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Stephen Andrews
The Quick and The Dead
Animation | dv | couleur | 1:0 | Canada | 2004
Une animation basée sur un clip vidéo de la guerre en Irak.
Stephen Andrews a exposé ses oeuvres au Canada, aux Etas-Unis, au Brésil, en Ecosse, en France et au Japon. Ses travaux s'attachent à la mémoire, à l'identité, à la surveillance et à leur représentation à travers des médias variés.
Stephen Andrews, John Greyson
On message
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:30 | Canada | 2006
An analog animation using the same set of drawings to tell four different versions of the same story. The emotional fallout of two witnesses to a police shooting, a musical about groovy gay boys making the scene, a cop show about the chase and arrest of a suspect and a news report about soldiers on leave in Iraq.
Stephen Andrews was born in 1956 in Sarnia, Ontario Canada. He has exhibited his work in Canada, the U.S., Brazil, Scotland, France and Japan. He is represented in the collections of the National Gallery of Canada, as well as many private collections. His work deals with memory, identity, surveillance and their representations in various media. John Greyson is a Toronto film/video artist whose shorts, features and installations include: Fig Trees (2003, Oakville Art Galleries); Proteus (Best Actor, Sithenghi 2003); The Law of Enclosures (2000, Best Actor Genie); Lilies (1996 - Best Film Genie, Best Film at festivals in Montreal, Johannesburg, Los Angeles, San Francisco); Un©ut (1997, Honourable Mention, Berlin Film Festival); Zero Patience (1993 - Best Canadian Film, Sudbury Film Festival); The Making of Monsters (1991 - Best Canadian Short, Toronto Film Festival, Best Short Film Teddy - Berlin Film Festival); and Urinal (1988 - Best Feature Teddy, Berlin Film Festival). He co-edited Queer Looks, a critical anthology on gay/lesbian film & video (Routledge, 1993), is the author of Urinal and Other Stories (Power Plant/Art Metropole, 1993), and has published essays and artists pieces in Alphabet City, Public, FUSE, and twelve critical anthologies. An assistant professor in film production at York University, he was awarded the Toronto Arts Award for Film/Video, 2000, and the Bell Canada Video Art Award in 2007.
Claire Angelini
Es geht eine dunkle Wolk'herein
Doc. expérimental | dv | couleur et n&b | 20:0 | France, Allemagne | 2005
Au cours d?une promenade dans trois lieux en Bavière (tout d?abord un parc idyllique sur les hauteurs de Munich, la colline du parc olympique, puis un ensemble résidentiel au bord du lac de Starnberg à Feldafing, et enfin la forêt de Mühldorf, (un village à la frontière autrichienne) chargés du passé de la Seconde guerre mondiale, des fragments tangibles d?histoire reviennent hanter les images d'aujourd'hui sous forme de documents d?archives. L?interprétation des plans très lents qui laissent advenir la concrétude, la respiration et la lumière changeante des espaces naturels est laissée à l?imagination du public. Le film part du constat selon lequel nos espaces de vie et paysages quotidiens portent les traces ineffaçables de l?histoire.Mais l`histoire doit être entendue ici comme un sous-ensemble de la géologie comme témoin de la place et du destin de l`homme dans le monde.
Née à Nice (France) Vit et travaille à Munich, Paris, Genève. Diplômée en arts plastiques (Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris), et en histoire de l`art (Sorbonne, Paris). A obtenu différentes bourses et résidences d`artistes depuis 1998. Entre autres Aide à la production, OFAG 2006, Aide au développement, CNC 2005, Aide à l`Ecriture, CNC, 2004, Bourse du FIACRE, 2001, Aide à la réalisation, Affaires culturelles de la ville de Munich, 2001, Bourse Akademie Schloss Solitude 1999-2000, Résidence d`artiste Villa Concordia 1998, Bourse Jeune Création/OFAG 1998. Expositions récentes (Sélection) : novembre 2006, artiste invitée, Encuentros internationales de Videoarte y Fotografia, Gigòn, Espagne, octobre 2006, artiste invitée Instants Video Marseille, Programme Oasis, mars 2006, artiste invitée, Institut national d`Histoire de l`Art, Paris, février 2006, artiste invitée, Videotheka, Kunsthalle Vienne, mai 2005, Färthensuche, Spiegel/Lothringer 13, Munich, septembre 2004, Hier liegt die Grenze des pädagogischen Bemühens, Orstermine 2004, Munich, août 2004, Remix, Spiegel/Lothringer 13, avril 2004, Intervalles, galerie Martine et Thibault de la Châtre, Paris, avril 2003, Réciprocités, Goethe-Institut, Rome.
Claire Angelini
Jeune, révolution! 2007-2012
Doc. expérimental | hdv | couleur | 13:12 | France, Allemagne | 2012
(Brise la mer ! / Jeune, révolution !) : deux courts films prennent le spectateur en étau, et à travers eux, deux paroles sur l?histoire : celle de Narriman B., qui s?interroge sur les raisons de la guerre d?Algérie à l?occasion de la commémoration de l?Indépendance (1962). Et celle d?Ikbel Z., confronté au délitement de la Révolution de jasmin et au désenchantement de la jeunesse tunisienne. Quand aux cuves de pétrole du port de Béjaia, (Algérie), répondent les toupies d?abord fougueuses, puis de plus en plus lentes, d?une table de café tunisienne, de quel tour sur soi-même la révolution, dans l?un et l?autre de ces deux pays, a-t-elle été porteuse ?
