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Ben Rivers
Catalogue : 2010Origin of the Species | Doc. expérimental | 16mm | couleur | 16:0 | Royaume-Uni | 2008
Ben Rivers
Origin of the Species
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 16:0 | Royaume-Uni | 2008
?Some things didn?t really matter, you know, some mutations didn?t matter all that much?they were neither beneficial to survival nor detrimental to survival?but if they just hung on, there?d come a time when?that was the thing that saved the day.? Charting the beginnings of the time, through the descent of man, on to an uncertain future - all shot throughout the seasons in the garden of S, who lives in the wilderness and builds contraptions.
Born 1972. Studied Fine Art at Falmouth School of Art. Co-founded and programmed Brighton Cinematheque from 1996-2006. He has exhibited at many international film festivals and galleries, winning various awards, including Tiger Award, IFF Rotterdam 2008. He has been the recipient of a number of commissions, most recently a London Artist?s Film and Video Award. Recent shows include; ?A World Rattled of Habit? A Foundation, Liverpool; ?An Entangled Bank? Talbot Rice Gallery, Edinburgh; and artist-in-focus screenings in Courtisane Festival; Pesaro International Film Festival, London Film Festival, Punto de Vista, and upcoming at Tirana Film Festival and Indielisboa.
Jacob Rivkin
Catalogue : 2017Fortunate Isles: Landings | Vidéo | hdv | noir et blanc | 3:50 | USA | 2016
Jacob Rivkin
Fortunate Isles: Landings
Vidéo | hdv | noir et blanc | 3:50 | USA | 2016
Drawing upon the name of earthly paradise in Greek mythology, the film ‘Fortunate Isles: Landings’ explores the awakening of sentience and biological complexity within digital images. To fully inhabit utopian and cinematic visions of analog & digital interpretations of landscape, ‘Fortunate Isles: Landings’ is filmed on location at sites of human achievement and continuous habitation; the level Bonneville Salt Flats, Utah and remote cliffs of Salvage, Newfoundland. During filming, performers wore chroma-key suits on location that, in post-production, allow the suit’s geometric faces to be digitally blanked and replaced with hand-drawn animation. Through the dialogue of gaps and joins created by the subtle collapsed spaces between layers of inter-narrative animation, questions of evolution, reality, and wonder begin to surface. The figures each carry a drawn experience inscribed into their outer forms. A patina of frames progressing forward echoes an imprinted memory; Landscapes are portable.
Jacob Rivkin is an interdisciplinary artist living and working in Philadelphia, PA, USA. His animations and sculptures focus on how we experience and internalize landscape, memory, and desire. His work has exhibited widely, including at the Arlington Arts Center, the Chemical Heritage Foundation Museum, the Vancouver Art Gallery, the Animation Block Party, and the National Museum of Australia. He holds lecturer positions at the University of Pennsylvania and the Mason Gross School of the Arts at Rutgers University. He received his MFA from the University of Pennsylvania in 2013 and BA from Vassar College in 2007. His awards include selection as a finalist for the anthropoScene Film Competition in 2016, a Fulbright Student Grant in 2008 to study Chinese Traditional Landscape Painting in Hangzhou, China, and the Weitzel Barber Art Travel Prize in 2006 to study Buddhist Sculpture Practices in Western China. He is a member of the OOF Animation Collective and in 2014 he was an Artist-in-Residence at the Hacktory in Philadelphia, PA.
Faozan Rizal
Catalogue : 2007Yasujiro Journey | Fiction expérimentale | dv | couleur | 46:0 | Indonésie | 2006
Faozan Rizal
Yasujiro Journey
Fiction expérimentale | dv | couleur | 46:0 | Indonésie | 2006
"Yasujiro?s Journey" fait le portrait de l`errance fictionnelle de Yasujiro Yamada qui, en 2002, voyage en Indonésie à la recherche du grand père dont il a reçu le nom. Ce grand père a apparemment été un soldat japonais qui a survécu à un crash d`avion au dessus de l`Indonésie, sur sa route vers Pearl Harbor en 1942, mais qui n`est jamais rentré chez lui. Le voyage du jeune homme n`est pas tant une quête au sens littéral pour retrouver le vieil homme, mais est une recherche spirituelle, dans ce paysage étranger que son ancêtre a parcouru. Le fait qu`il ne trouve pas ce qu`il cherche, et que c`est lui-même qu`il ne trouve pas, est particulièrement significatif dans l`une des scènes du film, où il empile des pierres qui emplissent la hauteur de l`écran, puis s`éloigne, est insatisfait, les renverse et construit à nouveau un monticule. Le son du vent, très présent tout au long du film, fonctionne comme un avertissement, comme si un démon socratique l`avertissait d`une erreur. Le thème du voyage est central dans ce film, et dans l`?uvre du cinéaste. Il interroge également son pays natal et les générations antérieures, qui n`ont pas vécu dans un environnement urbain. Faozan Rizal veut aussi explorer le paysage du point de vue d`un étranger, et il est significatif que le protagoniste de cette errance soit un Japonais.
Faozan Rizal est un jeune cinéaste indonésien. Ses films ont fait l`objet d`une rétrospective non officielle au 18ème festival international du film de Singapour en 2005. Il a réalisé plusieurs courts métrages de type expérimental, ou se situant aux frontières de différentes pratiques. Il explore les propriétés et les textures du film, explorant les régions entre cinéma et photographie. Il a également réalisé une série de moyens métrages, d`environ 30 minutes, en collaboration avec la danseuse Katia Engel, dans lesquels la danse et la photographie sont si intimement unies que ce serait une erreur de les décrire comme de simples films expérimentaux. Il serait en effet difficile d`imaginer la performance indépendamment de sa retranscription dans le film. L`imbrication de différentes formes d`art n`est pas surprenante dans le travail de Faozan Rizal, qui a étudié et pratiqué la danse javanaise dans sa jeunesse, et qui a étudié la peinture avant de s`inscrire à la Fémis. Il a été acteur, directeur de la photographie, scénariste et réalisateur. Son travail se situe au-delà de la narration linéaire. Il exprime des sentiments et transmet des idées par la juxtaposition d`images concrètes et spécifiques, par la répétition de mouvements, l`usage de longs plans séquences. Ses films ne sont pas transparents au niveau de la narration, mais le son y est hautement significatif. Rizal n`a pas abandonné l`idée de récit d`histoires, mais il abandonne ce qui n`est pas nécessaire au c?ur essentiel de la narration, c?ur qui est l`essence de toute narration.
