolific, and includes several solo as well as collaborative works. The Rooms is his first feature film.
Catalogue : 2009The Rooms | Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 6:50 | Irlande | 2008
Paul Rowley, Tim Blue
The Rooms
Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 6:50 | Irlande | 2008
« The Rooms » est une collaboration entre amis. Tim (Blue) a filmé sa ville natale lors d'une visite, après de nombreuses années d?absence. Le film a été envoyé à Paul (Rowley), qui l?a retravaillé, en combinant les séquences non traitées avec des abstractions animées à partir du film. Les images pleines se fracturent. Une séquence basée sur la grammaire a été construite. Dans chaque section, les chambres ont été imaginées en tant que fragments d'une architecture quantique - discrète, finie, infime.
Paul Rowley et Tim Bleu se sont connus à San Francisco (USA) en 1997. Ils ont ensuite collaboré sur de nombreux projets, notamment sur le long-métrage expérimental « As Lathair » (2002) et sur cette nouvelle ?uvre « The Rooms ». Tim Bleu est basé à Berlin, où il fait des films expérimentaux et de la musique. Il est membre de la performance collective « Cheap ». Paul Rowley est basé à Dublin et à Brooklyn (USA) et travaille comme artiste d?installation et réalisateur de films. Son documentaire-reportage « Seaview » a été projeté en première au Festival du Film de Berlin en 2008.
Catalogue : 2008Commonwealth | Art vidéo | dv | couleur | 4:30 | Irlande | 2007
Paul Rowley, Phillips/Rowley
Commonwealth
Art vidéo | dv | couleur | 4:30 | Irlande | 2007
"Commonwealth" examine les idées du progrès social en revisitant le programme spatial russe des années soixante, en particulier, l'orbite de la terre de Youri Gargarin en 1961. La présentation des évènements publics formants la perception de ce qui est bon pour la communauté et relevant l'esprit d'une communauté est examinée en relation avec le rôle d'une figure de proue individuelle, sélectionné dans la masse pour représenter une société internationalement. Inspiré d'une part par les écrits de Hobbes sur les politiques du corps, et les écrits sur l'histoire de la science, l'?uvre examine les idées de gouvernance et de communauté et l'usage de la division des modèles sociaux pour créer l'ordre. Une riche collection de références visuelles est rassemblée pour construire l'?uvre; par exemple, les Allégories d'un Bon Gouvernement: Les effet d'un bon gouvernement sur les villes et les campagnes d'Ambrogio Lorenzetti, des mosaïques murales soviétiques, l'iconographie de la course spatiale, le langage visuelle du progrès et les architectures utopiques et le design des expositions universelles de la fin des années soixante au début des années soixante-dix.
Paul Rowley est né à Dublin. David Phillips est né à Memphis. Ils travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et le son. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers` Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, à la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d`Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d`Art de Bonn, et "Bambi" à l`ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro. Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. Ils viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonates and Interludes" de John Cage. Ils ont été sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l`aéroport Lax de Los Angeles.
Catalogue : 2007Gravity Loop | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Irlande, USA | 2006
Paul Rowley, David PHILLIPS
Gravity Loop
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Irlande, USA | 2006
"Gravity Loop" est une série de photographies et de vidéos qui reconfigure une image unique dans le but de présenter différentes manières d'appréhender le temps. Prenant son point de départ dans la relativité, la série conduit à réfléchir sur les récentes découvertes en physique théorique et en String Theory, qui interrogent les possibilités du temps en tant que dimension non-continue, soit le fait, au niveau quantique, qu'il puisse y avoir des trous dans le temps. Bien que le modèle de l'atome comme sphère solide de matière ait été remplacé au début du XXe siècle par un modèle qui décrit l'atome comme espace presque vide, la vidéo recourt à de semblables idées pour illustrer d'éventuels modèles de capture du temps dans un temps non-continu. Une manière d'imaginer ce concept visuellement est de considérer l'utilisation des horloges pour indiquer l'heure. A la place d'une horloge unique qui montre le passage du temps de manière continue, au lieu de devoir imaginer un nombre infini d'horloges identiques, chacune d'entre elle parvient à l'existence pour une infime fraction de seconde, montre l'heure, et puis disparaît. Dans les intervalles des apparitions de ces horloges, il n'y a rien, un trou dans le temps où aucune manière et aucun movement ne peuvent exister.
Paul Rowley (né à Dublin) et David Phillips (né à Memphis) travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et des sons. Ils présentent leurs oeuvres sur les écrans des galeries, des musées et des festivals. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers? Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d'Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d'Art de Bonn, et "Bambi" à l'ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, "Prog:ME". Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. En 2000, ils ont été récompensés par le Glen Dimplex Artists? Award, le prix annuel d'art contemporain du Musée irlandais d'Art Moderne, qui est une sorte de Turner Prize irlandais. Cette vidéo brève intitulée "Suspension" a reçu le Golden Spire du Festival International de Cinéma de San Francisco et ces artistes ont remporté le prix du New Langton Arts Award. Paul a récemment remporté les prix du Irish American Arts, à la fois celui de la catégories des films hors 35mm et le prix général. Paul a été en résidence d'artiste à l'Atlantic Center for the Arts de Floride avec Gillian Wearing et il a reçu pour le travail qu'il poursuit depuis 1997, de nombreux prix de l'Irish Arts Council. Il a été membre de Macdowell Artist Colony à New Hampshire, et récemment, il s'est rendu en Italie pour travailler sur une nouvelle série de vidéos à la Bogliasco Fondation. Il a bénéficié d'une résidence à l' Experimental television Center de New York en 2005, qui lui a permis d'obtenir récemment une bourse du NYCSA, le New York State Council for the Arts. Paul et David viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonatas and Interludes" de John Cage, dont la première a eu lieu au mois de juillet dernier, au Stone de New York, en collaboration avec le pianiste Emily Manzo. Paul est en train d'achever un documentaire long métrage tourné dans le camp de vacances ouvert par Billy Butlin à Mosney, et qui est aujourd'hui utilisé comme centre d'accueil pour les demandeurs d'asile. Ils ont aussi été récemment sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l'aéroport Lax de Los Angeles, annoncée pour 2007.
Catalogue : 2007Latent Heat | Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 3:30 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Latent Heat
Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 3:30 | Irlande | 2004
En physique classique, l'énergie d'un système dans lequel la matière passe d'un état à un autre semble atteindre un plateau quand on approche du niveau de température critique. Issu d'observations basiques en physique, la vidéo examine comment un changement structurel et les états intermédiaires qui lui sont associés peuvent être appliqués à des lectures sociologiques. Analysant les sociétés en temps de crise, et appréhendant les moments de situation explosive comme des catalyseurs d'un changement social accéléré, la vidéo relie entre eux esthétiquement le champ social et les sciences physiques afin de voir ce à quoi une société peut ressembler à un moment d'extrême agitation.