Claire Angelini, artiste et cinéaste (ensba Paris / Sorbonne / HFF Munich), interroge le rapport de l?art à l?histoire comme inscription du politique, sous les espèces de la trace, la ruine, la réminiscence et de la survivance des images. Le cinéma comme outil critique sensible et comme dispositif visuel et sonore, lui permet de questionner l?histoire qui hante notre espace commun aujourd?hui et ce faisant, d?en interroger la représentation. Diffusions récentes : MAC-Santiago du Chili 2012 / galerie Fucares Madrid 2012 / Instants video Marseille 2012 / Underdox 07 Munich 2012 / Cinemateca brasileira Sao Paolo 2012 / Etats généraux du film documentaire Lussas 2011 / Cinéma du Réel Paris 2011 / Institut franco-japonais Tokyo 2010 / Viennale 2009
Claire Angelini
La mémoire n'est pas un jeu d'enfant
Documentaire | dv | couleur | 52:50 | France, Allemagne | 2009
1 femme / 3 pays / 3 guerres Ce film ? qui s?attache à la figure d?une femme revenant sur les lieux de son enfance entre France, Tunisie et Algérie ? convoque, par le dispositif qu?il met en place, les catégories croisées de la mémoire individuelle et de l?histoire dans un espace lui-même sédimenté par les couches du passé et du présent. Film sur les paysages perdus de notre enfance construit comme un voyage, "La mémoire n?est pas un jeu d?enfant" est une réflexion sur la façon dont nous sommes traversés par l`histoire dans les lieux où nous grandissons. Un "arpentage" qui met en perspective la question de la mémoire avec le territoire et la conscience de l?adulte, qui est réminiscence et parole confrontées à l?image et au son des paysages. Une réflexion politique au sens profond du terme.
L?hypothèse que déploie Claire Angelini dans sa pratique, est que l?histoire est une trace physique et une projection mentale. Ces traces perdurent dans le présent des lieux (défigurés, transformés ou identiques), dans les corps (qui se souviennent ou qui oublient), et sous la forme d?archives. Ces traces cependant sont activement constitutives de notre espace collectif aujourd?hui. Travaillant différents médias ( installation, film, photographie), Claire Angelini, qui manipule des surfaces tactiles ou projetées, s?attache à ce que la surface du réel cache ou conserve de ce qui affleure, émerge, s`enfouit, a été enfoui mais subsiste, et s?intéresse par là à la notion de recouvrement et à la dimension géologique de l?histoire. Diplômée de l?Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, Claire Angelini, qui est titulaire d?une maîtrise d?Histoire de l?art, a aussi fréquenté la section documentaire de l?H.F.F. (Hochschule für Film und Fersehen) de Munich. Claire Angelini vit et travaille actuellement à Munich et à Paris. Dernières projections: International Film Festival Underdox 04, Munich 2009 et Viennale 2009
Claire Angelini
MARCHE / ARAGON
Doc. expérimental | dv | couleur | 23:7 | France, Allemagne | 2010
Marche / Aragon montre comment la guerre a traversé et influencé deux villages du sud de l?Europe, l?un en Italie méridionale, dans les Marches, l?autre en Espagne, dans la province de Huesca. Ortezzano a vécu la montée du fascisme dans les années 30. Belver au contraire, a tenté une expérience unique et singulière d?anarchisme au moment de la République espagnole. Formellement tout oppose les Marches à l?Aragon : d?un côté se développe un film sans paroles au fil d?un album communal, seul dépositaire d?une mémoire inavouable. De l?autre, un récit se déploie, au fil d?un témoignage incarné par la voix d?un survivant de la guerre d?Espagne. La musique aussi, devient, au cours du film un protagoniste essentiel de Marche /Aragon, chargée qu?elle est de sa propre mémoire politique.
Diplômée de l?Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, où elle a étudié la photographie et le montage sonore, Claire Angelini, titulaire d?une maîtrise d?Histoire de l?art, a fréquenté la section documentaire de l?HFF (Hochschule für Film und Fersehen) de Munich. Sa production inclut l?installation, le film, la vidéo, la photographie, le son et le dessin. Claire Angelini vit et travaille à Munich et à Paris. Ses films les plus récents, ont été présentés à l?Institut franco-japonais de Tokyo, à la Bobine de Grenoble, à la Viennale 2009, à la Maison des Arts d?Amiens, à la 12e BIM de Genève, aux Instants vidéo à Marseille, au festival Underdox de Munich, à la Kunsthalle de Vienne, au Festival internacional de videoarte de Gijon, à la Nuit Blanche 2008, ainsi que dans différents cinémas en France et en Allemagne, et, dans le cadre des Rencontres Internationales Paris-Berlin-Madrid, au Centre Georges Pompidou, au Musée du Jeu de Paume, à la Haus der Kulturen der Welt, ainsi qu?au Museo Reina Sofia de Madrid.