Riar Rizaldi
Catalogue : 2021Kasiterit | Fiction expérimentale | hdv | couleur | 18:22 | Indonésie | 2019
Riar Rizaldi
Kasiterit
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 18:22 | Indonésie | 2019
Un tiers de l'approvisionnement mondial en étain est extrait de l'île de Bangka, en Indonésie. L'étain est le minerai le plus affecté par les développements technologiques à venir, notamment l'intelligence artificielle et les technologies de production d’énergie renouvelable. Natasha est une voix d'I.A. alimentée par l’énergie solaire, et, dans ce film, elle retrace leur généalogie et la vérité de leur origine, de la liquidité du capital à la dynamique du travail. Avec sa voix féminisée - comme c'est souvent le cas pour les autres assistants vocaux basés sur l’intelligence artificielle, produits par les grandes entreprises technologiques - Natasha raconte l'émergence de l'étain sur l'île de Bangka, et sa propre existence, du point de vue d’une anthropologie tropicale de la nature, de la théorie de la valeur, de la philosophie du temps, des mutations génétiques, de la géopolitique, et de l'automatisation.
Riar Rizaldi est artiste et chercheur. Né en Indonésie, il vit actuellement à Hong Kong (Chine). Il s'intéresse principalement à la relation entre le capital et la technologie, à l'extractivisme, et à la fiction théorique. À travers ses œuvres, il questionne la notion de politique de l'image, la matérialité, l’archéologie des médias et les conséquences inattendues des technologies. Par ailleurs, il compose et interprète activement des fictions sonores, à l’aide des méthodes du field recording et du bruitage par le biais du langage de programmation. Il a également été le curateur du ARKIPEL Jakarta International Documentary & Experimental Film Festival - Penal Colony [2017], Jakarta (Indonésie); de "Internet of (No)Things" [2018], au Jogja National Museum, Jogjakarta (Indonésie); et a été co-curateur de "Open Possibilities: 'There is not only one neat way to imagine our future'", au JCC – Japan Creative Centre, Singapour (Singapour), et au NTT ICC – InterCommunication Center, Tokyo (Japon) [2019-2020]. Ses œuvres ont été présentées notamment au Festival international du film de Locarno (Suisse); au BFI Southbank, Londres (Royaume-Uni); au Festival international du film de Rotterdam (Pays-Bas); au NTT InterCommunication Center, Tokyo (Japon); et à la National Gallery of Indonesia, Jakarta (Indonésie).
Riar Rizaldi
Catalogue : 2023Notes from Gog Magog | Doc. expérimental | 0 | couleur | 19:32 | Indonésie | 2022
Riar Rizaldi
Notes from Gog Magog
Doc. expérimental | 0 | couleur | 19:32 | Indonésie | 2022
An exploration of the interconnection between ghost stories, tech company culture in South Korea, and the economy of logistics in Indonesia told through a notebook/premake film and dossier of an unmade techno-horror feature-length film set in between port in Jakarta and an unnamed employee assistance programme office in Seoul.
Riar Rizaldi works as an artist and filmmaker. He works predominantly with the medium of moving images and sound, both in the black-box of cinema settings as well spatial presentation as installation. His artistic practice focuses mostly on the relationship between capital and technology, labour and nature, worldviews, genre cinema, and the possibility of theoretical fiction. His works have been shown at various international film festivals (including Locarno, IFFR, FID Marseille, Viennale, BFI London, Cinema du Reel, Vancouver, etc) as well as Centre Pompidou Paris, NTT InterCommunication Center Tokyo, Taipei Biennial, Istanbul Biennial, Venice Architecture Biennale, Biennale Jogja, National Gallery of Indonesia, and other venues and institutions. In addition, solo exhibitions and focus program of his works had been held at Batalha Centro de Cinema, Porto and Centre de la photographie Genève amongst others.
