Programme Paris 2022

Ouverture

Louxor Palais du cinéma

170 boulevard de Magenta - 75010 Paris
Métro: Barbès-Rochechouart, lignes 2 et 4
Entrée libre tout public dans la limite des places disponibles
Accréditation professionels et jeunes publics: accès gratuit prioritaire

Bienvenue à l'édition 2022 !

Nous sommes impatient.e.s de vous retrouver à la soirée d'ouverture lundi 2 mai, avec une séance surprise et l'ouverture de la rétrospective événement, consacrée à Apichatpong Weerasethakul.

Ouverture

Louxor Palais du cinéma

170 boulevard de Magenta - 75010 Paris
Métro: Barbès-Rochechouart, lignes 2 et 4
Entrée libre tout public dans la limite des places disponibles
Accréditation professionels et jeunes publics: accès gratuit prioritaire
Séance diffusée en livestreaming en accès libre ici

Séance inaugurale

Une magnifique séance de projection surprise, avec 5 films rares projetés en première internationale

Ouverture

Louxor Palais du cinéma

170 boulevard de Magenta - 75010 Paris
Métro: Barbès-Rochechouart, lignes 2 et 4
Entrée libre tout public dans la limite des places disponibles
Accréditation professionels et jeunes publics: accès gratuit prioritaire
Cette séance n'est pas diffusée en livestreaming

Ouverture de la rétrospective
Apichatpong Weerasethakul

Les Rencontres Internationales Paris/Berlin sont très heureuses de présenter cette année la première rétrospective en France des films courts et moyens métrage d'Apichatpong Weerasethakul. Les séances, choisies et composées par l'artiste, apportent un éclairage inédit sur une œuvre et un parcours rares, depuis les années 90.

Introduction de la séance par Olivier Père, directeur d'Arte Cinéma

En Thaïlande, chaque séance de cinéma débute par l’hymne national, en honneur au roi. Avec « The Anthem », Apichatpong Weerasethakul nous offre sa propre bénédiction. Dans « La Punta », nous avançons sur une route pluvieuse dans la campagne thaïlandaise, l’eau s’écoule sur le pare-brise alors que l'on entend des bruits de vagues recueillis sur la côte péruvienne près de Lima, au Pérou. Dans une chambre d’hôtel à Hong Kong, deux hommes prennent des photos. La vitre de cette chambre du « M Hotel » devient semblable au fleuve Mékong, situé à la frontière entre la Thaïlande et le Laos, tel que présent dans le film « Mekong Hotel ». Dans un hôtel abandonné et désaffecté situé au cœur de Bangkok, l’« Emerald », des personnes racontent leurs rêves, pour repeupler de nouveaux souvenirs l’hôtel vide. A l’arrière d’un pick-up, par grand vent, deux jeunes hommes « Mobile Men » se filment. Un paysage de rizière apparait dans le cadre, ainsi qu’une équipe de tournage. « Cactus River » est le journal d’une visite à l’amie et comédienne Jenjira Pongpas. Elle est maintenant installée avec son mari au bord du Mékong, et a changé son nom pour s’appeler « Nach », qui signifie « eau ». Elle est persuadée que le fleuve va se tarir, des barrages sont construits en amont, en Chine et au Laos. « Cinetract » a été tourné pendant les premiers jours du confinement. Les enfants sont endormis. Des millions de personnes organisent des rassemblements dans tout le pays, réclamant une réforme de la monarchie et la fin de la dictature militaire. C'était le début de la saison des pluies. Dans « Footprints », des soldats souffrent d’une étrange maladie : ils s’éveillent quelques heures puis s’effondrent dans un profond sommeil. Un film dans le film. Des séquences s’alternent, « Worldly Desires » : en quête de bonheur et d’innocence, des amoureux échappent à leur famille, pour chercher refuge sous un arbre magique dans la jungle ; un groupe pop de jeunes femmes danse et interprètent une chanson, célébrant le sentiment de liberté éprouvé lorsque l’amour se déclare