Claire Angelini
SHE/SEE
Documentaire | dv | couleur | 20:0 | France, Allemagne | 2007
Ce film, fait travailler les éléments d?une improbable rencontre, celle d?une « boat-people » qui a fui son pays, le Vietnam, pour aboutir en Allemagne et du lac de Starnberg nimbé du souvenir mythifié de Sissi et de Louis II de Bavière. Autour du corps présent-absent de la réfugiée ?celui aussi d?un souvenir qui se délite ? se déploie une narration fragmentaire et stratifiée. Quelle image peut saisir en effet la caméra aujourd?hui de cet itinéraire de peur inscrit à même le corps, déplacé dans le tracé paisible d?une excursion touristique « sans histoire » ? Qui parle, et de quoi dans ce jeu complexe des questions-réponses à trois voire quatre voix, et en trois langues (français, allemand, vietnamien) ? De l?impossible palimpseste, émergent des fragments d?histoire : celle de cette femme, celle de son pays déchiré, celle de son voyage en mer, et au-delà celle de la condition de réfugié dans le monde actuel. La disposition des voix, et les incertitudes de la traduction ouvrent sur un vide, délinéant le manque de l?exilée, l?indécision quant à l?identité de celle qui parle, indécision identitaire, devenue sa blessure invisible.
Bio-Filmographie Diplômée de l?Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, où elle a étudié la photographie et le montage sonore, Claire Angelini, qui est titulaire d?une maîtrise d?Histoire de l?art, a aussi fréquenté la section documentaire de l?H.F.F. (Hochschule für Film und Fersehen) de Munich. Circulant entre les langues et les villes européennes, elle s?intéresse plus particulièrement dans son travail aux rapports entre l?art et l?histoire, dans le cadre d?une production multimédia incluant aussi bien l?installation que le film ou la video, la photographie, le son, ou encore le dessin. Claire Angelini vit et travaille actuellement à Munich et à Paris. Films 1996 La minorité, Hi8 transféré sur VHS, 2 minutes 30. (Editions video Artos/ Athènes) 2002 Réciprocités, mini dv, 3 x 60 minutes. (Zweite Architekturwoche, München, Instants video, Martigue, 2004) 2004 Un trou dans le gant, mini dv, 32 minutes. (Kunsthalle Vienne 2006, Université du Québec à Montréal 2006, festival internacional de video arte y fotografia, Gigon, Espagne, 2006, Instants video, Friche de la Belle de Mai, Marseille, 2006.) Ici s?atteint la limite de l?effort pédagogique, mini dv, 22 minutes. (Instants video, Friche de la Belle de Mai, Marseille, 2006.) Lullaby, mini dv, 6 minutes. (Spiegel/ Lothringer 13, München, 2004) 2005 Es geht eine dunkle Wolk herein, mini dv, 20 minutes. (Kunsthalle Vienne 2006, Rencontres internationales Paris-Berlin, Musée du Jeu de Paume, Paris, 2006, Rencontres internationales Paris-Berlin-Madrid, Circulo de Bellas Artes, Madrid, 2007, Rencontres internationales Paris-Berlin, Kino Babylon, Berlin 2007) 2007 Loci soli/Soliloques, mini dv, 21 minutes. (Programmation annuelle des Instants video, marseille 2007- 2008) SHE/SEE, mini dv, 22 minutes. ( Biennale de l?Image, Saint-Gervais, Genève, 2007) En cours : La mémoire n?est pas un jeu d?enfant ( production Atopic/Christophe Gougeon/Aide à l?écriture et au développement, CNC) et Et tu es dehors, installations multimédia (production Finavril/Emmanuel Deswartes).
Dominic Angerame
Anaconda target
Vidéo expérimentale | dv | noir et blanc | 8:0 | USA | 2005
Nous n?avons pas le temps d?être effrayé, tout arrive en quelques secondes. ??Le regard s?allume devant in pare-brise, tout est prêt pour que l?ordinateur fasse son travail : ??C?est l?ordinateur qui ajoute la dernière touche?? Paul Virilo Le 4 mars 2002, à peu près2000 troupes de la coalition dirigées par les Etats-Unis étaient engagées en combat rapproché avec des petites poches de supposés combattants Al Qaeda et Talibans dans le Nord de l?Afghanistan, dans une opération nommée Anaconda? La pellicule de cette ?uvre vient d?éléments de cette mission. ?? Autre qu?un carton et qu?une citation du théoricien des médias Paul Virilo annexés au début, la dernière vidéo de Angerame est un objet complètement trouvé : une pellicule militaire d?une opération offensive sur une mosquée en Afghanistan. Pour moi, il s?agit d?un cliché qui permet de mettre à l?affiche les quelques instants qui se passent, je ne peux pas dire que je pensais honnêtement regarder une vidéo surveillance militaire ou un jeu vidéo, mais la pertinence inéluctable du cliché semble être l'un des points principaux d?Angerame. Après CNN, Baudrillard et, en fait, Virilo, nous avons toujours le même problème ? des soldats de la X box de dix-huit et dix-neuf ans allant exécuter nos ordres. Certains spectateurs avec qui j?ai discuté avaient gardé en travers de la gorge la présentation crue d?Angerame de la pellicule, la ressentant comme s?il n?y avait pas assez d?art. Mais ce point de vue oublie le contexte, l?acte rebelle de tirer et horrible pellicule dans le domaine raffiné de l?esthétique de la projection des films expérimentaux. (En