Daniel Robin
Catalogue : 2019All The Leaves Are Brown | Doc. expérimental | super8 | couleur | 11:0 | USA | 2017
Daniel Robin
All The Leaves Are Brown
Doc. expérimental | super8 | couleur | 11:0 | USA | 2017
What do we become when we realize that we are no longer what we used to be? Are we still ourselves, even though we no longer remember what we used to be? Through a collage of excerpts from conversations, thoughts, pictures of places and intimate family moments, "All the Leaves are Brown" is an autobiographical reflection, in film, of the American director Daniel Robin. The nostalgia for the past and for his life in California (as in the music by "The Mamas & The Papas" suggested by the title) is imprinted in the beautiful landscapes shot in Super8, which are in contrast with the narrator`s feeling of anguish, regarding the present and the future, a time that is characterised by what no longer exists or what has ceased to be. In a touching and intimate portrait about memory, family and loss, the fallen leaves of "All the Leaves are Brown" represent the end of a season and the beginning of another cycle: Daniel knows that, next year, the tree he sees from his window will once again be filled with leaves. He will have to learn to be another one. (LQ)
Daniel Robin’s film, “my olympic summer,†won the 2008 Sundance Film Festival Jury Prize for Short Filmmaking. The film also won the Grand Jury Award for Best Documentary Short at the Florida Film Festival, Best Documentary Short at the Nashville Film Festival, and best documentary short at several other festivals. The film was also selected to screen at the prestigious New Directors/New Films Festival in New York. His other films have twice screened at Sundance, at the SXSW Film Festival and festivals in Bogota, Cartagena, Abu Dhabi, Ireland, Israel, Italy, Spain, Philadelphia, London, Atlanta, Baltimore, Humboldt, Ann Arbor, and elsewhere. Filmmaker magazine recently named Robin one of the “25 New Faces of Independent Film,†a major honor. Robin is an innovative online artist, having pioneered web video in 2001, and with 6 episodic web series to date available at his website www.neighborhoodfilms.com. Robin recently wrote an essay about his experiences with web video for Movement, the NYU Tisch School journal. Daniel has been invited to present web video work at the Amsterdam Worldwide Video Festival and elsewhere. His projects have received support from the San Francisco Arts Commission, Apple Computers, the Fleishbacker Foundation, and the Film Arts Foundation. As Robin puts it: “My film/video work is primarily made for two distinct exhibition venues: film festivals and the Internet (web series). My short films are personal and, for the most part, interrogate relationships I have with women, my family, and Judaism. While the majority of my filmmaking can be read within a documentary framework, I’m more inclined not to use labels to categorize my work. I have a deep love and appreciation for narrative cinema and have incorporated some fictional devices in my more recent films. I use narrative strategies both as a means to critique how we consume documentaries and, in some sense, as a way to liberate my work from the constraints of conventional non-fiction storytelling. The most important aspect of filmmaking, for me, is to arrive at an emotional truth that resonates with the viewer.I began making web series at my site www.neighborhoodfilms.com in 2000. My first series, the valet chronicles, set the thematic standard for each new series, my relationship with a specific neighborhood, and or community. My work here maintains an aesthetic and tonal consistency that aligns itself with familiar tropes of documentary practice, yet I consider these web series an extension of my personal filmmaking.â€
Michael Robinson
Catalogue : 2017Mad Ladders | Vidéo | hdv | couleur | 9:45 | USA | 2015
Michael Robinson
Mad Ladders
Vidéo | hdv | couleur | 9:45 | USA | 2015
A modern prophet’s visions of mythical destruction and transformation are recounted across a turbulent geometric ceremony of rising curtains, swirling set pieces, and unveiled idols from music television’s past. Together, these parallel cults of revelation unlock a pathway to the far side of the sun.
Michael Robinson (b.1981) is an American film, video and collage artist whose work explores the joys and dangers of mediated experience, riding the fine lines between humor and terror, nostalgia and contempt, ecstasy and hysteria. His work has shown in both solo and group shows at a variety of festivals, museums, and galleries including The 2012 Whitney Biennial, The International Film Festival Rotterdam, The New York Film Festival, The BFI London Film Festival, REDCAT Los Angeles, MoMA P.S.1, The Sundance Film Festival, The Walker Art Center, Anthology Film Archives, The Images Festival, The European Media Art Festival, and Whitechapel Gallery in London. Michael was the recipient of a 2014 MacDowell Colony Fellowship, a 2012 Creative Capital grant, a 2011-2012 Film/Video Residency Award from The Wexner Center for the Arts, a 2009 residency from The Headlands Center for the Arts, and his films have received awards from numerous festivals. He was featured as one of the “50 Best Filmmakers Under 50” by Cinema Scope magazine in 2012, and listed among the top ten avant-garde filmmakers of the 2000`s by Film Comment magazine. Michael holds a BFA from Ithaca College, and an MFA from the University of Illinois at Chicago. His work is distributed by Video Data Bank and represented by Carrie Secrist Gallery in Chicago.
Catalogue : 2015The Dark, Krystle | Fiction expérimentale | dv | couleur | 9:34 | USA | 2013
Michael Robinson
The Dark, Krystle
Fiction expérimentale | dv | couleur | 9:34 | USA | 2013
The cabin is on fire! Krystle can't stop crying, Alexis won't stop drinking, and the fabric of existence hangs in the balance, again and again and again. – MR "The Dark, Krystle brilliantly re-purposes the artificiality of stock gesture, allowing viewers to see its hollowness and to feel it recharging with new emotional power. Equal parts archival fashion show and feminist morality play, Robinson’s montage rekindles the unfinished business of identity, consumption, and excess in 1980s pop culture." - Carrie Secrist Gallery, Chicago
Michael Robinson (b.1981) is an American film, video and collage artist whose work explores the joys and dangers of mediated experience, riding the fine lines between humor and terror, nostalgia and contempt, ecstasy and hysteria. His work has shown in both solo and group shows at a variety of festivals, museums, and galleries including The 2012 Whitney Biennial, The International Film Festival Rotterdam, The New York Film Festival, The BFI London Film Festival, REDCAT Los Angeles, MoMA P.S.1, The Sundance Film Festival, The Walker Art Center, Anthology Film Archives, Kurzfilmtage Oberhausen, Viennale, and Whitechapel Gallery in London. Michael was the recipient of a 2012 Creative Capital grant, a 2011-2012 Film/Video Residency Award from The Wexner Center for the Arts, a 2009 residency from The Headlands Center for the Arts, and his films have received awards from numerous festivals. He was featured as one of the “50 Best Filmmakers Under 50” by Cinema Scope magazine in 2012, and listed among the top ten avant-garde filmmakers of the 2000`s by Film Comment magazine. His work is distributed by Video Data Bank and Carrie Secrist Gallery in Chicago.
Catalogue : 2008The General Returns From One Place to Another | Film expérimental | 16mm | couleur | 10:45 | USA | 2006
Michael Robinson
The General Returns From One Place to Another
Film expérimental | 16mm | couleur | 10:45 | USA | 2006
Apprendre à aimer à nouveau, tout en ayant peur, le film alterne entre le romantique et l'horrible, en donnant une forme tour à tour sceptique et indulgente à l'expérience du beau. Un monologue de Frank O'Hara (provenant d'une pièce de théâtre du même nom) tente de miner la sincérité du paysage, mais des forces plus puissantes font surface.