Paul Rowley (né à Dublin) et David Phillips (né à Memphis) travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et des sons. Ils présentent leurs oeuvres sur les écrans des galeries, des musées et des festivals. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers? Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d'Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d'Art de Bonn, et "Bambi" à l'ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, "Prog:ME". Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. En 2000, ils ont été récompensés par le Glen Dimplex Artists? Award, le prix annuel d'art contemporain du Musée irlandais d'Art Moderne, qui est une sorte de Turner Prize irlandais. Cette vidéo brève intitulée "Suspension" a reçu le Golden Spire du Festival International de Cinéma de San Francisco et ces artistes ont remporté le prix du New Langton Arts Award. Paul a récemment remporté les prix du Irish American Arts, à la fois celui de la catégories des films hors 35mm et le prix général. Paul a été en résidence d'artiste à l'Atlantic Center for the Arts de Floride avec Gillian Wearing et il a reçu pour le travail qu'il poursuit depuis 1997, de nombreux prix de l'Irish Arts Council. Il a été membre de Macdowell Artist Colony à New Hampshire, et récemment, il s'est rendu en Italie pour travailler sur une nouvelle série de vidéos à la Bogliasco Fondation. Il a bénéficié d'une résidence à l' Experimental television Center de New York en 2005, qui lui a permis d'obtenir récemment une bourse du NYCSA, le New York State Council for the Arts. Paul et David viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonatas and Interludes" de John Cage, dont la première a eu lieu au mois de juillet dernier, au Stone de New York, en collaboration avec le pianiste Emily Manzo. Paul est en train d'achever un documentaire long métrage tourné dans le camp de vacances ouvert par Billy Butlin à Mosney, et qui est aujourd'hui utilisé comme centre d'accueil pour les demandeurs d'asile. Ils ont aussi été récemment sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l'aéroport Lax de Los Angeles, annoncée pour 2007.
Catalogue : 2006Microfiche:diamond trade | Art vidéo | dv | couleur | 5:0 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Microfiche:diamond trade
Art vidéo | dv | couleur | 5:0 | Irlande | 2004
La nuit du 27 avril 1974, des membres d?une branche armée de l?IRA volent 19 peintures à la Russborough House pour une valeur de 8 millions de livres. Parmi ces toiles, des Vermeer, Gainsborough, Velásquez. Les voleurs demandent le retour de prisonniers républicains irlandais détenus en Angleterre et une rançon de 500 000 livres. Les autorités répondent en offrant 100 000 livres de récompenses pour toute information sur l?affaire. Dix jours après le vol, la police irlandaise récupère les peintures dans le comté de York. Rose Dugdale, anglaise fortunée, est inculpée et condamnée. Elle est également condamnée pour son implication dans une opération précédente de l?IRA, l?attaque d?un poste de la Royal Ulster Constanbulary (forces de police d?Irlande du nord), au moyen d?un hélicoptère détourné. Rose Dugdale eut une peine de 18 ans de prison et en effectua 9. Dans cette vidéo, le déroulement des événements est retracé par l?utilisation d?images archivées sur microfiche, disponibles en bibliothèque, système actuellement obsolète. Ces images diffusées par les informations de l?époque sont rephotographiées sur internet, et montées dans une séquence qui les apparie. Ce qui permet une reconstitution de l?événement. L?intérêt de cet exercice pour celui qui regarde la vidéo est la série d?échanges qui y est présentée. La fortune de la famille Beit, initialement utilisée pour l?acquisition de ces peintures, a été accumulée par Alfred Beit, partenaire avec Cecil Rhodes des Mines de Beers en Afrique du Sud, qui, en 1891, détenait 90% de la production mondiale de diamant. Ces profits ont donc été utilisés pour l?achat des peintures, qui ont été volées quatre fois à la Russborough House depuis ces trente dernières années. La séquence des échanges est ici ce qui est intéressant, où des diamants d?Afrique deviennent des chefs d?oeuvres de l?art occidental, des valeurs d?échange pour des prisonniers politiques, et enfin, des objets de marchandage utilisés par des bandes criminelles organisées pour négocier avec l?Etat irlandais.
David Phillips est né en 1970 à Memphis, il a étudié les arts à Washington et à Rome. Paul Rowley est né à Dublin en 1971. Il a étudié au Trinity College de Dublin et à San Francisco. Ils collaborent ensemble depuis 1998, et vivent actuellement à New York. Ils réalisent des films, des installations vidéos, des photographies et des travaux sonores. Depuis les débuts de leur collaboration, ils ont reçu de nombreux prix. En 2000, ils ont obtenu le Glen Dimplex Artists? Award, prix annuel d?art contemporain de l?Irish Museum of Modern Art, considéré comme l?équivalent irlandais du Tate?s Turner Prize. Leur vidéo SUSPENSION a reçu le Golden Spire en 1999 au San Francisco International Film Festival. La même année, ils ont reçu le New Langton Arts Bay Area Award for Video. Ils ont récemment exposé à la Photographer?s Gallery de Londres, et ont eu une exposition personnelle au Carillo Gil Museum of Contemporary Art de Mexico City. Leur travail a également été projeté à la Videonale au Kunst Museum de Bonnn ; au ICA de Philadelphie ; au festival Impakt; à Séville ; au Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, à Impakt, au nouveau musée d?art contemporain de Bucarest
Catalogue : 2006Security Fugue | Art vidéo | super8 | couleur | 4:0 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Security Fugue
Art vidéo | super8 | couleur | 4:0 | Irlande | 2004
Contrasting the promise of rescue with threats of captivity and injury, ?Security Fugue? examines personal responses to crisis in the current arena of ubiquitous security. Images of a rescue helicopter move across the screen in exaggerated slow motion, while on a second screen, the camera tracks over aeriel views of a hospital and rescue crew on the ground below. In the audio track, stuttering confessions and dislocated murmurs echo in unison with the constant rhythm of chopping helicopter blades which fills the space. Sources for the piece are varied; a small excerpt of a 35mm Hollywood trailer from the early 1970`s, a 16mm educational film about psychological responses to disasters, taped recordings of phone calls made by Patty Hearst from captivity in 1974, interviews with Hearst from 2003 describing her revisited experiences of captivity, and original sound compositions by the artists. The memory lapse of the amnesiac is taken as a starting point from which to investigate the process of forgetting, remembering and rewriting of recent memories. These editorial patterns of amnesia are juxtaposed visually with images of physical constraint that parallel the collective mental state of a society in a state of siege. Musically, the imitative polyphonic compositional structure of the fugue in which a theme is stated successively in several voices is used both to determine the editing structure of the work and for its references to pursuit and flight. In psychiatry, the fugue is described as a condition of pathological amnesia during which one is apparently conscious of one`s actions, but has no recollection of them after returning to a normal state. This condition, usually resulting from severe mental stress, is of interest in describing a trauma that is experienced both individually and collectively. In installation, the piece is presented as two side-by-side large-scale projections with a surround sound audio mix. A single channel version is also available for cinema and festival screenings.
Artists David Phillips (Memphis, Tennessee 1970) and Paul Rowley (Dublin, Ireland 1971) have been working together collaboratively since 1998, primarily with film, video installation and sound. In 2000, they won the Glen Dimplex Artists? Award, the Irish Museum of Modern Art?s annual contemporary art prize, and seen as the Irish equivalent of the Tate?s Turner prize. Their short video Suspension was awarded a Golden Spire at the 1999 San Francisco International Film Festival. In the same year they were the recipients of the New Langton Arts Bay Area Award for video. Recent exhibitions include Re:mote at the Photographers? Gallery, London, Videonale at the Bonn Kunst Museum, and Bambi at the ICA in Philadelphia. Their work was recently selected by New Museum?s senior curator Dan Cameron to participate in the annual ev+a exhibition in Limerick, Ireland. Recent fesitval screeings include the Impakt festival in Holland, special mention at the Zemos:98 festival in Sevilla, and retrospectives at the Darklight Digital Festival in Dublin and Prog:ME, the Rio de Janeiro festival of Media Arts. Paul has been artist in residence at the Atlantic Center for the Arts, Florida, with Gillian Wearing, and a fellow at the Macdowell Artist Colony in New Hampshire. He has received numerous awards and bursaries from the Irish Arts Council for his work.