tant qu?Américains, les dollars de nos taxes sont utilisés par millions dans la production de tel films.hard). À la fin, rien d?autre dans le programme de visionnage ne m?a balancé si loin de mon état d?esprit contemplatif, assis et regardant le prochain film, en opposition, conduire tous les spectateurs dehors pour quelque manque de civisme, me semblait vaguement obscène. Et encore? Et encore? nous savons que ce n?est jamais aussi simple, n?est-ce pas ? Michale Sicinski Expositions Toronto International Film Festival, 2004 Onion City Film Festival, Chicago, 2004 New York Film Festival, Lincoln Center, 2004 Viennale, Vienne 2004 Pacific Film Archives, Berkeley, Californie 2004 Hong Kong International Film Festival, 2005 Director?s Choice, Black Maria Film Festival, 2005 Australian Center for Moving Image, Canberra, Australie, 2005 Rotterdam Film Festival, 2005 Nashville Film Festival, 2005 Tiburon Film Festival, 2005 San Francisco Cinematheque, 2005 Big Muddy Film Festival, 2005, First Place European Media Arts Festival, Osnabruck, Allemagne, 2005 Black and White Festival, Porto, Portugal Athens International Film Festival, Athens Ohio Fear No Film Festival, Salt Lake City, 2005 Empire Film Festival, 2005 Cracow Film Festival, 2005 DMZ_2005 Exhibition, Korea, 2005 Splitz Film Festival, Croatia, 2005 Torino International Film Festival, 2005 Sarajevo Film Festival, 2005 Montreal International Film Festival, 2005 Seoul Net&Film Festival, 2005 VII Festival Iberoamericano De Cine De Santa Cruz, Bolivie
??Voir la ville par les yeux de Dominic Agerame est comme regarder une bête organique de béton qui sasse et respire en riches tonalités de blancs et de noir.?? Sike Tudor, SF Weekly. Depuis 1969, Dominic Angerame a fait plus de 35 films qui ont été montrés et qui ont remporté des récompenses dans des festivals de films partout dans le monde. Il fut aussi honoré de deux Cine Probe Series au Museum of Modern Art de New York (MOMA) en 1993 et juin 1998. Sa dernière ?uvre, Targer (2004) est exposée au Toronto International Film Festival, au Onion City Film Festival, à Chicago, au New York film festival et à la Viennale de Vienne et sera projeté au Hong Kong International Film Festival, au Rotterdam Film Festival, au Nashville Film Festival et bien d?autres encore. Sa série de films Battle Stations - A Navel Adventure (2002), Pixiescope (2003), The Waifen Maiden (2003), et Consume (2003) son sur le chemin de la projection dans des festivals internationaux dont Toronto Film Festival, Madrid, Les Rencontres Internationales Paris/Berlin et bien d?autres informations à les propos sont disponible sur demande. Ils ont aussi été projetés à la Cinémathèque de San Francisco, au Yerba Buena Center en le 11 décembre 2004. Angerame enseigne la réalisation de film et cinématographique ainsi que la critique au San Francisco Art Institue en tant qu?artiste invité. Il enseigne aussi la production de film et le cinéma à l?Université de Californie Berkeley, Extension, au New College of California et fut maître de conférence invité et artiste invité à l?Université de Stanford, la School of the Art Institute of Chicago, la Graduate School of Theology de Berkeley parmi d?autres. Dominic Angerame fut aussi directeur exécutif au Canyon Cinema pour les vingt dernières années. Sous sa direction, le Canyon Cinema est devenu le distributeur le plus renommé dans le monde de l?avant-garde et du film expérimental. La contribution du Canyon Cinema dans le domaine de la réalisation d?avant garde et expérimentale est historique et héroïque. Quant aux projets de réalisation, Angerame fut récompensé par des prix de production de la part du Illinois Art Council, Sammuel B Mayer Foundtion, trois autres du National Endowment for the Art Western Regional Fellowship, The film Art Foundation. Au printemps 1999, M. Agerame a dirigé une série nommée Shake The Nation et a tracé le développement de la réalisation de film d?avant garde à San Francisco de 1939 à nos jours. M. Angerame fut nominé pour une bourse de la fondation John D. Rockfeller en 2000. Le film de Dominic ??In The Course of Human Events? ? (1997) s?inscrivit dans un groupe d?expositions tenues à la Fondation Cartier de Paris in novembre 2002 jusqu?en mars 2003 nommée ??Ce Qui Arrive? ? et dirigée par le susmentionné urbaniste Paul Virilo.
Dominic Angerame
Revelations
Film expérimental | 16mm | noir et blanc | 23:0 | USA | 2020
"He began to recognize that motion pix could be used as a medium to reveal the supernatural and underworld. He found the calling for which he had been born. He found that film could summon up the un-born imagination...he had a glimpse of how to emerge as the artist he always felt was within him" - Stan Brakhage Revelations is a continuation of what I call my "City Symphony" series. This works includes footage that was shot from the late 90s to the present. My filmmaking is inspired by filmmakers such as Dziga Vertov, Joris Ivens, Walter Ruttman and Robert Fulton.