Depuis l'an 2000, Michael Robinson a réalisé un ensemble de films, vidéos et oeuvres photographiques qui explorent la poétique de la perte et les dangers du travail médiatisé. Son travail a été projeté au cours de représentations tantôt personnelles, tantôt collectives, à l'occasion de divers festivals, cinémathèques et galeries, dont le Festival International du Film de Rotterdam, le New York Film Festival, le Times BFI London Film Festival, Media City, Anthology Film Archives, Viennale, Cinematexas, le Wexner Center for the Arts, ICA London, Impakt, le Yerba Buena Center for the Arts, Chicago Filmmakers, PDX, et le Festival du Film International de San Francisco, d'Oberhausen, et de Hong Kong. Son film "You Don't Bring Me Flowers" a été élu "Meilleur Film International" au Festival de l'Image de Toronto en 2006, "Meilleur Film du Festival" à l'Underground Film Festival de Milwaukee en 2006, et Michael s'est vu attribuer le prix du "Meilleur Espoir de la Réalisation" à l'Ann Arbor Film Festival en 2007. Originaire du Nord de New York, Michael a obtenu un Bachelor of Fine Arts à l'Ithaca College, et un Master of Fine Arts à l'University of Illinois à Chicago. Il réside actuellement à Chicago.
Andrea Robles, Adriana BRAVO
Catalogue : 2007El Fish | Animation | dv | couleur et n&b | 4:7 | Mexique | 2008
Andrea Robles, Adriana BRAVO
El Fish
Animation | dv | couleur et n&b | 4:7 | Mexique | 2008
Cette animation nous plonge dans le monde quotidien de Benjamin. La bande-son a été créée en se basant sur son état émotionnel. Celle-ci est composée de sons qu?il émet lui-même ou bien de sons qui le fascinent. Les images de cette ?uvre tentent d?interpréter les perceptions et sensations de Benjamin.
Robles a obtenu une Licence en Communication Visuelle en 1999. Durant ses études, elle a participé à un atelier d?animation où elle a réalisé un spot publicitaire pour l?UNICEF. Celui-ci a reçu le premier prix du "Television and Video Festival ANUIES 2000" (National Association of Universities and Institutions for Education). En 2001, elle a créé le groupe dobleA (doubleA) en association avec Adriana Bravo. Depuis elles ont toujours travaillé ensemble sur leurs projets. En 2002, Robles a suivi un atelier donné par Jesse Lerner au Centro de la Imagen (Centre de l?Image) où elle a créé Mirada Perdida (Lost Sight) qui est une animation réalisée avec des objets. La même année, elle a produit Contemplación (Contemplation) et Experimento (Experiment). Elle a réalisé Anatomy of a Moth en 2004. Cette animation faite avec des dessins au crayon a gagné une bourse du "Consejo Nacional para la Cultura y las Artes" (Assemblée Nationale des Arts et de la Culture). La même année, elle a reçu la subvention Jóvenes Creadores 2004-2005 (Jeunes Artistes 2004-2005) du "Fondo National para la Cultura y las Artes" (Fond National pour les Arts et la culture). Pendant cette période, Robles a produit Microftalmía (Microphtalmie), animation expérimentale composée de peintures à l?huile sur verre.
João Pedro Rodrigues
Catalogue : 2014O corpo de Afonso | | | | 32:0 | Portugal | 0
João Pedro Rodrigues
O corpo de Afonso
| | | 32:0 | Portugal | 0
How would it look like, the body of Dom Afonso Henriques, first king of Portugal, tutelary figure, subject to successive mythifications throughout Portuguese history?
Born in Lisbon in 1966. Pedro Rodrigues attended the Lisbon Film School, in which he graduated in 1989. From 1989 to 1996 he worked as assistant director and editor with well-known names of the portuguese cinema, such as Teresa Villaverde. His short ?Parabéns!? (1997) participated at the Cinema Festival of Venice of 1997 and received a special distinction of the Jury. And his feature, ?O Fantasma?, of 2000, received the Award for the Best Foreign Feature Film at the Cinema Festival of Belfort in the same year. Recently he directed ?Odete?, Special Mention from Cinémas de Recherche in Cannes 2005, Director?s Fortnight .
Fundacion Rodriguez
Hector Rodriguez
Catalogue : 2013INFLECTIONS | Vidéo | dv | noir et blanc | 3:0 | Espagne, Hong Kong | 2012
Hector Rodriguez
INFLECTIONS
Vidéo | dv | noir et blanc | 3:0 | Espagne, Hong Kong | 2012
INFLECTIONS is a real-time generative system that temporally rearranges video sequences based on mathematical equations. It explores the relationship between duration, simultaneity, and expectation. The technical concept of the work is based on the idea of a one-dimensional random walk: a mathematical representation of a journey along a linear path. The path contains several nodes or decision points. At each node along the path, the walker decides at random whether to go forward or backwards. In this work, the ?path? is the timeline of a movie clip. The program identifies a set of "inflection points" (or ?decision points?) along this timeline. An inflection point is a moment that contains no motion, where movement comes to a standstill. It is thus a good point to change direction. Imagine now the computer program walking along a movie timeline. When it reaches one of those inflection points, it makes a yes-no decision, either to go forward or move back. In this project, the walk is not random, because the program relies on some non-linear dynamical equation to make each decision. Inflections uses equations that exhibit chaotic behavior and for this reason can be used to simulate a random process.