Paul Rowley, Tim Blue
Catalogue : 2019L'Albero Rosso | Doc. expérimental | mov | couleur | 21:0 | Irlande, USA | 2018
Paul Rowley
L'Albero Rosso
Doc. expérimental | mov | couleur | 21:0 | Irlande, USA | 2018
THE RED TREE / L`ALBERO ROSSO is short documentary that tells the little known history of Italian gay men being arrested and exiled to a remote island during Mussolini`s Fascist regime. In the film, an elderly man returns to the island of San Domino where 60 years before during the Fascist era he was imprisoned with hundreds of other men for being homosexual. As he walks the island alone, memories come back - of all-male dances in his home town in Sicily in the 1930s, of his beating and arrest, the difficulty of prison life on the island, the suffering of gay men under fascism, and their public humiliation after their return. And of this unique island where all the prisoners were gay, and the seeds of a community were first sown.
A visual artist and filmmaker, Paul began making films in 1995. Since then he has completed over forty shorts, documentaries, video installations, and experimental films, which have shown internationally from the Berlin Film Festival to San Francisco International to the Centre Pompidou.
Catalogue : 2014DMC-13 | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:22 | Irlande | 2013
Paul Rowley
DMC-13
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:22 | Irlande | 2013
DMC-13 is a short video produced on analog video synthesisers at the Experimental Television Center in New York. The film uses images from a documentary on John DeLorean - the ill fated automobile manufacturer - who opened his luxury sports car factory in Belfast at the height of the troubles in the north of Ireland. As the US car industry collapsed, and DeLorean was arrested for alleged cocaine smuggling, his dream of `affordable luxury`, which had spent over £100 million of taxpayers money, also perished.
Paul Rowley is a visual artist and filmmaker. He first began making films in 1995. Since then he has completed over 30 shorts, feature films, video installations, and documentaries. The works are shown both in galleries and film festivals. Previous screenings include - Centre Pompidou Paris, Hammer Museum Los Angeles, Forum Expanded at the Berlin Film Festival, Photographers` Gallery, London, Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid, Museum of Modern Art Dublin. He recently completed a 60 screen permanent installation at Los Angeles International Airport.
Catalogue : 2011The Rooms | Vidéo expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 62:0 | Irlande | 2010
Paul Rowley, Tim Blue
The Rooms
Vidéo expérimentale | 16mm | couleur et n&b | 62:0 | Irlande | 2010
The Rooms looks back at the remnants of the 20th century through the eyes of the 21st. Watching the film is like wandering through a ghosted world. You find yourself in unfamiliar places as if arriving in a dream, suddenly and without direction, yet with apparent logical precision. A theatre operates by and for itself; a museum archives its own contents; a city attempts to replicate language; an unfinished embassy recalls political turmoil; an abandoned spy station collects fragments of historical data and re-programmes itself. These Rooms operate as quantum architectures, forming and collapsing by themselves, defying categorisation. With rich sound design and diverse formats, the film is a visually complex study of a world abandoned that somehow continues to operate. People exist only as echoes in the empty spaces. Filmed in Italy, Germany, Spain, the United States and Korea, the numerous locations become the interconnected sites of a post-human environment. Disparate fragments come together to form a whole through the film`s unique reading of time. The wages of human endeavour are leveled and treated as data. The perspectives of the past ? modernist, machine, space-age ? are scrutinized by a future that escaped prediction. The Rooms is a collaborative project by Paul Rowley and Tim Blue made with the support of a Projects Grant from the Irish Arts Council
BIO: Paul Rowley Paul Rowley is a filmmaker and visual artist. He began making experimental short films in 1995, and has presented his work internationally since. His films have received numerous awards over the years from the Irish Arts Council, New York State Council for the Arts, Irish Film Board, Culture Ireland, the Glen Dimplex Artists? Award (Irish Museum of Modern Art?s contemporary art prize), the Irish American Arts Awards, and a Golden Spire at the San Francisco International Film Festival. His recent documentary, Seaview premiered at the Berlin Film Festival, was nominated for an Irish Film and Television Award and received a Special Jury Mention at the DMZ Documentary Festival in Korea. Recently completed projects include a feature length experimental film, The Rooms, and a perma- nent public video art installation for LAX airport Los Angeles. He is currently in production on a new feature documentary commissioned by the Dublin Film Festival. BIO: Tim Blue Tim Blue is a film maker who also works in other diverse media. His videos have screened at many international festivals including the Berlin Film Festival, Oberhausen, Art Basel, Mix, Rencontres Internationales, and Darklight, among others. Based in Berlin, he also composes music for theatre and film, has conducted video workshops for youth, and has performed throughout Europe with his group, CHEAP. Tim?s recorded audio work is prolific, and includes several solo as well as collaborative works. The Rooms is his first feature film.
Catalogue : 2009The Rooms | Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 6:50 | Irlande | 2008
Paul Rowley, Tim Blue
The Rooms
Vidéo expérimentale | dv | couleur et n&b | 6:50 | Irlande | 2008
« The Rooms » est une collaboration entre amis. Tim (Blue) a filmé sa ville natale lors d'une visite, après de nombreuses années d?absence. Le film a été envoyé à Paul (Rowley), qui l?a retravaillé, en combinant les séquences non traitées avec des abstractions animées à partir du film. Les images pleines se fracturent. Une séquence basée sur la grammaire a été construite. Dans chaque section, les chambres ont été imaginées en tant que fragments d'une architecture quantique - discrète, finie, infime.
Paul Rowley et Tim Bleu se sont connus à San Francisco (USA) en 1997. Ils ont ensuite collaboré sur de nombreux projets, notamment sur le long-métrage expérimental « As Lathair » (2002) et sur cette nouvelle ?uvre « The Rooms ». Tim Bleu est basé à Berlin, où il fait des films expérimentaux et de la musique. Il est membre de la performance collective « Cheap ». Paul Rowley est basé à Dublin et à Brooklyn (USA) et travaille comme artiste d?installation et réalisateur de films. Son documentaire-reportage « Seaview » a été projeté en première au Festival du Film de Berlin en 2008.
Catalogue : 2008Commonwealth | Art vidéo | dv | couleur | 4:30 | Irlande | 2007
Paul Rowley, Phillips/Rowley
Commonwealth
Art vidéo | dv | couleur | 4:30 | Irlande | 2007
"Commonwealth" examine les idées du progrès social en revisitant le programme spatial russe des années soixante, en particulier, l'orbite de la terre de Youri Gargarin en 1961. La présentation des évènements publics formants la perception de ce qui est bon pour la communauté et relevant l'esprit d'une communauté est examinée en relation avec le rôle d'une figure de proue individuelle, sélectionné dans la masse pour représenter une société internationalement. Inspiré d'une part par les écrits de Hobbes sur les politiques du corps, et les écrits sur l'histoire de la science, l'?uvre examine les idées de gouvernance et de communauté et l'usage de la division des modèles sociaux pour créer l'ordre. Une riche collection de références visuelles est rassemblée pour construire l'?uvre; par exemple, les Allégories d'un Bon Gouvernement: Les effet d'un bon gouvernement sur les villes et les campagnes d'Ambrogio Lorenzetti, des mosaïques murales soviétiques, l'iconographie de la course spatiale, le langage visuelle du progrès et les architectures utopiques et le design des expositions universelles de la fin des années soixante au début des années soixante-dix.