Dominic Angerame's works search for unfamiliar views of seemingly familiar things: cities, landscapes, faces, and bodies. The filmmaker's desire to make everyday images "strange" at the editing table, to learn to see them fresh and to estrange them from our senses, makes his films seem-in all the different social realities they contain-always distanced as well, as if they led to another world beyond the concrete, beyond time and defined space. In Angerame's films, which pay homage to films from early cinema and the classic avant garde to American underground films of the 1960s and 70s and non-narrative films of the present day, an amazingly comprehensive history of the "visionary" moving image is always present. It may be that precisely his refusal to adopt a signature style has diminished the immediate influence of Angerame's films; however, Angerame's decision to work "universally," not to be swayed by considerations of the art market, and to experiment with very different styles increases the pedagogical worth of his films. It's not surprising to learn that Angerame, born in 1949, teaches at several American schools in addition to having served as the executive director of the American avant garde distribution center Canyon Cinema from 1980 to 2012. His films testify to an encyclopedic knowledge of film-and also his desire to satisfy, with his own audio-visual offerings, the very different desires of his audience.
Dominic Angerame
Aeon
Vidéo | 16mm | noir et blanc | 12:0 | USA | 2024
"Thank you for sending your very great film, Aeon -- it's really a great work, truly transporting, and a vision I can wish and hope that many will see, and hopefully to feel this truth of both our small place within as well as our ultimate connectedness with the vastness of being and space -- 'our connection to the stars' as Stan would have said." -- Marilyn Brakhage "In Aeon, Dominic Angerame draws parallels between the earthly and the heavenly, linking the San Francisco cityscape and city dwellers to outer space. Filmed during the Covid-19 lockdown, Aeon celebrates Angerame#s reunion with friends and responds to the new ways of interacting with the world on different levels. Using a meta-narrative and self-referential approach to storytelling, Angerame brings the (holy) spirit to life, filling the spaces he captures with energy, which is otherwise unattainable and invisible the naked eye, but significantly transforms our lives. Aeon is one of Angerame's major and most mature works to date, which demonstrates the potential of experimental filmmaking in superimposing images that are seemingly disparate, yet uncannily familiar." -- Kornelia Boczkowska, author of Lost Highways, Embodied Travels: The Road Movie in American Experimental Film and Video, https://orcid.org/0000-0003-0875-9209
Dominic Angerame's works search for unfamiliar views of seemingly familiar things: cities, landscapes, faces, and bodies. The filmmaker's desire to make everyday images "strange" at the editing table, to learn to see them fresh and to estrange them from our senses, makes his films seem-in all the different social realities they contain-always distanced as well, as if they led to another world beyond the concrete, beyond time and defined space. In Angerame's films, which pay homage to films from early cinema and the classic avant garde to American underground films of the 1960s and 70s and non-narrative films of the present day, an amazingly comprehensive history of the "visionary" moving image is always present. It may be that precisely his refusal to adopt a signature style has diminished the immediate influence of Angerame's films; however, Angerame's decision to work "universally," not to be swayed by considerations of the art market, and to experiment with very different styles increases the pedagogical worth of his films. It's not surprising to learn that Angerame, born in 1949, teaches at several American schools in addition to having served as the executive director of the American avant garde distribution center Canyon Cinema from 1980 to 2012. His films testify to an encyclopedic knowledge of film-and also his desire to satisfy, with his own audio-visual offerings, the very different desires of his audience.
Paulius Anicas
Charming Habits
Fiction expérimentale | 4k | couleur | 20:20 | Lituanie | 2022
Poet at work: daydreams, nightmares and writings.
Paulius Ani?as, born in Vilnius, Lithuania. Graduated contemporary sculpture BA in Vilnius Academy of Arts.
Alex Anikina
Ostrannenie
Film expérimental | hdv | couleur | 8:13 | Russie, Royaume-Uni | 2015
Ostrannenie is a video-exploration of a territory and of the language belonging to it. It traces a history of imaginary lands from the times when the Earth rested on elephants’ backs to the current moment of Google Maps and glossy stock footage. The map of the world in the video becomes a field where the history of geographical discoveries is intertwined with the histories of the human imagination, with the camera’s eye and the gaps in language.
Alex Anikina is an artist-researcher who currently lives and works in London, working primarily with texts, language-based works, experimental films and objects. Her artistic and academic practices both revolve around the exploration of human relationship with technology and knowledge through experimental film. Her works are held in the collection of National Centre for Contemporary Arts, Moscow. Participated in VI Moscow Biennale of Contemporary Art and IV Moscow International Biennale for Young Art. Presented a paper and a video installation at DRHA 2014 at Greenwich University. Received Best Experimental Short award at the London Independent Film Festival (2014). Screenings include Open Eyes Filmfest Marburg, VideoJam at Salford, MAGIKALCHARM Experimental Video Festival (2014 and 2015) at Anthology Film Archives, New York, Athens International Film and Video Festival, FLEXfest, 10th Cologne International Videoart Festival, AOF International Film Festival, Berlin DLX festival.