Hector Rodriguez is a digital artist and theorist. His animation Res Extensa received the award for best digital work in the Hong Kong Art Biennial 2003 and has been shown in India, China, Germany, and Spain. His essays about film theory/history and digital art have been published in Screen, Cinema Journal, and Game Studies, and he has participated in various art and technology conferences. He was Artistic Director of the Microwave International Media Art Festival, where he has also taught workshops on Java programming and organized an exhibition on art and games, and is now a member of the Writing Machine Collective. He currently teaches at the School of Creative Media, City University of Hong Kong. He has taught courses on game studies, generative art, software art, media art theory, contemporary art, and film history.
Francisco Rodriguez Teare
Catalogue : 2022Gois | Vidéo | mp4 | couleur | 27:53 | Chili, France | 2020
Francisco Rodriguez Teare, Francisco Rodriguez Teare
Gois
Vidéo | mp4 | couleur | 27:53 | Chili, France | 2020
Avec Vanja et d'autres amis, nous allons nous baigner chaque été dans les rivières de Góis. Nous avons commencé à y aller en 2016, lorsque nous sommes arrivés en Europe et que nous cherchions un lieu qui nous rappellerait les montagnes du Chili, là où nous avons grandi. Chaque année, de nouveaux amants arrivent et de nouveaux couples se font ou se défont. Tout se remet à chaque fois en mouvement. Un après-midi de baignade, mon ami Rodrigo me raconte qu'il y a quelque temps, il a commencé à pratiquer une forme de fétichisme avec son copain : ils se font de petites entailles dans la peau avec des lames de rasoir et se sucent le sang l’un l’autre.
Francisco Rodríguez Teare is a Chilean artist and filmmaker based in France with a moving image practice working predominantly with cinema, video and installation. Since 2015 he has been creating film and video works and exhibiting them internationally both in film festival circuits and contemporary art contexts. His work explores the flow of power within fluid global networks and territories, opacity of violence, the traces of the dead in the world of the living, oral traditions and their intersection with personal memory and popular myths. Recently his work has been presented at Stedelijk Museum, Taipei Biennial, Film Society of Lincoln Center, VIDEONALE, FID Marseille, Collection Lambert, CPH:DOX, Shangai Film Festival, Courtisane, Doc Lisboa, Viennale, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, Govett-Brewster Art Gallery, Birkbeck Institute for the Moving Image. He has received awards at the Valdivia Film Festival, Festival Punto de Vista and the Fondation François Schneider, among others.
Francisco Rodriguez Teare, Francisco Rodriguez Teare
Catalogue : 2022Gois | Vidéo | mp4 | couleur | 27:53 | Chili, France | 2020
Francisco Rodriguez Teare, Francisco Rodriguez Teare
Gois
Vidéo | mp4 | couleur | 27:53 | Chili, France | 2020
Avec Vanja et d'autres amis, nous allons nous baigner chaque été dans les rivières de Góis. Nous avons commencé à y aller en 2016, lorsque nous sommes arrivés en Europe et que nous cherchions un lieu qui nous rappellerait les montagnes du Chili, là où nous avons grandi. Chaque année, de nouveaux amants arrivent et de nouveaux couples se font ou se défont. Tout se remet à chaque fois en mouvement. Un après-midi de baignade, mon ami Rodrigo me raconte qu'il y a quelque temps, il a commencé à pratiquer une forme de fétichisme avec son copain : ils se font de petites entailles dans la peau avec des lames de rasoir et se sucent le sang l’un l’autre.
Francisco Rodríguez Teare is a Chilean artist and filmmaker based in France with a moving image practice working predominantly with cinema, video and installation. Since 2015 he has been creating film and video works and exhibiting them internationally both in film festival circuits and contemporary art contexts. His work explores the flow of power within fluid global networks and territories, opacity of violence, the traces of the dead in the world of the living, oral traditions and their intersection with personal memory and popular myths. Recently his work has been presented at Stedelijk Museum, Taipei Biennial, Film Society of Lincoln Center, VIDEONALE, FID Marseille, Collection Lambert, CPH:DOX, Shangai Film Festival, Courtisane, Doc Lisboa, Viennale, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, Govett-Brewster Art Gallery, Birkbeck Institute for the Moving Image. He has received awards at the Valdivia Film Festival, Festival Punto de Vista and the Fondation François Schneider, among others.
Alberto Rodríguez Collía
Catalogue : 2018Ley Aurea (Golden Law) | Vidéo expérimentale | hdv | couleur | 7:4 | Guatemala, Brésil | 2014
Alberto RodrÍguez CollÍa
Ley Aurea (Golden Law)
Vidéo expérimentale | hdv | couleur | 7:4 | Guatemala, Brésil | 2014
This video speaks about the exploitation and its institutionalized discrimination (economic and racial) and slavery. The location is Brazil, because this one of the most unequal countries worldwide and was the last to declare slavery illegal (Aurea Act of 1898).
Lives and works in Guatemala. With his work tries to explore the historical memory, sordid aspects of the human being and the ridicule of the societies that are imposed over others. He graduated as Engraver from Art School no. 10 of Madrid, with his final project received the Honourable mention at Aurelio Blanco awards. He was awarded with the residencies of FONCA / CASA of Oaxaca, Mexico; Des.Pacio of San Jose, Costa Rica, Fundaçao Armando Alvarez Penteado in Sao Paulo, Brazil, and AIT in Tokyo, Japan. Also participated in 32nd. Biennial of Ljubljana, in the XVI and XVII Biennial of Guatemala and the VII Central American Biennial. In 2007 he co-founded the TEGG, the only engraving workshop in Guatemala, where he teached and organized exhibitions related to graphic arts. From 2010 to 2014 he was in charge of the Cinematographic Art Center of the CCEG, coordinating films screenings and workshops of cinema. Rodriguez also coordinated the Contemporary Film Festival (MUCA) and has worked for the human rights oriented film festival “ Memoria, Verdad, Justicia ” since 2013. He participated in the films "Even the Sun has spots" that won "Prix Espérance" and "Honourable Mention" in the FID of Marseille.
