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Annabelle Amoros
La Maison des Lilas
Fiction expérimentale | hdv | couleur | 17:32 | France | 2014
Pensée, filmée et montée comme un rêve, La Maison des Lilas propose une vision onirique et surréaliste, où logique, structure narrative et raison s`effacent pour libérer la pensée spontanée et l`inconscient.
Annabelle Amoros est née en 1987 en France. Après avoir étudié à l’école d’Art de Metz, elle a suivi des cours à l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie à Arles, de 2011 à 2014. Durant cette période, elle a reçu une subvention de la région Alsace, ce qui lui a permit d’aller aux Etats-Unis afin de réaliser un projet photographique et vidéographique. Ensuite, elle a suivi un programme d’échange erasmus à l’école Taik de Helsinki, où elle a reçu ses premiers cours de vidéo avec Hannu Karjalainen, et a monté sa permière pièce, "Welcome to My World". Suite à cette première expérience, l’image en mouvement est devenu son activité principale. En s’inspirant du cinéma, de la vidéo et de la photographie, elle tente d’effacer la limite entre la réalité et la fiction, en utilisant les lumières artificielles de la nuit, afin de transformer la rue en théâtre et les habitants en personnages. Après plusieurs semaines de tournage, elle réorganise ses plans puis créé un nouvel environnement, inspiré des œuvres de David Lynch, Alec Soth ou encore David Clearbout.
Annabelle Amoros
Welcome to My World
Vidéo | dv | couleur | 9:25 | France, USA | 2013
La vidéo Welcome to My World représente Woolstock un petit village, extrêmement isolé au centre des .États-Unis, dans l?Iowa. Comme dans beaucoup d?autres lieux de ce type, il ne se passe rien. Les habitants sont enfermés dans un quotidien calme, épuré, et serein, mais peut être aussi ennuyeux et répétitif. Les scènes sont tournées dans des paysages contemplatifs. Elles représentent des atmosphères nocturnes et crépusculaires, éclairées par la lumière incertaine des lampadaires et nous plongent dans un univers étrange, où nous attendons quelque chose que nous ignorons et qui nous échappe.
Annabelle Amoros est née en 1987 à Creil. Après avoir suivit une formation à l`École Supérieure d`art de Metz, elle poursuit aujourd`hui ses études à l`École Nationale Supérieure de la Photographie d`Arles. Suite à quelques voyages l`ayant menée au centre des États-Unis, en Finlande, en Laponie, sans oublier la France, elle ne cesse d`observer et de s`imprégner de la vie quotidienne des gens installés dans des petits villages très isolés. Elle tente de transformer les habitants en personnages et de créer des univers sous tension à partir d`un quotidien où il ne se passe presque rien. Par l`outil photographique ou vidéographie, elle ne cesse d`interroger ses images autour de la dualité réalité-fiction.
Marta Anatra
Progresso Renaissance
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 20:0 | Italie | 2019
Portovesme, Sardaigne. Images d'un été passé. Les vagues de la mer s'écrasent sans cesse sur les rochers. Un groupe de garçons se rend à la plage à bicyclette, en passant devant des bâtiments industriels abandonnés qui annonçaient autrefois une nouvelle ère. Dans ce film cross-genre composé d'images d'archives et d'enregistrements 16 mm, le temps entre 1969 et le présent semble se confondre. Dans une région où le développement est au point mort, le groupe de garçons symbolise toute une génération.
Artiste visuelle, éditrice et réalisatrice, j'ai suivi une formation de peintre à l'Accademia di Belle Arti de Florence. Je vis et travaille à Marseille où j'ai suivi un master en film documentaire à l'université d'Aix-Marseille. J'ai également suivi une formation au Grenada Visual Centre à Manchester et à l'ISRE à Nuoro avec David et Judith McDougall. Le collectif Film Flamme-Polygone Etoilé et le Laboratoire L'Argent, dont je suis cofondatrice, ont joué un rôle déterminant dans mon travail en pellicule. Mes films indépendants ont été projetés dans des festivals internationaux tels que la Berlinale, le NYCIFF, le Festival des Peuples, Film Femmes Méditerranée, le SIEFF et l'ISREAL.