Anonyme Anonyme
Fragments d'une révolution
Documentaire | dv | couleur | 55:0 | France | 2010
Iran, 12 juin 2009. Dénonçant une « fraude massive » aux élections présidentielles, des centaines de milliers d?Iraniens descendent dans la rue pour exprimer leur mécontentement. Alors que les journalistes locaux ont été muselés et les journalistes étrangers expulsés du pays, ces affrontements violents ont été visibles dans le monde entier grâce aux images amateurs filmées par des manifestants anonymes.
Misho Antadze, -
Metabolism
Doc. expérimental | 4k | couleur | 12:0 | Georgie, Pays-Bas | 2023
Robots work on a dairy farm. They milk the cows, clean their dung, and massage them. Meanwhile, human beings are absent. In a restaurant, robot waiters bus food back-and-forth, ignored completely by their human colleagues. An engineer revives an old robotic arm for his children. With a curious, observational gaze, Metabolism looks at technology, animals, and labor.
Misho Antadze is a filmmaker and artistic researcher from Tbilisi, Georgia, born in 1993 He holds a BFA in Film/Video from CalArts and an MA in Artistic Research through Cinema from the Netherlands Film Academy. As a practitioner and researcher, his interests include the meeting and departure points of cinema and history, as well as animal and non-human perspectives. His works have screened at International Film Festival Rotterdam, Ann Arbor Film Festival, DocLisboa and Full Frame Film Festival, amongst many others. The Harvest was awarded at Jeonju International Film Festival and at Palic European Film Festival and was screened online on e-Flux.
Ziad Antar
Safe sound
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 9:0 | Liban, France | 2006
Safe Sound de Ziad Antar, RT: 8 mins. Comme le siége continua et l'assaut ne s'arrêta pas, la routine quotidienne se suspend et le temps reste immobile. Quand quelqu'un n'est pas immédiatement exposé au danger, survivre devient une question de gérer la captivité ressentie et de faire passer le temps.
Filmmaker?s Biography: Ziad Antar lives and works between Lebanon and France. He graduated with a degree in agricultural engineering in 2001, and has been working in photography and video since 2002. His videos include Safe Sound (2006), Marche Turque (2007) and Mdardara (2007). He directed his first documentary Jean-Luc Moulène in 2002.
Ziad Antar
WA
Vidéo expérimentale | dv | couleur | 2:30 | Liban, France | 2004
Deux enfants jouent du synthétiseur et créent leur propre chanson.
Né à Saida, Liban en 1978. Vit à Paris. Travaille dans les domaines de la vidéo et de la photographie depuis 2002. diplôme comme ingénieur en agriculture en 2001 à Beirut. Il expose une année au Palais de Tokyo en 2003, Le Pavillon.
Emmanuelle Antille
A Place We Call Home
Fiction expérimentale | dv | couleur | 8:0 | Suisse | 2006
A Place We Call Home nous entraîne au c?ur des relations intenses et particulières qui unissent deux personnages féminins. Le décor qui les entoure, à la fois urbain et sauvage, physiquement mangé par la végétation, absorbe et réfléchit leurs rituels.
Emmanuelle Antille est née en 1972 à Lausanne où elle demeure et travaille. Elle étudie à l'Ecole supérieure d'art visuel de Genève de 1991 à 1996, puis, de 1997 à 1998, à la Rijksacademie à Amsterdam. Elle use d'un langage parfois minimal parfois emphatique. Elle ausculte le dedans et le dehors et se voit de l'intérieur et de l'extérieur. Cette discipline de l'analyse systématique permet à tout un chacun de faire l'épreuve à son tour de son soi. Ses ?uvres ont été exposées notamment lors de festivals de vidéo comme ceux de Zurich, New York, Le Caire, Vilnius, Salamanque. En 2005 elle présentait « Rollow » au festival de Locarno et obtenait le prix Jeune créateur de la fondation vaudoise pour la promotion et la création artistique.
Emmanuelle Antille, -
Barricata
Fiction expérimentale | dv | couleur | 19:52 | Suisse | 2007
Barricata est une vidéo en trois actes se jouant autour de quatre personnages féminins : la grand-mère, ses deux filles et sa petite fille. Axée sur le thème de l?abandon (de soi, des autres, de ses biens, de son corps ou de sa mémoire), cette vidéo présente les relations intimes entre les membres d?une même famille. Dans le premier acte, les quatre femmes, cloîtrées dans la cuisine, attendent et guettent l?arrivée de deux inconnus. Ceux-ci pénètrent dans la maison, l?inspectent, barricadent la pièce principale, puis repartent aussi soudainement qu?ils sont apparus. Dans le deuxième acte, les quatre femmes sortent de leur isolement et reprennent possession des lieux. Elles effectuent de petits rituels intimes et obsessionnels, ensemble ou séparément. Ces rituels leur permettent d?établir une tension avec leur environnement, de reprendre le contrôle ou de lâcher prise. Ainsi, ces femmes rejouent et réinventent les relations qui les unissent, jusqu?à l?hallucination parfois. Dans le troisième acte, les deux inconnus reviennent. Les femmes sont alors prêtes à les rencontrer, prêtes à leur livrer une part de leur histoire. Ils se retrouvent alors tous ensemble dans le salon barricadé.