Paul Rowley est né à Dublin. David Phillips est né à Memphis. Ils travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et le son. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers` Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, à la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d`Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d`Art de Bonn, et "Bambi" à l`ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro. Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. Ils viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonates and Interludes" de John Cage. Ils ont été sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l`aéroport Lax de Los Angeles.
Catalogue : 2007Gravity Loop | Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Irlande, USA | 2006
Paul Rowley, David PHILLIPS
Gravity Loop
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 3:0 | Irlande, USA | 2006
"Gravity Loop" est une série de photographies et de vidéos qui reconfigure une image unique dans le but de présenter différentes manières d'appréhender le temps. Prenant son point de départ dans la relativité, la série conduit à réfléchir sur les récentes découvertes en physique théorique et en String Theory, qui interrogent les possibilités du temps en tant que dimension non-continue, soit le fait, au niveau quantique, qu'il puisse y avoir des trous dans le temps. Bien que le modèle de l'atome comme sphère solide de matière ait été remplacé au début du XXe siècle par un modèle qui décrit l'atome comme espace presque vide, la vidéo recourt à de semblables idées pour illustrer d'éventuels modèles de capture du temps dans un temps non-continu. Une manière d'imaginer ce concept visuellement est de considérer l'utilisation des horloges pour indiquer l'heure. A la place d'une horloge unique qui montre le passage du temps de manière continue, au lieu de devoir imaginer un nombre infini d'horloges identiques, chacune d'entre elle parvient à l'existence pour une infime fraction de seconde, montre l'heure, et puis disparaît. Dans les intervalles des apparitions de ces horloges, il n'y a rien, un trou dans le temps où aucune manière et aucun movement ne peuvent exister.
Paul Rowley (né à Dublin) et David Phillips (né à Memphis) travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et des sons. Ils présentent leurs oeuvres sur les écrans des galeries, des musées et des festivals. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers? Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d'Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d'Art de Bonn, et "Bambi" à l'ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, "Prog:ME". Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. En 2000, ils ont été récompensés par le Glen Dimplex Artists? Award, le prix annuel d'art contemporain du Musée irlandais d'Art Moderne, qui est une sorte de Turner Prize irlandais. Cette vidéo brève intitulée "Suspension" a reçu le Golden Spire du Festival International de Cinéma de San Francisco et ces artistes ont remporté le prix du New Langton Arts Award. Paul a récemment remporté les prix du Irish American Arts, à la fois celui de la catégories des films hors 35mm et le prix général. Paul a été en résidence d'artiste à l'Atlantic Center for the Arts de Floride avec Gillian Wearing et il a reçu pour le travail qu'il poursuit depuis 1997, de nombreux prix de l'Irish Arts Council. Il a été membre de Macdowell Artist Colony à New Hampshire, et récemment, il s'est rendu en Italie pour travailler sur une nouvelle série de vidéos à la Bogliasco Fondation. Il a bénéficié d'une résidence à l' Experimental television Center de New York en 2005, qui lui a permis d'obtenir récemment une bourse du NYCSA, le New York State Council for the Arts. Paul et David viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonatas and Interludes" de John Cage, dont la première a eu lieu au mois de juillet dernier, au Stone de New York, en collaboration avec le pianiste Emily Manzo. Paul est en train d'achever un documentaire long métrage tourné dans le camp de vacances ouvert par Billy Butlin à Mosney, et qui est aujourd'hui utilisé comme centre d'accueil pour les demandeurs d'asile. Ils ont aussi été récemment sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l'aéroport Lax de Los Angeles, annoncée pour 2007.
Catalogue : 2007Latent Heat | Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 3:30 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Latent Heat
Vidéo expérimentale | betaSP | couleur | 3:30 | Irlande | 2004
En physique classique, l'énergie d'un système dans lequel la matière passe d'un état à un autre semble atteindre un plateau quand on approche du niveau de température critique. Issu d'observations basiques en physique, la vidéo examine comment un changement structurel et les états intermédiaires qui lui sont associés peuvent être appliqués à des lectures sociologiques. Analysant les sociétés en temps de crise, et appréhendant les moments de situation explosive comme des catalyseurs d'un changement social accéléré, la vidéo relie entre eux esthétiquement le champ social et les sciences physiques afin de voir ce à quoi une société peut ressembler à un moment d'extrême agitation.
Paul Rowley (né à Dublin) et David Phillips (né à Memphis) travaillent actuellement principalement sur des films, des vidéos et des sons. Ils présentent leurs oeuvres sur les écrans des galeries, des musées et des festivals. Ils ont participé récemment à différentes expositions dont "Re:mote" à la Photographers? Gallery de Londres, "Your chance to live" au 300m3 de Gothenburg, la biennale Kunstfilm de Cologne, "Fricción" au Musée d'Art Contemporain de Mexico City, la Videonale au Musée d'Art de Bonn, et "Bambi" à l'ICA de Philadelphie. Ils ont également participé au festival hollandais Impakt et aux rétrospectives du Darklight Digital Festival de Dublin et du Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, "Prog:ME". Leur exposition "Intrusion" a eu lieu à la Bischoff/Weiss Gallery de Londres, en Juillet. En 2000, ils ont été récompensés par le Glen Dimplex Artists? Award, le prix annuel d'art contemporain du Musée irlandais d'Art Moderne, qui est une sorte de Turner Prize irlandais. Cette vidéo brève intitulée "Suspension" a reçu le Golden Spire du Festival International de Cinéma de San Francisco et ces artistes ont remporté le prix du New Langton Arts Award. Paul a récemment remporté les prix du Irish American Arts, à la fois celui de la catégories des films hors 35mm et le prix général. Paul a été en résidence d'artiste à l'Atlantic Center for the Arts de Floride avec Gillian Wearing et il a reçu pour le travail qu'il poursuit depuis 1997, de nombreux prix de l'Irish Arts Council. Il a été membre de Macdowell Artist Colony à New Hampshire, et récemment, il s'est rendu en Italie pour travailler sur une nouvelle série de vidéos à la Bogliasco Fondation. Il a bénéficié d'une résidence à l' Experimental television Center de New York en 2005, qui lui a permis d'obtenir récemment une bourse du NYCSA, le New York State Council for the Arts. Paul et David viennent de terminer une collection de films pour accompagner une performance de "Sonatas and Interludes" de John Cage, dont la première a eu lieu au mois de juillet dernier, au Stone de New York, en collaboration avec le pianiste Emily Manzo. Paul est en train d'achever un documentaire long métrage tourné dans le camp de vacances ouvert par Billy Butlin à Mosney, et qui est aujourd'hui utilisé comme centre d'accueil pour les demandeurs d'asile. Ils ont aussi été récemment sélectionnés pour réaliser une nouvelle vidéo multi-screen pour l'aéroport Lax de Los Angeles, annoncée pour 2007.