Thom Andersen
Get Out of the Car
Doc. expérimental | 16mm | couleur | 34:0 | USA | 2010
From the director of "Los Angeles Plays Itself" comes another city symphony exploring Los Angeles' gentrification through a thoughtful montage of façades and a playful excursus through its musical history.
Thom Andersen
Reconversao
Documentaire | hdv | couleur | 67:0 | USA, Portugal | 2012
?Reconversão? portrays 17 buildings and projects by Portuguese architect Eduardo Souto Moura, accompanied usually by his own writings. It is a search for his architecture, without critical commentary. Only the tour guide at Braga Stadium offers generalizations, which fit that work well enough, but it may be the exception, not the rule. Souto Moura has the last word: ?If there is nothing there, I invent a preexistence.? Technically, ?Reconversão? combines the crudeness of proto-cinema with the hyperrealism of digital cinema, bringing us back to the ideals of Dziga Vertov. Shooting only one or two frames per second and animating the images, in the manner of Muybridge, produces greater resolution, although not necessarily a greater sense of reality, and brings attention to the movements of water and vegetation that generally pass unnoticed.
Thom Andersen has lived in Los Angeles for most of his life. In 1974 he completed ?Eadweard Muybridge, Zoopraxographer?, an hour-long documentation of Muybridge?s photographic work. In 1995, with Noel Burch, he completed ?Red Hollywood?, a videotape about the filmwork created by the victims of the Hollywood Blacklist. In 2003 he complested ?Los Angeles Plays Itself?, a video essay about the representation of Los Angeles in movies. In 2010, he also directed ?Get Out of the Car?, about the visual archeology of the city. He has taught film composition at the California Institute of the Arts since 1987.
Thom Andersen
The Thoughts That Once We Had
Doc. expérimental | hdv | couleur et n&b | 108:0 | USA | 2015
Inspiré de la théorie du cinéma de Gilles Deleuze, «The Thoughts That Once We Had» se construit autour de l’amour et du pouvoir de séduction des films. Réduisant à zéro l’abstraction lyrique, ruminant sur les nazis, les communistes et les espions, comparant les danses de serpent orientalistes de Maria Montez et de Debra Paget, le film est un cadeau pour tous ceux qui voient dans le cinéma un art, une forme de pensée et une source de plaisir.
Figure incontournable du film expérimental américain, Thom Andersen commence à réaliser des films au milieu des années 1960 à Los Angeles, où il étudie le cinéma (University of Southern California). Au même moment, il développe une pratique d’écriture qui accompagnera toujours sa production. En tant que critique il sera un des premiers à s’intéresser à l’oeuvre filmique d’Andy Warhol. Si ses premiers films relèvent de la production «expérimentale» ou «d’avant-garde» (cf. «Melting», 1965 ou «Short Line/Long Line», 1966-67), à partir de la moitié des années 1970 il développe une forme hybride à la croisée de l’étude visuelle et du film documentaire. Avec «Eadweard Muybridge, Zoopraxographer» (1974) – issu d’un article qu’Andersen avait publié dans Film Culture en 1966 – le cinéaste s’intéresse à la figure de Muybridge et à ses expériences dans l’étude du mouvement. À la fois biographie de l’auteur et étude sur la nature même de l’image en mouvement, Eadweard Muybridge explore la possibilité pour le documentaire de s’ouvrir au champ de la critique et de travailler ainsi, par le biais du commentaire, une forme d’écriture particulière. Avec «Red Hollywood» (1996), co-réalisé avec Noël Burch, Thom Andersen dévéloppe également une série des textes sur les communistes à Hollywood, en faisant ainsi du film une sorte de traité historiographique critique. «Los Angeles Plays Itself» (2003), son opus majeur, porte à l’extrême ce principe. Constitué à partir d’un nombre étonnant de séquences des films, le long-métrage explore, sur une durée de trois heures, les multiples identités de la ville de Los Angeles, et ce que le cinéma peut nous apprendre sur l’espace urbain.La production filmique de Thom Andersen se présente comme un lieu d’investigation idéal pour comprendre les liens entre l’écriture et la mise en forme visuelle de la pensée.