Emmanuelle Antille Née à Lausanne en 1972. Vit et travaille à Lausanne. 1997-1998 Rijksakademie van Beeldende Kunsten, Amsterdam 1991-1996 Ecole Supérieure d`Art Visuel, Genève Expositions personnelles (sélection) : 2008 Family Viewing, Centre PasquArt, Bienne Editing Room / Editing Territories, Art Unlimited, Bâle 2007 Barricata, Salle Noire, Musée d?Art Moderne de la Ville de Paris/ARC, Paris Inner Streams, COMA, Berlin Skull Shaker, Galleria Roberto Giustini, Rome 2006 Le Journal de Jack, Galerie Eva Presenhuber, Zürich Angels Camp, Simon Fraser University Gallery, Vancouver. Kill me twice, dear friend, dear enemy, Nichido Contemporary Art, Tokyo Tornadoes of my Heart, Tokyo Wonder Site, Tokyo Cures & Comas, Marc Hostettler, Neuchâtel 2005 Kill me twice, dear friend, dear enemy, Art Unlimited, Bâle Centre pour l?image contemporaine Saint Gervais, Genève 2004 Angels and Landscapes, Galerie Akinci, Amsterdam Angels Camp ? First Songs, CCA, Glasgow Angels Camp ? Radiant Spirits, Sammlung Goetz, Münich Angels Camp ? First Songs, Site Gallery, Sheffield Night For Day, Centro Atlantico de Arte Modernao, Las Palmas Gran Canaria 2003 Angels Camp, The Renaissance Society, Chicago NB, Kunsthaus Baselland, Muttenz Angels Camp, Pavillon Suisse, 50ème Biennale de Venise, Venise Expositions collectives (sélection) : 2008 Shifting Identities, Kunsthaus Zürich Identity, Nichido Contemporary Art, Tokyo You Are My Mirror 1: L?Infamille, Frac Lorraine, Metz about: safety scaffold, :emyt, Berlin SUPERNATURAL, Kunsthalle Andratx, Mallorca Accrochage, Musée des Beaux-Arts, Lausanne La Durée, National Islandic Gallery, Reykjavik 2007 Global Feminisms, Brooklyn Art Museum, New York Dark Mirror, Montevideo Time Based Arts, Amsterdam Global Feminisms, Davis Art Museum / Wellesley, Wellesley Art en Plein Air Môtiers 2007, Môtiers Love Addiction, Galleria Comunale d?Arte Contemporanea di Monfalcone, Monfalcone Video Salon, Galerija 10 m2, Sarajevo Dadada, Hammam de Mostar, Sarajevo Videoskulptur 07, Baden Surréalités, Centre PasquArt Kunsthaus, Bienne Outre-Tombe, Galerie 1m3, Lausanne Monumenta, projection d?Angels Camp, Grand-Palais, Paris Résidents, Espace Electra, Paris Jubliee Exhibition, House Eva Presenhuber, Vnà Triennale de l?imprimé contemporain, Musée des Beaux-Arts, Le Locle 2006 Nouvelles Collections, Centre PasquArt, Bienne Frictions, Espace des arts plastiques, Saint-Dié-des-Vosges Visioni del Paradiso, Institut Suisse de Rome, Rome 1ère Biennale du Havre, Le Havre Eldorado, MUDAM, Luxembourg WoMA. Women Making Art, André Schlechtriem Temporary Inc., New York 2005 Fast Forward, Media Art, Goetz Collection, Conde Duque, Madrid Madonna ? Express yourself, Kunsthaus Dresden Swiss Made (The Art of Falling Apart), Cobra Museum, Amstelveen Refleksija, Nizhnij Novgorod, National Center for Contemporary Arts, Moscou The Parable Show, Grimm/Rosenfeld gallery, Münich Croiser des mondes, Musée du Jeu de Paume, Paris Goetz meets Flackenberg, Phoenix Art, Hamburg T 142, Gallery Deweer, Ottegem At The Launderette, Lausanne Desire, Para/Site Art Space, Hong Kong Frictions, Fonds régional d?art contemporain de Lorraine, Metz Alias & Alibi, Fries Museum, Leeuwarden Festivals vidéos (sélection) / Projections : 2008 PointLignePlan 10 ans, Centre Pompidou, Paris La Blanchisserie, Paris Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid, Musée National Reina Sofia, Madrid 2007 KunstFilm Biennale, Köln/Bonn Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid, Berlin 2006 Festival du Film de Trieste, Trieste Festival du Film de Locarno, Locarno Swiss Video, Tate Modern, Londres 2005 Compétition video, Festival du Film de Locarno Prix : 2005 Prix en Arts Visuels de la Fondation Vaudoise pour la Culture 2003 Résidence de la Mairie de Paris au Couvent des Récollets, Paris 2001 Prix Fédéral des Beaux-Arts Prix Kiefer-Hablitzel Atelier Suisse à Berlin 2000 Prix Fédéral des Beaux-Arts Prix Kiefer-Hablitzel 1999 ConcoursFédéral des Beaux-Arts Review + film contest, Migros Culture 1996 Fonds Cantonal de Décoration et d`Art Visuel de Genève
Emmanuelle Antille
Even if we fall
Fiction | dv | couleur | 9:21 | Suisse | 2007
"Even if we fall" aborde la question des relations au sein d'une famille et des rôles joués par chacun de ses membres. Dans une maison silencieuse, un père, une mère et leur fille sont assis dans le salon, immobiles et silencieux. La mère prend soudainement sa fille par la main, et ils quittent tous les trois la pièce pour aller s'isoler dans la chambre des parents. Ils vont y exécuter un rituel unique : la fille a décidé d'offrir ses cheveux à sa mère. Le film montre la relation forte qui unit la fille à ses deux parents, et le lien très particulier qui existe entre les parents et pose une nouvelle fois la question de l'amour et du sacrifice au sein de la cellule familiale .