Camila Rodríguez Triana
Till Roeskens
Catalogue : 2010Vidéocartographies : Aïda, Palestine - Un tour à Beer Sheva | Doc. expérimental | dv | noir et blanc | 4:39 | Allemagne, Palestine | 2008
Till Roeskens
Vidéocartographies : Aïda, Palestine - Un tour à Beer Sheva
Doc. expérimental | dv | noir et blanc | 4:39 | Allemagne, Palestine | 2008
J?ai demandé aux habitants du camp Aïda à Bethléem d?esquisser des cartes de ce qui les entoure. Les dessins en train de se faire ont été enregistrés en vidéo, de même que les récits qui animent ces géographies subjectives. À travers six chapitres qui forment autant de courts-métrages potentiellement indépendants, vous découvrirez pas à pas le camp de réfugiés et ses environs, vous suivrez les trajets d`hommes, de femmes et d`enfants et leurs tentatives aventureuses de composer avec l?état de siège sous lequel ils vivent. Un hommage à ce que j?appellerai résistance par contournement, à l?heure où la possibilité même de cette résistance semble disparaître.
Till Roeskens, né en 1974 à Freiburg (Allemagne), vit à Marseille. Amateur de géographie appliquée, Till Roeskens appartient à la famille des artistes-explorateurs. Son travail se développe dans la rencontre avec un territoire donné et ceux qui tentent d?y tracer leurs chemins. Ce qu?il ramène de ses explorations, que ce soit sous la forme d?un livre, d?un film vidéo, d?une conférence-diaporama ou autres formes légères, ne se voudrait jamais un simple rapport, mais une invitation à l?exercice du regard, un questionnement permanent sur ce qu?il est possible de saisir de l?infinie complexité du monde. Ses « tentatives de s?orienter » s?élaborent avec le souci récurrent de toucher un public non averti et de rendre les personnes rencontrées co-auteurs de l??uvre. A exercé entre autres au Plateau à Paris, à la Forteresse de Salses, à la Villa Saint-Clair à Sète, au Musée d?Art Moderne et Contemporain et au CEAAC à Strasbourg (Bourse de la Ville de Strasbourg), à Langage Plus (Québec), au Musée d?Art Moderne de Collioure (Prix Collioure), aux divers FRAC : Alsace, Languedoc-Roussillon et PACA où il élabore actuellement un premier long métrage documentaire. A récemment remporté le Grand Prix de la compétition française au FID (Festival International du Documentaire de Marseille) 2009.
Axel Roessler
Catalogue : 2010it's a small world | Film expérimental | | couleur | 2:0 | Allemagne | 2009
Axel Roessler
it's a small world
Film expérimental | | couleur | 2:0 | Allemagne | 2009
Die Idee zum Clip "It`s a small world" entstand, als ich in auf einem Flohmarkt in Los Angeles ein Fotoalbum kaufte, in dem alte Polaroidfotografien einer amerikanischen Familie zu sehen sind. Der kurze Film ist eine Art Hommage an das längst vergangene Südkalifornien der sechziger Jahre und stellt die Reise nach, die die fotografierten Personen damals unternomen haben.
Biographie Axel Rössler: - geboren 1966 in Langenhagen / Hannover - 1986 Abitur, danach Zivildienst - bis 1995 Studium an der Johann Wolfgang Goethe Universtät Frankfurt am Main, Diplomabschluß als Sprachsoziologe - parallel seit ca. 1990 verstärkt Interesse an Graphiksoftware, diverse Jobs die zum Glück ausreichend Zeit für die autodidaktische Aneignung allermöglichen Sound- und Graphikprogramme erlauben, Betrieb eines Schallplattenlabels für Singles (?Stetzer?) - 1998 Gründungsmitgleid von saasfee*, einem Label für Medien, Design, Kunst und elektronische Musik, dabei Schwerpunkt Animationen und 3D sowie Musiklabelarbeit - seit 2000 diverse Musikvideos, Auftragsarbeiten und Experimentalfilme, Ausstellungen u.a. in Genf, Basel, Turin, München, Hamburg und Frankfurt - seit 2006 verstärkte Arbeit an www.countrytrouble.com zusammen mit Ellen Wagner - seit längerem befreundet mit Bertram Ritter, der hier die Musik beigesteuert hat. Bertram ist aktiv in diversen Frankfurter Bands, aktuell als Schlagzeuger bei ?Das grüne Hemd?, ?Perfumed Chambers? und ?Nachttierhaus?. Auch als Solokünstler aktiv.
Alicja Rogalska
Catalogue : 2023Dark Fibres | Vidéo expérimentale | 4k | couleur | 5:16 | Pologne, Georgie | 2021
Alicja Rogalska
Dark Fibres
Vidéo expérimentale | 4k | couleur | 5:16 | Pologne, Georgie | 2021
A song about scavenging, economic exploitation and post-internet reality performed by a Georgian polyphonic choir and based on a story of Hayastan Shakarian - an elderly, illiterate woman from the village of Armazi near Mtskheta, who in 2011 allegedly cut the internet cable connecting Georgia and Armenia whilst looking for scrap metal to sell. The story became global news though Shakarian denied any involvement, famously saying she had never heard of the internet, and many people disputed its veracity. The lyrics were sung to the tune of Chakrulo, a medieval Georgian song about peasants preparing for armed rebellion against their feudal master. The song was sent into space in 1977 on Voyager 2.? Commissioned by Arts Territory for Myth exhibition, Artisterium Festival, Tbilisi (song), filmed at Fraunhofer Institute for Applied Optics and Precision Engineering IOF and supported by the DAAD Artists-in-Berlin program (video).?