Thom Andersen
The Tony Longo Trilogy
Vidéo | hdv | couleur | 14:1 | USA | 2014
"While remastering Los Angles Plays Itself, I re-edited a number of clips, including The Takeover (Troy Cook, 1995), a grungy, sordid straight-to-video film remarkable only because executive producer Michael Woods and star David Amos had in 1990 planned and carried out the murder of Horace McKenna, Woods's partner in the operation of a chain of strip clubs around Los Angeles - a crime echoed in the movie. After repeated viewings, I noticed a miniature tragedy (or black comedy) spread out over the first sixty minutes. Its protagonist is Waldo the bouncer, the victim of ruses and sucker punches, whose multiple failures lead him to one final heroic attempt to make amends. This is his story."
Thom Andersen has lived in Los Angeles for most of his life. In the 1960s, he made short films, including Melting (1965), Olivia’s Place (1966), and --- ------- (1967, with Malcolm Brodwick). In 1974 he completed Eadweard Muybridge, Zoopraxographer, an hour-long documentary film about Muybridge’s photographic work: It was restored by the UCLA Film and Television Archive in 2013. In 1995, with Noël Burch, he completed Red Hollywood, a critical video essay about the film works created by the victims of the Hollywood Blacklist. Their work on the history of the Blacklist also produced a book, Les Communistes de Hollywood: Autre chose que des martyrs, published in 1994. In 2003 he completed Los Angeles Plays Itself, a three hour-long movie about the representation of Los Angeles in movies. It was voted the Best Documentary of 2003 in the Village Voice Film Critics’ Poll. He completed Get Out of the Car, a short 16mm portrait of Los Angeles. In 2012, he directed Reconversão, an HD video about the work of Portuguese architect Eduard Souto Moura, the winner of Pritzker Prize in 2011. He has taught at the California Institute of the Arts since 1987.
J Tobias Anderson
A Hand That Speaks
Vidéo | hdv | couleur | 1:9 | Suède | 2011
"Take a look at these hands. Take a look at these hands. The hand speaks."
J Tobias Anderson was born in 1971 and grew up on Gotland in the Baltic Sea. His education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. He lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation Anderson has moved between narrative and non-narrative works and through the years he has created almost 40 films. He has also been experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Uppsala, Sweden. He is collaborating with Filmform Foundation in Stockholm, Espaivisor in Valencia, Spain and Factory-Art in Berlin.
J Tobias Anderson
A Small Part of the World
Animation | dv | couleur | 2:53 | Suède | 2006
"A Small Part of the World" est une vidéo dans laquelle fourmillent citations et slogans. Lesquels faut-il croire, lesquels non? Dans un monde surpeuplé, comment sommes-nous censés trouver la voie à suivre pour vivre nos vies en harmonie? Ne buvez pas les paroles des dirigeants religieux ou politiques et ne vous laissez pas détourner de ce que vous jugez bon dans la vie. "Seek truth from facts" (la vérité se trouve dans les faits): tel est le slogan du parti communiste chinois. Ce pourrait être une idée à suivre, mais quelles sont les 'bonnes vérités'? Quel est votre chemin dans la vie?