Emmanuelle Antille est née en 1972 à Lausanne. Elle a étudié à l?Ecole Supérieure d?art visuel de Genève, et à la Rijksakademie à Amsterdam. Ses oeuvres ont notamment été présentées à Attitudes, Genève ; au Fridericianum Museum, Kassel ; au centre d?art contemporain de Vilnius (Lituanie) ; à Imago 02, Salamanque ; à la Renaissance Society, Chicago ; au Pavillon Suisse de la 50ème Biennale de Venise ; au CCA de Glasgow ; au Centro Atlantico de Arte Modernao, Las Palmas Gran Canaria ; au Centre pour l'image contemporaine Saint Gervais, Genève ; au Nichido Contemporary Art, Tokyo ; au Musée d'art moderne de la Ville de Paris/ARC ; au Musée de la Photographie de Winterthur ; au Centre Culturel Suisse de Paris ; au FRAC, Nord-Pas de Calais, France ; au Stedelijk Museum S.M.A.K.à Gand ; au musée d?art contemporain de Zürich ; à la Fondazione Adriano Olivetti, Rome ; au Musée Reina Sofia (MNCARS), Madrid ; au ZKM, Karlsruhe ; à la Biennale de Busan (Corée du sud) ; au Musée cantonal des Beaux-Arts, Lausanne ; au centre national d?art contemporain de Moscou ; au Musée du Jeu de Paume, Paris ; au MUDAM, Luxembourg ; aux Rencontres Internationales Paris-Berlin-Madrid ; au Circulo de Bellas Artes, Madrid ; à la Tate Modern, Londres ; et au Grand-Palais, Paris. Ses vidéos ont été projetées lors de festivals, comme le Viper, Bâle, Lucerne ; la 8e Biennale de L'Image en Mouvement, Saint-Gervais, Genève; l'Impakt Festival, Utrecht ; le festival du film de Locarno et le festival du film de Trieste,.
Emmanuelle Antille
Strings of Affection
Vidéo | dv | couleur | 9:41 | Suisse | 2009
"Strings of Affection" montre la relation particulière d?une femme à son espace domestique. Munie d?une pelote de ficelle, celle-ci tisse des fils dans tout son appartement. Ainsi se matérialise une étrange géométrie interne. L?appartement devient un espace mental, un espace miroir de la psyché du personnage. L?architecture apparaît comme un lieu de transformation s?ouvrant à la fois sur l?extérieur, tout en se refermant sur lui-même comme un piège. Prise dans cette toile, le corps de la femme se trouve contraint, tandis que son esprit s?échappe.
Emmanuelle Antille est née en 1972 à Lausanne. Elle a étudié à l?Ecole Supérieure d`Art Visuel de Genève et à la Rijksakademie van beeldende kunsten à Amsterdam. Depuis 1995, elle a développé sa pratique artistique dans le champ des médias électroniques, travaillant principalement avec la vidéo et l?installation, mais également avec le son, la photographie, l?imprimé (publications tant de livres que d?albums musicaux) et l?élaboration de sites web. Expositions (sélection) : Kunstverein à Frankfurt, Musée d?Art Moderne de la Ville de Paris, Pavillon Suisse à la Biennale de Venise, The Renaissance Society à Chicago, CCA à Glasgow, Site Gallery à Sheffield, Toyko Wonder Site à Tokyo, De Appel à Amsterdam, Migros Museum à Zürich, Musée du Jeu de Paume à Paris, National Gallery of Iceland à Reykjavik. Lauréate du Concours fédéral des Beaux-Arts (1999, 2000, 2001), du prix Kiefer-Hablitzel (2000, 2001), du Review + film contest Migros et de la Fondation Vaudoise pour la Culture (2005). Elle a bénéficié d?une résidence à Berlin dans l?atelier de la Confédération en 2002, puis à Paris au Couvent des Récollets en 2003. Plus d?informations sur www.emmanuelleantille.com
Hanna Maria Anttila
Viimeiset linnut (Last Birds)
Documentaire | 4k | couleur | 15:10 | Finlande | 2016
Nuutajärvi glass factory was closed after operating for 200 years. What happens to a small locality that loses its livelihood in the hands of globalization? Experimental documentary revolves around a young glassblower Kirsi Anttila and her family.
Hanna Maria Anttila (b. 1974, Savonlinna, Finland) is an artist and a producer based in Helsinki. She studied at the Academy of Fine Arts in Helsinki Finland and at the School of Visual Arts in New York. Anttila is interested in how societal changes become visible in everyday life and its details. Careful composition, clarity of form and precise punctuation are characteristic to her work. Hanna Maria Anttila works as the director of AV-arkki, the Distribution Centre for Finnish Media Art in addition to her artistic work.