Catalogue : 2006Microfiche:diamond trade | Art vidéo | dv | couleur | 5:0 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Microfiche:diamond trade
Art vidéo | dv | couleur | 5:0 | Irlande | 2004
La nuit du 27 avril 1974, des membres d?une branche armée de l?IRA volent 19 peintures à la Russborough House pour une valeur de 8 millions de livres. Parmi ces toiles, des Vermeer, Gainsborough, Velásquez. Les voleurs demandent le retour de prisonniers républicains irlandais détenus en Angleterre et une rançon de 500 000 livres. Les autorités répondent en offrant 100 000 livres de récompenses pour toute information sur l?affaire. Dix jours après le vol, la police irlandaise récupère les peintures dans le comté de York. Rose Dugdale, anglaise fortunée, est inculpée et condamnée. Elle est également condamnée pour son implication dans une opération précédente de l?IRA, l?attaque d?un poste de la Royal Ulster Constanbulary (forces de police d?Irlande du nord), au moyen d?un hélicoptère détourné. Rose Dugdale eut une peine de 18 ans de prison et en effectua 9. Dans cette vidéo, le déroulement des événements est retracé par l?utilisation d?images archivées sur microfiche, disponibles en bibliothèque, système actuellement obsolète. Ces images diffusées par les informations de l?époque sont rephotographiées sur internet, et montées dans une séquence qui les apparie. Ce qui permet une reconstitution de l?événement. L?intérêt de cet exercice pour celui qui regarde la vidéo est la série d?échanges qui y est présentée. La fortune de la famille Beit, initialement utilisée pour l?acquisition de ces peintures, a été accumulée par Alfred Beit, partenaire avec Cecil Rhodes des Mines de Beers en Afrique du Sud, qui, en 1891, détenait 90% de la production mondiale de diamant. Ces profits ont donc été utilisés pour l?achat des peintures, qui ont été volées quatre fois à la Russborough House depuis ces trente dernières années. La séquence des échanges est ici ce qui est intéressant, où des diamants d?Afrique deviennent des chefs d?oeuvres de l?art occidental, des valeurs d?échange pour des prisonniers politiques, et enfin, des objets de marchandage utilisés par des bandes criminelles organisées pour négocier avec l?Etat irlandais.
David Phillips est né en 1970 à Memphis, il a étudié les arts à Washington et à Rome. Paul Rowley est né à Dublin en 1971. Il a étudié au Trinity College de Dublin et à San Francisco. Ils collaborent ensemble depuis 1998, et vivent actuellement à New York. Ils réalisent des films, des installations vidéos, des photographies et des travaux sonores. Depuis les débuts de leur collaboration, ils ont reçu de nombreux prix. En 2000, ils ont obtenu le Glen Dimplex Artists? Award, prix annuel d?art contemporain de l?Irish Museum of Modern Art, considéré comme l?équivalent irlandais du Tate?s Turner Prize. Leur vidéo SUSPENSION a reçu le Golden Spire en 1999 au San Francisco International Film Festival. La même année, ils ont reçu le New Langton Arts Bay Area Award for Video. Ils ont récemment exposé à la Photographer?s Gallery de Londres, et ont eu une exposition personnelle au Carillo Gil Museum of Contemporary Art de Mexico City. Leur travail a également été projeté à la Videonale au Kunst Museum de Bonnn ; au ICA de Philadelphie ; au festival Impakt; à Séville ; au Festival of Media Arts de Rio de Janeiro, à Impakt, au nouveau musée d?art contemporain de Bucarest
Catalogue : 2006Security Fugue | Art vidéo | super8 | couleur | 4:0 | Irlande | 2004
Paul Rowley, David PHILLIPS
Security Fugue
Art vidéo | super8 | couleur | 4:0 | Irlande | 2004
Contrasting the promise of rescue with threats of captivity and injury, ?Security Fugue? examines personal responses to crisis in the current arena of ubiquitous security. Images of a rescue helicopter move across the screen in exaggerated slow motion, while on a second screen, the camera tracks over aeriel views of a hospital and rescue crew on the ground below. In the audio track, stuttering confessions and dislocated murmurs echo in unison with the constant rhythm of chopping helicopter blades which fills the space. Sources for the piece are varied; a small excerpt of a 35mm Hollywood trailer from the early 1970`s, a 16mm educational film about psychological responses to disasters, taped recordings of phone calls made by Patty Hearst from captivity in 1974, interviews with Hearst from 2003 describing her revisited experiences of captivity, and original sound compositions by the artists. The memory lapse of the amnesiac is taken as a starting point from which to investigate the process of forgetting, remembering and rewriting of recent memories. These editorial patterns of amnesia are juxtaposed visually with images of physical constraint that parallel the collective mental state of a society in a state of siege. Musically, the imitative polyphonic compositional structure of the fugue in which a theme is stated successively in several voices is used both to determine the editing structure of the work and for its references to pursuit and flight. In psychiatry, the fugue is described as a condition of pathological amnesia during which one is apparently conscious of one`s actions, but has no recollection of them after returning to a normal state. This condition, usually resulting from severe mental stress, is of interest in describing a trauma that is experienced both individually and collectively. In installation, the piece is presented as two side-by-side large-scale projections with a surround sound audio mix. A single channel version is also available for cinema and festival screenings.
Artists David Phillips (Memphis, Tennessee 1970) and Paul Rowley (Dublin, Ireland 1971) have been working together collaboratively since 1998, primarily with film, video installation and sound. In 2000, they won the Glen Dimplex Artists? Award, the Irish Museum of Modern Art?s annual contemporary art prize, and seen as the Irish equivalent of the Tate?s Turner prize. Their short video Suspension was awarded a Golden Spire at the 1999 San Francisco International Film Festival. In the same year they were the recipients of the New Langton Arts Bay Area Award for video. Recent exhibitions include Re:mote at the Photographers? Gallery, London, Videonale at the Bonn Kunst Museum, and Bambi at the ICA in Philadelphia. Their work was recently selected by New Museum?s senior curator Dan Cameron to participate in the annual ev+a exhibition in Limerick, Ireland. Recent fesitval screeings include the Impakt festival in Holland, special mention at the Zemos:98 festival in Sevilla, and retrospectives at the Darklight Digital Festival in Dublin and Prog:ME, the Rio de Janeiro festival of Media Arts. Paul has been artist in residence at the Atlantic Center for the Arts, Florida, with Gillian Wearing, and a fellow at the Macdowell Artist Colony in New Hampshire. He has received numerous awards and bursaries from the Irish Arts Council for his work.
Georgie Roxby Smith
Catalogue : 2025Just Breathe | Vidéo | mp4 | couleur | 2:39 | Australie | 2024
Georgie Roxby Smith
Just Breathe
Vidéo | mp4 | couleur | 2:39 | Australie | 2024
'Just Breathe' merges GTAV in-game machinima selfies with AI to probe the intersection of virtual realities and human identity. The work infuses AI-induced physiological functions into a digital avatar, typically constrained by game mechanics, highlighting the duality of entrapment and perceived freedom in digital personas and gaming experiences. The piece is accompanied by an ambient soundscape, drawn from the game itself and IRL sounds to blur the distinctions between the digital and physical selves. It challenges viewers to reflect on the boundaries and interactions between virtual and real identities. Through 'Just Breathe', Smith prompts a re-evaluation of identity, presence, and reality in the digital era, exploring how online spaces both mirror and distort our physical existence.