J. Tobias Anderson, né en 1971 à Gothenburg (Suède), vit et travaille à Stockholm (Suède). Il a étudié le design et l'artisanat (section art) à l'University College of Arts de Stockholm, de 1993 à 1998. Il a ensuite passé un an au Royal College of Art de Stockholm (section vidéo). En tant que vidéaste, il s'intéresse principalement à l'animation et à ce qu'on appelle l'"Aproppriation Art". Il fait un travail d'expérimentation, en utilisant des techniques diverses et variées : vidéo, peinture, illustration, éléments sonores et musique. Cependant, l'essentiel de ses créations sont des vidéos -il en a produit une trentaine entre 1997 et 2006. Il choisit des supports générallement assez connus comme point de départ de ses explorations, qui sont à la base de la création de ses oeuvres. Ses vidéos abordent souvent des thèmes et questions d'ordre cinématographique, et sont le résultat d'expérimentations visuelles voire audiovisuelles. Son travail a été présenté en de nombreuses occasions, lors d'expositions et de festivals à travers le monde. Plusieurs vidéos représentent son travail dans différentes institutions d'art, dont le Musée moderne de Stockholm.
J Tobias Anderson
Allt blir självklart, genomlyst
Animation | hdv | couleur | 2:30 | Suède | 2015
In a colorful setting, where thoughts and ideas aren’t necessarily black or white, a situation of non-communication is enacted. Two men and a woman are throwing their most inner thoughts at each other, but finding little solace in the others’ words. Communication can sometimes be unidirectional, even though a dialogue is taking place, and where certainty can be a comfort, perhaps skepticism and doubt should be the default.
Born in 1971. Grew up on Gotland in the Baltic Sea. Education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. Lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation and moving between narrative and non-narrative works. Has created around 40 films. Also experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Sweden.
J Tobias Anderson
A Work of Art
Animation | hdv | noir et blanc | 1:36 | Suède | 2016
A reflection on the artist’s own work, mirrored in a dialogue involving three secondhand characters. Together they make an honest evaluation of the artwork to reveal the harsh truth.
Born in 1971. Grew up on Gotland in the Baltic Sea. Education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. Lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation and moving between narrative and non-narrative works. Has created around 40 films. Also experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Sweden.
J Tobias Anderson
A Veracity A Mendacity
Art vidéo | | couleur | 4:58 | Suède | 2010
A man in confrontation with two women, one vulnerable and easily influenced, the other hesitant and questioning. On one hand the man is preching a veracity to the already converted and on the other a mendacity to the doubtful. Or is it the other way around? "A Veracity A Mendacity" questions if there, in the name of reason, can exist only one truth to any situation, and who should have the mandate to tell others what is right and what is wrong.
J Tobias Anderson was born in 1971 and grew up on Gotland in the Baltic Sea. His education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. He lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation Anderson has moved between narrative and non-narrative works and through the years he has created almost 40 films. He has also been experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Uppsala, Sweden. He is collaborating with Filmform Foundation in Stockholm and Espaivisor in Valencia, Spain.
J Tobias Anderson
A Sensation!
Animation | dv | couleur | 1:38 | Suède | 2012
Material is what counts!
Born in 1971. Grew up on Gotland in the Baltic Sea. Education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. Lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation and moving between narrative and non-narrative works. Has created around 40 films. Also experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Sweden.
J Tobias Anderson
Delusion Disillusion
Art vidéo | dv | noir et blanc | 3:33 | Suède | 2008
Une forêt sombre, une route sans fin, deux hommes avec des idées différentes sur la façon d'aborder un problème. Les grandes lignes de « Delusion Disillusion » sont assez simples, mais les possibilités d'interprétation sont plus complexes. Les hommes sont-ils en train de faire référence à une question de caractère personnel, ou parlent-ils de quelque chose de beaucoup plus général ? Le contraste entre la densité des arbres au début de la vidéo et le final, avec sa forêt presque coupée à blanc, nous dirige vers les indices d?une solution possible.