Alicja Rogalska's practice is research-led and focuses on social structures and the political subtext of the everyday; she mostly works in specific contexts making situations, performances, videos and installations in collaboration with other people to collectively search for emancipatory ideas for the future. She recently presented her work at National Gallery of Art (Vilnius, 2023), Scherben, Berlin Art Prize (2022, winner), Manifesta 14 (Prishtina, 2022), Temporary Gallery (Cologne, 2021-22), Kunsthalle Bratislava (2021), Kunsthalle Wien (Vienna, 2020-21), OFF Biennale (Budapest, 2020-21), Art Encounters Biennale (Timis?oara, 2019), Tokyo Photographic Art Museum (2019), Biennale Warszawa (2019), Museum of Modern Art (Warsaw, 2019), Kyoto Art Centre (2019) and Muzeum Sztuki (?ódz?, 2019). Rogalska was a fellow of the DAAD Artists-in-Berlin program (2020-21), and took part in residencies at City of Women Festival (Ljubljana, 2019), Stuart Hall Library (London, 2019), Paradise AIR (Matsudo, 2018), Museums Quartier (Vienna, 2018) and IASPIS (Stockholm, 2017), amongst others.
Catalogue : 2018What If As If | Vidéo expérimentale | hdv | couleur | 13:31 | Pologne, Royaume-Uni | 2017
Alicja Rogalska
What If As If
Vidéo expérimentale | hdv | couleur | 13:31 | Pologne, Royaume-Uni | 2017
What if As If explores legal fictions in international immigration law in collaboration with refugees, asylum seekers and immigrants based in the UK who trained as lawyers in their countries of origin. The video was filmed in a former courtroom and greenscreen, a device for filmic fiction, is used throughout. Legal fictions are used in legal reasoning when something is believed or assumed to be true - they allow for the law to be applied, without changing its text. For example, a refusal to accept an inheritance is legally possible if the inheritor is declared dead and having died before the person who left the legacy; another example is corporate personhood - i.e. treating companies as if they were persons. Immigration law is full of such artificial constructions: legal fictions of sovereignty, political community, the concept of entry, as well as fictions in welfare and employment law, and finally - citizenship and its terms and conditions. The lawyers` expertise and legal imagination combined with their personal, embodied experience of being exposed to the inherent contradictions and absurdities of immigration law, influences the way they see law in society. Legal fictions are used in the video as a vehicle for questioning existing legal structures, a tool for creative lawmaking and exploring speculative legal frameworks as possible resistance.
Alicja Rogalska is a multidisciplinary artist based in London and Warsaw and working internationally. She graduated with an MFA in Fine Art from Goldsmiths College and an MA in Cultural Studies from the University of Warsaw. In 2017 she was an artist in residence at KulturKontakt in Vienna and IASPIS - Swedish Arts Grants Committee`s International Programme in Stockholm. She was also a recipient of 2016-17 Artsadmin Bursary in London. Exhibitions include: For Beyond That Horizon Lies Another Horizon, Edith-Russ-Haus für Medienkunst (Oldenburg, 2017), Gotong Royong. Things We Do Together, Centre for Contemporary Art Ujazdowski Castle (Warsaw, 2017), Dreams and Dramas. Law as Literature, nGbK (Berlin, 2017), Social Design for Social Living, National Gallery (Jakarta, 2016), All Men Become Sisters, Muzeum Sztuki (Åódź, 2016); No Need For References, Kunsthalle Exnergasse (Vienna, 2015); Critical Juncture, Kochi-Muziris Biennale (Kochi, 2014); A Museum of Immortality, Ashkal Alwan (Beirut, 2014), IMS Project, Flat Time House (London, 2013); Melancholy In Progress, Hong-Gah Museum (Taipei, 2012); Jour de Fête, The Private Space Gallery / LOOP Festival (Barcelona, 2011); To Look is to Labour, Laden Für Nichts (Leipzig, 2010) and No Soul For Sale, Tate Modern (London, 2010).
Graeme Roger, Kevin REID
Catalogue : 2006Critique of Styrofoam Villians at Chris' art Farm | 0 | dv | | 10:0 | Royaume-Uni, USA | 2004
Graeme Roger, Kevin REID
Critique of Styrofoam Villians at Chris' art Farm
0 | dv | | 10:0 | Royaume-Uni, USA | 2004
Critique de Stryofoam Villians à Chris?s Art Farm. Par Graeme Roger & Kevin Reid.Alors qu?ils ont des projets de résidence à Memphis et New York en 2004, ROGER & REID ont pris l?habitude d?ouvrir leur chemin dans le monde des libres à coup de canon à patate haute puissance. Dans cette ?uvre, ils détruisent des méchants crées par des étudiants de la Memphis School of Art.Ils s?entraînèrent davantage au tir sur cible au Musée d´art Moderne PS1 de New York, où le groupe de rock The Prairie Oysters, formé pour l?occasion, joua à la gloire de la panse de brebis farcie et de la gelée, accompagnés par le dieu du Rock ?Justice?
Graeme Roger & Kevin Reid ont étudié au Duncan of Jordanstone College of Art de Dundee, Ecosse, & ont travaillé en groupe depuis 2002. Ils ont exposé leurs ?uvres en Europe et aux Etats-Unis.
Sophie Roger
Catalogue : 2018Les vagues | Doc. expérimental | hdv | couleur | 18:0 | France | 2017
Sophie Roger
Les vagues
Doc. expérimental | hdv | couleur | 18:0 | France | 2017
On connait cet art du détour que Sophie Roger pratique pour nous mener par des chemins inattendus avec l’amitié comme fil, déplié avec Le point aveugle (fiD 2012) ou Les Jardiniers du petit Paris (fiD 2010). ici ce sera, tissée tout en délicatesse à l’écran, l’amitié avec Mohamed, réfugié soudanais au Havre. faite de partage, d’attention, d’écoute et de rire, et de vagues en vagues, celles du texte éponyme de Virginia Woolf qu’elle lui lit, à celle de Courbet au musée du Havre, qu’il animera de son regard. (NF)
Catalogue : 2016C'est donc un amoureux qui parle et qui dit : | Film expérimental | hdv | couleur | 6:15 | France | 2015
Sophie Roger
C'est donc un amoureux qui parle et qui dit :
Film expérimental | hdv | couleur | 6:15 | France | 2015
Pages arrachées du Fragment d`un discours amoureux de Roland Barthes dans un grenier de montagne. La réalisatrice regarde et dessine les paysages qu`elle voit au travers des planches ajourées. Un papillon la suit jusque dans la neige.