Georgie Roxby Smith works across a range of disciplines exploring new pathways between virtual and physical worlds. Employing a variety of tools - including 3D graphics, live performance, shared virtual and gaming spaces, installation and projection - these works explore the increasingly blurred border between identity, materiality, reality, virtuality and fantasy in contemporary culture. In 2010 Georgie was selected for The Watermill Center Spring Residency Program, NY, by an international selection committee of cultural leaders including Marina Abramovi?, Alanna Heiss & Robert Wilson. In 2011 Georgie completed her MFA at the Victorian College of the Arts in Melbourne. Since 2012 Georgie has been focusing on online identity, gender representation and violence in video games, particularly that directed towards women on screen and in online communities. Most recently she has been utilising AI in video collages exploring digital portraits. Georgie has exhibited extensively both nationally and internationally including Art in Odd Places, New York, (where her work was featured in Time Out NY), Prospectives International Festival of Digital Art Nevada, Game Art Festival at Hammer Museum Los Angeles, Gamerz Festival (FR), Festival Miden (GR) and Generation i.2 - Aesthetics of the Digital in the 21st Century at Edith Russ Huas for Media Art (DE). Other highlights include curating and showing in NOW13:New Media Art Now, Substation Contemporary Art Prize and Self Help at Rawson Projects Brooklyn, curated by Jocelyn Miller (MoMa PS1). Awards and grants include the Australia Council of the Arts New Work, Artstart, Nellie Castan Award, Australian Postgraduate Award, Ian Potter Cultural Trust, Dame Joan Sutherland Fund and the Eldon and Anne Foote Trust Travel Grant.
Stefan Römer
Catalogue : 2009Boulevard of Illusions | Doc. expérimental | dv | couleur | 25:0 | Allemagne | 2007
Stefan RÖmer
Boulevard of Illusions
Doc. expérimental | dv | couleur | 25:0 | Allemagne | 2007
Une voiture conduit dans la direction de Nouvelle Belgrade (Novi Beograd). Sur la route, on aperçoit beaucoup de panneaux publicitaires. De place en place, et de panneau d'affichage en panneau d'affichage, la voiture roule accompagnée de voix-off qui parlent de la ville et des différents lieux traversés. Ces histoires vont d?une sorte de style purement informatif à des impressions, des expériences ou des réflexions historiques beaucoup plus subjectives, donnant différents points de vue sur l'urbanisme, l'histoire, les graffiti ou l'art. Le projet « Boulevard of Illusions » examine des aspects historiques du développement de Nouvelle Belgrade sur l'ancien « Boulevard Lénine », que Tito avait parcouru de haut en bas dans sa Mercedes, face à des milliers de personnes qui le saluaient de la main.
Artiste actif dans le domaine de l?art déconceptuel, la critique de l'espace public, les rapports image-texte des arts et nouveaux médias, ainsi que dans l'interculturalité, Stefan Römer expose ses ?uvres et publie dans des revues et des magazines de façon régulière. Il lui a été décerné le Prix de la Critique d'Art du Arbeitskreis deutscher Kunstvereine (AdKV) en 2000. Professeur en nouveaux médias à l'Académie des Beaux-Arts de Munich (Allemagne) depuis 2003, il était précédemment assistant à l'Université des Médias de Cologne (Allemagne) en 1999-2002. Depuis 2007, il est conférencier invité à l'Institut d?Études culturelles de l?Université Leuphana de Lüneburg (Allemagne). Parmi ses récentes créations artistiques, signalons notamment « The (never ending) movie », à la Biennale de Photo de Rotterdam (Pays-Bas)/Cologne (Allemagne) en 2003, « Begegnungen mit Deutschen/Encounters with Germans », à Cologne et Francfort (Allemagne) en 2003, le livre de photo d?art « Temporäre Architektur » en 2005 et « Berichte aus dem Conceptual Paradise » en 2006. Son film-documentaire « Conceptual Paradise » a pu être réalisé grâce au soutien du Kulturstiftung des Bundes (Fondation Culturelle Fédérale, Allemagne) en 2005 et a été présenté en collaboration avec le Musée K21 et le Cinéma Black Box de Düsseldorf (Allemagne). Son film documentaire « Boulevard of Illusions ? Learning from New Belgrade » a été réalisé pour le Musée d?Art Contemporain de Belgrad en 2008.
Pia Rönicke
Catalogue : 2021The Times, replayed | Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 11:12 | Danemark | 2020
Pia RÖnicke
The Times, replayed
Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 11:12 | Danemark | 2020
"The Times, replayed" se déroule dans une boucle temporelle à la fois énigmatique et très concrète. Depuis une pièce isolée, des images du monde apparaissent, désynchronisées et en même temps en phase avec le flux d’informations. La matérialité des images est remise en question, leur façon d’être contextualisées et de se décomposer, la vitesse à laquelle elles sont rendues obsolètes ou prennent un nouveau sens. Dans cet espace, une présence réelle commence lentement à émerger.
Pia Rönicke est artiste et vit à Copenhague (Danemark). Ces dernières années, elle a étudié différentes collections botaniques qui portent les traces de conditions coloniales et géopolitiques. Son travail s'intéresse aux problèmes d'espace et aux transformations spatiales. Elle interroge le lien entre l'espace de travail et l'espace filmique, ainsi que la façon dont nous concevons les questions historiques par rapport à nos activités quotidiennes. Pia Rönicke travaille souvent avec des archives, et la pratique de la collecte est un thème récurrent dans ses œuvres. Sa pratique artistique englobe le film, la gravure, la sculpture et les objets, qui construisent ensemble des récits. Elle a plusieurs expositions personnelles à son actif, notamment: "Drifting Woods", Gävle Art Center, Gävle (Suède); "Word for Forest", Parallel Oaxaca (Mexique) [2018]; "The Cloud Document", Overgaden Institute of Contemporary Art, Copenhague (Danemark) [2017]; "The Pages of Day and Night", gb agency, Paris (France) [2015]; et "Aurora", Museo Rufino Tamayo, Mexico (Mexique) [2012]. Elle a également participé à divers festivals de films et expositions collectives, notamment: le CPH:DOX, Copenhague (Danemark) [2018]; le FIDMarseille (France) [2018]; "Botany Under Influence", Apexart, New York (USA) [2016]; "A story within a Story", Biennale internationale d'art contemporain de Göteborg (Suède) [2015]; "Buildering : Misbehaving the City", Contemporary Arts Center, Cincinnati (USA) [2014]; "Réhabilitation", WIELS, Bruxelles (Belgique) (2012); "After Architecture", Centre d'Art Santa Mònica, Barcelone (Espagne) [2010]; "Imagine Action", Lisson Gallery, Londres (Royaume-Uni) [2008]; "Elephant Cemetery", Artists Space, New York (USA) [2007]; "Anachronisme", ARGOS, Bruxelles (Belgique) [2007]; et "GNS", Palais de Tokyo, Paris (France) [2003].
Catalogue : 2019Word for Forest | Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 22:30 | Danemark | 2018
Pia RÖnicke
Word for Forest
Film expérimental | 16mm | couleur et n&b | 22:30 | Danemark | 2018
Word for Forest is a cinematic journey that travels from the Botanical Garden in Copenhagen to Santiago Comaltepec in the mountains of Oaxaca. The film records a seed's displacement from Mexico, where it was collected by the botanist Frederik Liebmann in 1842, to the Botanical Garden in Copenhagen. The film returns to the plant`s original home, the unique habitat of the cloud forest. The cloud forest in this region has an exceptionally high biodiversity, where specific oaks and pines grow side by side with a rich plant life that is not found anywhere else. In Santiago Comaltepec, the forest is taken care of by the community, which has long resided in this area, but has not always had the right to use the land. Both the Spanish colonial empire and the Mexican state have previously demanded control over the forest. In the 1980s, the community fought for the forest's rights. Through "comunalidad", the forest became common land and only the naturally fallen wood can be logged. The film invites one to listen to the rhythms of the language and the sounds of the forest and to absorb the variations in the many ferns.