Né 1971 à Göteborg (Suède), J. Tobias Anderson vit et travaille à Stockholm (Suède). De 1993 à 1998, il fréquente le Département des Arts de l?Université des Arts, de l?Artisanat et du Design de Stockholm et, en 1998-99, l?Université Royale des Arts de Stockholm, au Département Vidéo. Vidéaste, il s?intéresse principalement à l'animation et à l'appropriation artistique. Il expérimente actuellement de nombreuses techniques, telles que la vidéo, la peinture, l'illustration, le son et la musique, mais se concentre toujours principalement sur la vidéo. Environ une trentaine de ses ?uvres vidéo ont été créés entre 1997 et 2006. Le point de départ de ses recherches, la base de sa création artistique, réside généralement dans des matériaux que l?on peut considérer, d?une manière ou d?une autre, comme familiers. Ses ?uvres ont été projetées à de nombreuses occasions, dans des festivals et des expositions du monde entier. Ses vidéos sont présentées dans plusieurs institutions artistiques, notamment dans les collections du Moderna Museet de Stockholm et de l?Institut Valencià d?Art Moderne.
J Tobias Anderson
Where Did It All Start?
Animation | hdv | couleur | 1:10 | Suède | 2017
The simplest of questions. An overwhelming silence. The conundrum of existence.
Born in 1971. Grew up on Gotland in the Baltic Sea. Education includes the University Collage of Arts Crafts & Design as well as the Royal Collage of Art, both in Stockholm. Lives in Nacka just outside of Stockholm. Working mainly with video and animation and moving between narrative and non-narrative works. Has created around 40 films. Also experimenting with different forms of music and sound installations. Notable exhibitions include P.S.1 Contemporary Art Center in New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum in Barcelona and Museo de Colecciones ICO in Madrid, as well as solo exhibitions at MMC Luka in Pula Croatia, ak28 in Stockholm and Uppsala Art Museum in Sweden.
Alice Anderson
Souffler n'est pas jouer
Fiction expérimentale | betaSP | couleur | 14:30 | France | 2005
Dans un gymnase, une jeune fille de dix-sept ans s`entraîne au trampoline. Son père, qui la coach aboie ses instructions. L`entraînement forcé la fait souffrir mais elle est obnubilée par l`idée de gagner le grand concours de saut périlleux. Avec l`argent du prix, son père pourra enfin régler leurs dettes. Natasha ne peut pas le décevoir. Elle sent bien qu`il ne l`aime plus comme avant depuis qu`elle a grandi. La médaille d`or changera tout. L`accident est inévitable, elle rate sa réception et se blesse à la tête. Faute d`argent, son père décide de la soigner lui même : la mère préconise un isolement total dans une chambre particulière de la maison. Depuis plusieurs semaines, le père vient observer Natasha par le trou de la serrure de la chambre aux miroirs. Elle parle seule pense-t-il. De plus, elle n`a pas l`air de vouloir guérir. Le grand concours de saut périlleux semble compromis. Puis, un jour, la porte s`ouvre Natasha reçoit un cadeau de la part de son père : un jeu de rôles. La mère se rapproche d`elle dangereusement. Maintenant, elle est prête. Elle convainc son père de convoquer les juges de la fédération pour qu`ils acceptent son inscription tardive au concours. Elle va leur montrer de quoi elle est capable à sept ans, son père va l`aimer à nouveau, à moins que la mère n`intervienne...
Alice Anderson est née à Londres en 1976 et a été élevée dans le sud de la France. Elle a étudié aux Beaux-Arts de Paris (1998-2001), a recu le prix Gilles Dusein pour ses vidéos (2002) puis est partie faire un M.A au Goldsmiths College de Londres (2002-2004) depuis elle vit a Londres. Elle a montré son travail dans des lieux prestigieux comme: la Maison Européenne de la Photographie, le Centre Pompidou, Emap museum en Corée, le Anna Norlender museum en Suède, le Man museum en Italie, Bloomberg space à Londres, Art Unlimited a Bâle. Elle présentera un nouveau conte à la galerie Yvon Lambert pour son exposition personnelle en janvier 2007.