Depuis plusieurs années, le travail de Sophie Roger fait dialoguer dessin et vidéo, lectures et quotidien. Cinéma d`essayiste, elle travaille seule et prend le temps. Ses films arpentent ses territoires les plus intimes (maison, jardin) tout en gardant comme horizon une pensée de l`autre et de l`ailleurs.
Catalogue : 2013Le point aveugle | Doc. expérimental | hdv | couleur | 30:0 | France, Chili | 2012
Sophie Roger
Le point aveugle
Doc. expérimental | hdv | couleur | 30:0 | France, Chili | 2012
Synopsis Dans l`espace clos d`un jardin normand, on observe de très près un monde végétal et animal. Les gestes de la cinéaste-jardinière sont précis: elle plante et déplace les végétaux, égraine, protège. Elle soigne aussi régulièrement son oeil malade. Le territoire quotidien devient un jardin hanté : par un ailleurs (Le Chili) et un passé (la dictature) qui insistent, une atmosphère de catastrophe rodant autour, insinuant son inquiétude dans l`intime le plus apparemment protégé. Gestes de soin, aux plantes et à soi, pour panser des plaies qui restent mystérieuses, que l`on devine partagée avec l`autre, l`amie qui passe comme un fantôme, le temps d`un double portrait. On ne saura rien de l`origine du désir mais il sera présent dans les fleurs de courge et de gunnera, de rose et d`artichaut.
Note biographique rédigée Sophie Roger réalise depuis de nombreuses années une oeuvre libre et singulière, hors des feux de l`actualité et du commerce parisiens. Dessins ou films, son oeuvre s`ancre dans son territoire le plus familier, ce coin du Pays-de-Caux, au nord de son Havre natal, où elle vit et travaille à la campagne, non loin de la falaise. Depuis ce territoire intime, son travail ne cesse d`interroger l`ailleurs, la relation à l`autre, quel qu`il soit : amis, voisins, peuples lointains, habitants du passé, malades d`aujourd`hui. En 2010, son film Les Jardiniers du Petit Paris (en lisant Tristes tropiques, de Claude Lévi- Strauss) est une des révélations du Festival International du Documentaire de Marseille. De derrière sa fenêtre, Sophie filme ses voisins cultivant un potager collectif au fil des saisons, tout en lisant des passages de Tristes tropiques, quittant régulièrement son poste d`observation pour entrer dans le champ, rencontrer ses voisins, leur demander de poser pour de magnifiques portraits filmés. La rigueur et la simplicité du dispositif filmique produit la plus émouvante et universelle des pensées : qu`est-ce qu`un voisin ? Qu`est-ce que le proche, qu`est-ce que le lointain ? En 2011, Sophie Roger réalise le bouleversant Contre-Jour, dans le cadre d`une résidence dans un hôpital de sa région, avec des malades du sida. Là aussi, elle sait trouver le dispositif juste pour recueillir les récits de vie et instaurer un échange avec des patients qui acceptent de se confier tout en voulant rester anonymes. Le Point Aveugle prolonge ces deux films, en renouant plus précisément avec les questionnements des Jardiniers du Petit Paris. En resserrant le point de vue : il s`agit de son jardin, de ses plantes et de sa maison, filmés comme le lieu intime d`où une pensée du monde est possible. Ses films sont des essais, dans la haute tradition de Montaigne : Sophie se met à l`essai, essaie de se penser, elle face au monde, elle en rapport à l`autre, à l`opposé de toute forme de narcissisme ou de complaisance. Si elle se met en scène, c`est sur un mode burlesque ou inquiet, toujours à distance, avec rigueur et un grand sens de l`auto-dérision. Extrait d`une note de production écrite par Cyril Neyrat
Joyce Rohrmoser
Catalogue : 2011Surviving in China | Vidéo | dv | couleur | 19:0 | 0, Chine | 2007
Joyce Rohrmoser
Surviving in China
Vidéo | dv | couleur | 19:0 | 0, Chine | 2007
Surviving in China DVD 19 min, 2007 Ich lerne seit nunmehr 4 Jahren chinesisch. Seit gutem einem Jahr mache ich für eine italienische Firma Modefotos und Videos in China. In meiner Freizeit versuche ich das Leben dort zu meistern. Dafür habe ich eine Strategie entwickelt: Videominiaturen, in denen ich jeweils unterschiedliche Rollen übernehme. Es sind Situationen, die mir als Frau aus dem Westen fremd sind. Die Unterschiede zwischen meinem Tun als Darstellerin und Videomacherin, zwischen mir als Subjekt und Objekt, zwischen Bild und Abbild, werden beseitigt. Dieser Vorgang ist eine Anlehnung an die Praxis der Performance-Künstlerinnen der 70er Jahre. Ein Umstand, der mir hilft, meine Auseinandersetzung mit China kritisch und humorvoll zu hinterfragen.
JOYCE ROHRMOSER 1954 Geboren in Mailand, Italien AUSBILDUNG: 1972-74 Studium der Photographie im Istituto Europeo del Design, Mailand, und London College of Printing, London 1982 Doktorat in russischer Literatur und Kunstgeschichte Workshops bei Nan Goldin, Verena von Gagern, Dieter Appelt Lebt als freischaffende Foto- und Videokünstlerin in Salzburg 2006 Beginn der Auseinandersetzung mit der chinesischer Sprache und Kultur. Längere Aufenthalte in China.