In recent years, I have been investigating different botanical collections. These plant collections show traces of geopolitical conditions not only within the practices of botany but also map out colonial territorializations. This work including, The Pages of Day and Night (2015) and The Cloud Document (2017) attempts to examine some of the consequences of botanical systemization.I am interested in how we conceive historical matters in relationship to our daily activities and the connection between workspace and filmic space. I often work with different kinds of archives and the practice of collecting is a recurring subject in my practice - The personal, ethical and political dimensions of it. I work with blind spots' that which contains spatial dimensions, and a set of coordinates of unnoticed, undisclosed material.
Pia Rönicke
Catalogue : 2022Bordered | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 31:2 | Danemark | 2021
Pia Rönicke
Bordered
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 31:2 | Danemark | 2021
In an unknown near future and past, a filmmaker is trying to retrace the steps of Silvia. “Who is Silvia? What is Silvia?” Silvia has gone missing. In this filmic reconstruction, Silvia drifts with the forest, attempting to attune with its temporalities. In a quest for co-existence, Silvia bridges the supposedly opposing world-views of ‘Sequency and Simultaneity’, presence and duration. At the borders of not only the forest but also of science, the destructive powers of a proprietarian society only obey the laws of succession. Here, the socialists plans of the post war era are being demolished and cleared for new and profitable housing. But in Silvia’s archive, city infrastructure and forest root systems are being integrated. Silvia’s recordings are cut in intervals where time itself becomes unstable. Through a numbering system of repeating patterns, progression is broken. Silvia has abandoned the society of ‘means to an end’. In this movement lays the path to un-build the walls that have infiltrated all aspects of this world. In the film there are excerpts by: Ursula K. Le Guin, The Author of the Acacia Seeds' and Other Extracts from the Journal of the Association of Therolinguistics and The Dispossessed, 1974. Walter Benjamin, Painting, or Signs and Marks, 1917. Una Canger, What the Eye Sees, 1986. Prints, photographs, drawings and architectural plans by among others: Florence Henri, Lotte Stam-Beese, Alma Buscher and Silvia.
In recent years, Pia Rönicke has been investigating different botanical collections that show traces of colonial and geopolitical conditions. She is in her work concerned with problems of space and spatial transformations. She is interested in the connection between workspace and filmic space, and how we conceive historical matters in relationship to our daily activities. Rönicke often works with archives and the practice of collecting is a recurring theme in her practice. She works with film, prints, sculptures and objects, which together builds narratives. CURRICULUM VITAE Pia Rönicke Born: Denmark, Roskilde. 1974 Education 1995-1999 The Royal Danish Academy of Fine Art 1999-2001 California Institute of the Arts. Solo Exhibitions (selected): 2022: Drifting Woods, Munkeruphus, Denmark 2021: Drifting Woods, Deserted Forest, Gävle Konstcentrum, Sweden 2020 Astrid, Lotte og Florence, Astrid Noacks Atelier, Copenhagen 2019: one artist / 2 films / one week, gb agency, Paris 2018: Word for Forest, Parallel Oaxaca, Mexico 2017: the Cloud Document, Overgaden. Institute of Contemporary Art 2015: The Pages of Day and Night, gb agency. 2012: Aurora, Museo Tamayo, M?xico City. Dream and action find equal support in it, gb agency, Paris 2011: Dream and action find equal support in it, Andersen’s Contemporary, Copenhagen 2010: Scanning Through Landscapes, WALDEN AFFAIRS, Den Haag 2009: Facing, CENTRO CULTURAL MONTEHERMOSO KULTURENEA, Vitoria, Spain. 2008: A Usual Story from a Nameless Country, gb Agency, Paris Travel Stories, Casco, Utrecth, Holland. 2007: Rosa’s Letters - Telling a Story, croy nielsen, Berlin. 2006: Rosa’s Letters - Telling a Story, gb Agency, Paris Capitol Punishment, in collaboration with Olga Koumoundouros Glassell School of Arts, Houston. The Plan is Dictator. Lunds Konsthall, Lund, Sweden.* 2005: Hoardings II, public project, Tate Modern. London Without a Name. Gallery Andersen’s, Copenhagen. Land/Documents. Display Gallery, Prague. 2004: Without a Name, Gallery gb Agency, Paris. Landscapes of Resistance,Trafo Gallery, Budapest. Six Architects – An Architectural Rorschach Test, •• A collaporation with Michael Bears. Lunds Kunsthal, Sweden. 2003: Seven Architects – An Architectural Rorschach Test, Schindler residency, The Makey Apartments, Los Angeles ••A collaporation with Michael Bears. 2002: ‘A Place Like Any Other’, Gallery Tommy Lund, Copenhagen, Denmark. Group Exhibitions (selected): 2022: Busan Biennale, Museum of Contemporary Art, Busan (MoCA Busan) Flowers, MAMAC, Museum of Modern and Contemporary Art, Nice 2021: Acts of Listening: A Common Attempt to (Re) Articulate a Feminist Position, Astrid Noacks Atelier, Copenhagen Perspectives #01,Fonds regional d’art contemporain, Alsace The Secret Life of Plants, Casa da Cerca, Almada, Portugal 2020: The City, BEK – Bergen Centre for Electronic Arts, Bergen 2019: Artistic Undressings of the Royal Seaport, Moss exhibitions, Stockholm Drawing Attention, DEN FRIE, Contemporary Artcenter. Kbenhavn I slipped into my metamorphosis so quietly that no one noticed, DEN FRIE This is Not An Apricot, SixtyEight Art Institute, Copenhagen 2018: Case of Emergency, public project, Gävle, Sverige 2018: Word for Forest, Parallel Oaxaca, Mexico 2017: AMIF, LUX Scotland. Tramway, Glasgow. Collaboration with Henriette Heise, Deirdre Humphrys, Mia Edelgart Conversation I: Family, work, art, surroundings, Tom Christoffersen. Pia R?nicke, S?nder Boulevard 88, 3.tv 1720 Copenhagen V. E-mail: piaronicke@gmail.com Mapping with Plants, book work and symposium, Hamborg Art Academy. DFU Kino, screening, Den Frie Udstillingsbygning. 2016: Botany Under Influence, Apexart, New York. But Still Tomorrow Builds into My Face, Lawrie Shabibi, Dubai. 2015: A story within a Story G?teborg International Biennial for Contemporary Art.Old News, cneai, Paris. Kvinder frem. Museum of Contemporary Art, Denmark. Lokale, Flensborggade 57, Copenhagen 2014: Photography and Architecture. Photographic Center, Copenhagen Human- Space-Machines. Henie Onstad Kunstsenter (HOK), Oslo. Buildering : Misbehaving the City, Contemporary Arts Center (CAC), Cincinnati, Ohio 2013: Reports from New Sweden, Tensta Konsthall. Human- Space-Machines: Stage Experiments At The Bauhaus, Stiftung Bauhaus, Dessau Fokus, Nikolaj Kunsthal, Copenhagen. 