J Tobias Anderson
The Wind
Animation | dv | noir et blanc | 3:44 | Suède | 2009
These words are all true. These words are all used. This is the way the wind is blowing. This is the wind of the reality in which we live. All words are already spoken. All things are already said. Nothing is original. Nothing is new.
J. Tobias Anderson est né en 1971 et a grandi à Gotland sur la Baltique. Il a effectué ses études notamment à l?University Collage of Arts Crafts & Design et également au Royal Collage of Art, tous les deux à Stockholm. Il habite à Nacka juste à côté de Stockholm. Travaillant principalement avec la vidéo et l?animation, Anderson a fait des films tant fictionnels que sans narration : au fil des années, il a réalisé presque 40 films. Il a également expérimenté différentes formes de musique et d?installations sonores. Il a participé à des expositions dans des lieux importants, tels que P.S.1 Contemporary Art Center à New York, Kunst-Werke Berlin, CaixaForum à Barcelona et Museo de Colecciones ICO à Madrid. Il a eu plusieurs solo shows au MMAC Luka à Pula en Croatie, à ak28 à Stockholm et Uppsala Art Museum à Uppsala en Suède. Il travaille avec la Filmform Foundation à Stockholm et avec Espaivisor à Valence, en Espagne.
J Tobias Anderson
Whereto I Go
Art vidéo | dv | noir et blanc | 4:46 | Suède | 2005
La vidéo montre la confrontation d'un homme avec lui-même. Une rencontre qui n'en vaut pas toujours autant la peine que chacun pourrait l'espérer. De classiques séquences de film ont été découpées et animées pour illustrer ce dilemme, et l'image finale est créée dans un style très contrasté, avec des personnages qui font chose par dizaines de loin.
J. Tobias Anderson est né en 1971 à Gothenburg en Suède. Il vit et travaille en Suède, à Stockholm. Peintre au départ, il travaille depuis 1993 en art vidéo et animation. Il expérimente maintenant nombre de techniques comme la vidéo, la peinture, l'illustration, le son et la musique. Son travail principal reste cependant la vidéo. Il a été projeté à de nombreuses occasions : festivals et expositions dans de multiples pays. Ses vidéos sont exposées au Musée d'art moderne de Stockholm.
Carla Andrade
Ningún río me protexe de min
Doc. expérimental | 16mm | couleur et n&b | 27:27 | Espagne, 0 | 0
"No river protects me from myself" takes as its starting point the mysterious theft of filmed material shot in the Congo Basin rainforest. This accident offered a response to conflicts arising from the fragile and transubjective encounter with the “non-I”, which could only be practised or experienced; if one tries to virtualise it, it ceases to exist. The impossibility of representing a reality that is not one's own without creating distance or detachment, or conversely, taking control of it, leads to a backwards retreat in which, through conversations with my mother, I discover a fragmented and contradictory identity based on fragile foundations. This incessant external search for forms of knowledge that differ from the consensus—or compulsory—reality becomes internal.