2012: Horizons persistants, Centre d’art le LAIT, Albi Cities of Light: Film Programme curated by Inheritance Projects, Devi Art Foundation, Gurgaon, India. Newtopia: The State of Human Rights, exhibition for the City of Mechelen, Belgium VISIT TINGBJERG, Artfestival in Tingbjerg. A Gathering, locus Athens, Athen Envisioning Buildings, MAK, Wien 2011: Ficciones Urbanas, Centro Cultural Koldo Mitxlena, San Sebastian. Community without Propinquity, Milton Keynes Art Gallery, UK Terms of Belonging (gaaafstand collaboration with Nis R?mer) Overgaden. Institute of Contemporary Art, Copenhagen. L'idee de nature, Mulhouse Kunsthalle, Frankrig 2010: hem ljuva hem, Konsthall C, Stockholm. THIS STORY IS NOT READY FOR ITS FOOTNOTES, Ex Elettrofonica, Roma. Danmark 2010 - en vejledning til nationen for 'verdens lykkeligste folk'. (gaaafstand collaboration with Nis R?mer) Overgaden. Institute of Contemporary Art, Copenhagen. Wiels, Rehabilitation, Bruxelles – Brussel Both Before and After, gb agency, Paris Mostra Internacional de Films de Dones de Barcelona, Film festival, Barcelona. Where are yesterday's tomorrow? Film screening, Mus?e d'Art Contemporain de Montreal. Montreal. 2009: Changes in the contemporary city, Sculpture International Rotterdam (SIR), Coolsingel cinema, Rotterdam. The Curve is Ruinous (film screening program), Grazer Kunstverein, Graz. After Architecture, CASM, Barcelona. In May (After October), Gallery TPW Toronto Gets Under the Skin (film screening program), The Storefront for Art and Architecture, New York Os demos, Publik, Copenhagen 2008: Overcoming, Ernst Museum, Budapest After October, Elizabeth Dee gallery, New York Zero Gravity, The Week of Contemporary Art in Plovdiv, Bulgaria U-TURN Quadrennial for Contemporary Art, Copehagen The Map is not the Territory, Esbjeg Artmuseum, Denmark Technically Sweet, Participant Inc, New York Danskjävlar – A Swedish declaration of love, Kunsthal Charlottenborg. Copenhagen. A NEW STANCE FOR TOMORROW, The Gallery Sketch, London 2007: “The Other City”, Hungarian cultural center, New York. “Sue?o de casa propia”, La casa encendida, Madrid “Archaeologies of the Future, Sala Rekalde, Bilboa. ”Building Society”, Contemporary artcenter La Panera, Lleida, Spain. “Imagine Action”, Lisson Gallery, London. “A Number of Worlds Resembling Our Own”, Smart Project Space, Amsterdam. Habitat/Variations, B?timent d'art con temporain, Geneve “Anachronism”, ARGOS, Brussels. "Elephant Cemetary”, Artist Space, New York "Dibujos animados (Cartoons)", Museo Colecciones ICO, Madrid 2006: Exportable Goods, Krinzinger Projekte, Vienna Dreamlands Burn, Mucsarnok / Kunsthalle Budapest Version Animee, Centre pour l'image contemporaine, Geneve. Urban Appearances, video parcour at Rosa-LuxemburgPlatz, Berlin Closely Observed Plans, Transit workshops, Bratislava. Super nova, Pommery#3, Reims, France Esplanaden, The Frie, Exhibition Hall, Copenhagen. 2005: At the Same Time Somewhere Else, Fruitmarket Gallery, Edinbourg gb Agency. Paris. Opening exhibition, Andersen’s Gallery, Copenhagen. Urban Cirkulation, public project, Berlin. 2004: Channel _0, CATV Project, Local TV-NETWORK, AIAV, Japan Non Standard Cities, Stadtkunstverein, Berlin. Cycle Tracks Will Abound In Utopia, ACCA, Melbourne Architectual Adventures, Overgaden, Institute of Contemporary Art, Copenhagen. Monument, an exhibition in the city of Copenhagen. 2003: Abcity, Trafo, Budapest. Plunder, Dundee Contemporary Arts, Dundee, Scotland. Feu de bois, Frac des Pays de la Loire, Nantes, France. Rent a Bench, Trapholt Moderne Museum of Art, Kolding, Denmark. Coup de Coeur- a sentimental choice, CRAC Alsace, Altkirch, France. Video festival, Creating New Spaces, Kunstverein Langenhagen, Germany. Venice biennale, Utopia Station, Venice. gb agency, Present Perfect, Paris. GNS, Palais de Tokyo, Paris Nomadic Structures, Cubiitt Gallery, London. Mursollaici, Centre Culturel Suisse, Paris. 2002: Home Scenes: 8 days of revision. The Schindler House, Los Angeles. Site-seeing: disneyfication of cities? Ku?nstlerhaus, Vienna. The Fall Exhibition, Charlottenborg, Copenhagen, Denmark. ••A collaporation with Johan Tiren. Rent-a-bench, in the street on bus benches, Los Angeles. Culture meets culture, Busan Biannale, Korea. Urbane Sequenzen, Kunsthalle Erfurt/Museum Schloss Hardenberg Manifesta 4, European Biennial of Contemporary Art, Frankfurter Kunstverein, Frankfurt am Main, Germany* ’Concrete Garden’, Museum of Modern Art, Oxford 2001: ‘Dedalic Convention’, MAK – Austrian Museum for Applied Arts, Wien. ‘Blick’, Screening touring Nordic and international venues. ‘Exile Video’, Rum46, Aarhus, Denmark. ‘New Settlements’, Nikolaj Contemporary Art Center, Copenhagen, Denmark. ‘Take Off’, Aarhus Art Museum, Aarhus, Denmark 2000:‘Site Geist’, The Porter Troupe Gallery, SanDiego, USA. ‘No swimming’, org. by Heike Ander, Kunstverein Mu?nchen, Germany. ‘Use your illusion/part 3’, Duchamp's Suitcase, Arnolfini, Bristol, England. ‘Momentum’. Nordic Biennale for Contemporary Art, Moss, Norway. ’Taenk om/What if?’, Moderna Museet, Stockholm,Sweden.
Pia Rönicke
Catalogue : 2023Drifting Woods | Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 95:50 | Danemark, Suède | 2022
Pia Rönicke
Drifting Woods
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 95:50 | Danemark, Suède | 2022
"Drifting Woods" is a filmic work that engages with the local histories of a dense forestland located two hours north of Stockholm. A forest has existed in this area for as long as records have been kept, and only in the last 250 years has it been extensively utilized for industrial production. Through a non-linear composition, the work brings forth the various stages of the forest's development: from the planting and cultivation of saplings, through the different phases of tree felling, to the production of paper pulp and lumber. The work captures how the forest is documented and consistently represented – through scientific experiments, data collections, botanical studies, and retellings of the area's history. The film conveys the histories of both local and migratory perspectives, showing how the expulsion of nomadic practices from the forest is closely linked to the forest's enclosure. What becomes evident through the film is that the capitalization of forests is intertwined with surveillance technology derived from racist ideologies. The work collaborates with biologists to gain a deeper understanding of tree life and its interconnection with the underground mycelium, forming what the biologist Suzanne Simard refers to as network topologies. "Drifting Woods" is also a network topology, connecting the forest with the narratives that inhabit it. Listening to the stories of this network also means hearing how the forest is portrayed and understanding that its future depends on how the forest's stories are retold within a broader narrative.
Pia Rönicke's work spans from film, prints, sculptures to objects, which together build narratives. Her work arises from perspectives of a drifting practice that opens up to new connections to land and ways of being present within an everyday, to zones where plant life transgresses existing borders of occupation. Collecting is a recurring aspect of her practice, the personal, ethical and political dimensions of it.