An interest in the aesthetic experience and how it works as a transformer of conscience led Carla Andrade (Vigo, Spain, 1983) to study both a Degree in Audio-Visual Communication Studies and Philosophy, as well as an M.A in Artists’ Film and Moving Image at Goldsmiths University of London. This intersection between the means of visual expression and a field close to reflection is, precisely, the central aspect that defines her work. Travelling is also an important part of her process so she has carried out Artist Residencies in Iceland, Sweden, Nepal, Chile or Paris, among others. She has shown her work (both individually and collectively) in renowned contemporary art venues such as Guggenheim Museum of Bilbao, MARCO Vigo, Le 104 Paris, CaixaForum Barcelona, Tabacalera Madrid, La Casa Encendida Madrid, Bilbaoarte, Lux London or Tabakalera Donosti, etc; and in prestigious international Photography and Film Festivals such as PhotoEspaña, Mois de la Photo (Paris) or Encontros da imagem (Portugal); International Film Festival Rotterdam, Zinebi, PortoPostDoc, Courtisane, Ji.hlava, L’Alternativa Barcelona, Curtocircuito or Alchemy Film Festival. Furthermore, her work has been part of important international publications from South Korea, USA, Brazil or Spain and acquired by public and private art collections such as CA2M or CGAC. Likewise, her work has obtained awards including the First Prize of Visual Arts 2013 from Complutense University of Madrid, Emerging Artists Award Absolut 2013, Frac Vila Acquisition Award 2013 from Luis Adelantado Gallery, Women Award-Forum-Dialogue Alliance Francaise / Pilar Citoler 2012, Photography Award Madrid SUMMA 201, etc; and grants from Injuve, Institut Français, BilbaoArte Foundation, VEGAP, Agadic and the Scholarships for Abroad Artistic Creation Gas Natural Fenosa.
Samuel Andre
Danae
Création sonore | 0 | | 20:12 | France | 2004
Cette musique musicale est composée à partir uniquement de deux courts samples proposés par le compositeur Pyo. L`un des deux samples est utilisé pour construire toute la composition, transformé par différents procédés numériques tandis que l`autre apparaît ponctuellement très peu modifié par rapport à l` original. Cette pièce musicale est inspiré par le mythe de danae.
Né en 1978, de formation scientifique en mathématiques et sciences cognitives ; après son DESS en ergonomie informatique, en parallèle de ses compositions de musique acoustique narrative (http://ieva70.free.fr/sound/iev.htm), il se tourne définitivement vers la pratique et l?utilisation de l?outil informatique comme prolongement de soi - réflexion autour du geste, d?une grammaire voir presque langue et de sa représentation par le biais du réseau de communication qu?est Internet ; prolongement du travail commencé, en 2000 au SCRIME - Studio de Création et de Recherche en Informatique et Musique Electroacoustique - , sur l?ergonomie de conception d?interfaces de manipulation sonore et d?improvisation destinée aux enfants. Sa pratique majeure reste la musique qu elle soit écrite (composition ou musique de vidéo) ou improvisée. Il réalise également des formes multimédias poétiques et quelques films expérimentaux.
Schneemeier Andrea
Still Life
Art vidéo | dv | couleur | 0:56 | Hongrie, Belgique | 2004
Un jeu avec la simulation et la réalité dans un environnement étrange mais réel. Sa "réalité" rappelle non seulement le milieu froid des programmes de simulation, mais également le "bonheur" artificiel d'un magasin IKEA. Sans aucune trace d'être humain, l'environnement se transforme - les objets explosent. Le film s'amuse à ébranler les instincts destructeurs du spectateur, s'interrogeant également sur le côté artificiel des média (industrie) qui nous entourent au quotidien.
Andrea Schneemeier est née en 1969 à Budapest (Hongrie). Andrea Schneemeier a étudié la peinture et les arts multimédias à l'Academie d'Art de Budapest en 1996. Par la suite, elle a étudié au Higher Institute des Beaux-Arts (HISK) à Antwerp. Elle crée de l'art conceptuel, réalise des vidéos et des installations interactives dans lesquelles elle soulève des questions à la fois sociales et politiques. Elle enquête sur les statuts sociaux, les conventions sociales et la place de l'individu dans la société. On retrouve dans son travail d'autres thèmes récurrents : la violence et l'agressivité, et les schémas établissant les rôles attribués à chaque sexe. Elle montre souvent toutes sortes de combats (armés), à la fois d'hommes et de femmes. Ses oeuvres ont été présentées dans le monde entier, et elle a reçu plusieurs récompenses pour ses oeuvres multimédias. Elle vit à Berlin.